Certains se sont abandonnés à l'élan heureux qui les porte vers le désir de cette vie noble, mais, s'imaginant toucher à la perfection dès l'instant qu'ils l'ont choisie, ils ont, du fait de leur fol orgueil, trébuché dans une autre erreur, s'abusant en leur démence sur cette beauté vers laquelle inclinait leur pensée.
(De la virginité, XXIII, 3)
On peut dire à la fois en toute vérité et que « les cœurs purs voient Dieu », et que : nul n’a jamais vu Dieu.
En effet, ce qui est invisible par nature devient visible par les énergies, apparaissant ainsi autour de sa nature.
XII. L'esprit, est comme un miroir de miroir
XII. L'esprit tire sa perfection de sa ressemblance avec la beauté prototype (...) comme un miroir
IX. Il porte l'empreinte de la nature « insaisissable» par le mystère qui est en lui
V. Si l'amour est absent, tous les traits de l'image en nous sont déformés.
IV. Ce caractère royal (...) l'âme spontanément le manifeste, par son autonomie et son indépendance et par ce fait que, dans sa conduite, elle est maîtresse de son propre vouloir.
III. La puissance divine improvise (...) la création (...) pour l'homme, au contraire, une délibération précède
II. Le Créateur a préparé le trône de celui qui devait régner
I. Le mouvement et le repos sont à l'origine de tout
Préface. Je reste très inférieur à mon sujet
65. La qualité du cœur est exprimée par l’aspect extérieur
65. Une fois la nature passée à une condition plus divine, l'homme prend la forme que lui donnent ses traits moraux, sans que son essence soit différente de son apparence, mais il est connu tel qu'il est : tempérant, juste, doux, pur, aimant, pieux.
54. Etre purifié, soit dans la vie présente par l'attention et la philosophie, soit après son départ d'ici-bas par la fonte qu'opère en lui le feu purificateur.
54. Honneur qui l'égale à Dieu (car la liberté est égalité à Dieu / isotheon).
48. Ici-bas l’âme est l’esclave d’un jugement extérieur sur l’idée supposée du bien.
41-42. L’âme (...) est (...) immatérielle, invisible, intelligible et incorporelle.
40. Dirigeons donc notre regard vers ce qui est invisible (Héb. 11,27) en nous, et croyons que notre être véritable est ce qui échappe à la perception sensible.
38. La prison de cette vie
28. et nous ne ferions pas volontairement l'expérience du mal, si la réalité n'était pas teintée d'une représentation mensongère du bien.