Ceux que la satire américaine a réunis sous le titre global de « Confrérie des Pleurnichards » acceptèrent avec resignation, ou en l'accommodant à une sauce romanesque, le fait qu'elle fût déjà mariée à un digne et honorable homme d'affaires qui répondait au nom de Potter.
Il fut même possible un certain temps de la considérer comme Mrs Potter, étant bien entendu que son mari n'était que le mari de Mrs Potter.