Ils allaient bien ensemble : la réserve aristocratique d'Antero se fondait à la rude et plébéienne franchise de Mutis et à la générosité loquace de Pasini. (...) Ils s'étaient partagé les poètes de l'époque : Mitis était un carduccien enflammé, Antero se passionnait pour Leopardi et Pasini mettait d'Annunzio au-dessus des deux autres.