Citations de Graham McNeill (160)
Bienvenue sur Hydra Cordatus, un monde en guerre où résonneront bientôt les pas des Titans et les grondements de l'artillerie démoniaque, un monde pour les héros auréolés de gloire et leur ennemis au cœur sombre, un monde pour le courage, l'honneur et la malveillance.
Une éternité de tourment attend l'essence de mon être si je commets l'erreur de vous laisser périr tandis que vous êtes sous ma protection.
- Et en quoi devrais-je me sentir concerné par ton tourment éternel ?
- En rien, puisque vous ne seriez plus de ce monde. (…)
- Il se pourrait bien que là, tu marques un point Onyx.
Il sentait le froid de la neige sur son corps, mais il ne ressentait plus aucune douleur. C'était mauvais signe, il le savait. La douleur était synonyme de vie.
La paix n'existe pas au royaume des étoiles mais seulement une éternité de carnages sous le rire moqueur des dieux assoiffés de sang.
J'avais toujours imaginé que la plus grande des solitudes était celle de celui qui conduit ses hommes à la bataille, reprit Björn, mais je sais à présent que la solitude du père qui attend le retour de son fils est bien pire.
- Très bien, mes gaillards, commença Kurgan. Écoutez bien, c'est une histoire que vous n'entendrez plus jamais raconter aussi longtemps que vous vivrez, puisque c'est celle de mon humiliation.
[Kurgan Barbe de Fer, Haut-Roi des Nains, Souverain de Karaz-a-Karak]
J'exige l'immortalité. C'est mon droit.
Par les couilles du seigneur , que voulez–vous que j’en fasse ?
La puissance psychique est une force vivante, et le danger de tout pouvoir est qu’il mène à la l’obsession. Un homme parvenant à acquérir une mesure de pouvoir se rendra compte que celui-ci finira par dominer sa vie, jusqu’à ce qu’il ne pense plus qu’à en acquérir davantage. Pratiquement tous les hommes peuvent résister à l’adversité, mais peu supporteront cette mise à l’épreuve ultime, celle de disposer du pouvoir sans succomber à ses tentations les plus sombres.
Les hommes ont coutume de donner de vilains noms à ce qui leur fait peur, ce qui ne fait qu'aviver encore leurs craintes.
Lorsque les gens oublient leur devoir, ils ne sont plus des humains et sont réduis à devenir moins encore que des bêtes. Ils n'ont plus leur place ni au sein de l'humanité, ni dans le giron de l'Empereur. Qu'on les laisse périr et qu'on les oublie à jamais.
Que le sang soit votre but, la mort votre compagnon et la haine votre force !
Nous avons raisons parce que nous clamons que nous avons raison, semblaient-ils dire. Soyez d’accord avec nous et nous serons amis. Contredites-nous, et nous serons ennemis.
Les précautions ne sont jamais inutiles
Comment un homme peut-il avoir la force d'assumer une responsabilité aussi immense ?
Kurgan eut un petit rire et lui tendit sa chope.
- Eh bien, je ne peux pas te dire comment un homme réagirait en revanche je peux te dire comment ferait un nain. C'est très simple. Le moment venu, tape de toutes tes forces jusqu'à ce que ton bonhomme soit mort. Ensuite, passe au suivant. Et continue sans t'arrêter jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus un seul debout.
Le truc quand l'ennemi est au milieu de vous, c'est que vous ne pouvez jamais être vraiment certains du temps qu'il y a déjà passé, dit Shaan. Vous ne pouvez jamais savoir ce qu'il a saboté avant que vous l'attrapiez.
Le guerrier qui fait acte de bravoure ne peut échouer. Son devoir est l'honneur. Même sa mort est une récompense et en rien un échec, car elle lui est donnée par son devoir. Nous nous souvenons de nos morts, mais nous sommes l'Adeptus Astartes et nous ne gaspillons pas nos larmes. Nous ne sommes pas nés pour voir notre monde s'effondrer, car nos vies ne se mesurent pas en larmes, mais en actes.
Les Tyranides sont des créatures issues de nos pire cauchemars, mais n'oubliez pas qu'elles peuvent saigner et mourir.
Mais maintenant, ils allaient affronter un ennemi supérieur en nombre retranché dans une position surélevée, et ils devraient progresser à découvert pour l'atteindre. C'était le genre de situation qui faisait les légendes du chapitre. C'était certes formidable à écouter, mais les choses étaient bien différentes lorsqu'on y était confronté soi-même.
Le savoir est bel et bien le pouvoir, et le savoir a un pouvoir.
La victoire ne vaut rien si elle nous coûte notre honneur.