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3.72/5 (sur 18 notes)

Nationalité : Allemagne
Né(e) à : Passau , 1946
Biographie :

Günter Ohnemus est né en 1946 à Passau, en Allemagne. Aujourd'hui auteur et traducteur à Freising près de Munich, il a d'abord été libraire et éditeur. Je suis le tigre sur tes épaules (Actes Sud, 2004 ; 2006) est le roman qui lui a valu le surnom de « Salinger allemand » en référence au célèbre Attrape-Cœur. Best-seller dans plusieurs pays, ce roman est vite devenu un livre culte en Allemagne. Avec La Cliente russe (Actes Sud, 2002), un thriller qui met en scène le pouvoir international de la mafia, il s'inscrit dans la lignée d'une littérature noire de qualité.

Source : http://www.actes-sud.fr/
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Citations et extraits (6) Ajouter une citation
C'était en seconde .En anglais.Chez...Arnold....Arnold nous fait un discours arrogant sur la traduction,et après, pendant le débat Tom a levé la main....:"Parfois il faut traduire "oui" par "non" et "merci" par "s'il vous plaît".
-Balivernes,a dit Arnold.Qu'est-ce que c'est que c'est que cette histoire.
-Pour le thé par exemple ,quand on vous demande si vous désirez encore une tasse,a dit Tom....et que vous dites "thank you",il faut traduire par "s'il vous plaît".
-N'importe quoi ! a dit Arnold.
-Mais si c'est vrai,a dit Tom.Si vous ne voulez plus de thé mais que vous dites "thank you", on vous ressert une tasse.
-N'importe quoi! A répété Arnold.J'ai vécu trois ans à New York et je n'ai jamais entendu ca."
Et Tom a dit le plus naturellement du monde et sans la moindre hésitation...:
"Vous avez peut-être bien vécu trois ans à New York.Mais,apparemment ,vous n'avez jamais été invité à prendre le thé par qui que ce soit."p.124
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Je me souviens encore très bien de la première phrase que j'ai dite à ma mère,lorsque pour la première fois j'ai appelé à la maison depuis Williamsburg( États -Unis):"Ils habitent à trois ici et il n'ont pas une voiture,ils non pas deux voitures,ils n'ont pas trois voitures,ils n'ont pas quatre voitures-ils ont cinq voitures!"Ils étaient vraiment friqués,le garage était presque aussi grand qu'une maison,ils avaient une télé dans chaque pièce,sauf dans le garage...p.108
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C'est bien la vérité, ma mère a entièrement raison - Karen et moi, nous ne sommes pas des parallèles, nous ne sommes pas des lignes droites qui ne se rencontrent nulle part dans le monde fini. Nous sommes des enfants tordus, il fallait tout simplement que notre rencontre ait lieu. Nous nous cherchions avant que de nous être vus.
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Une fois, l'hiver dernier, elle a pris le métro vers cinq, six heures pour aller chez le médecin avant de rentrer à la maison. Il faisait bien sûr déjà nuit et quand elle est descendue du métro un Noir l'a suivie. Il était derrière elle sur le quai, se tenait juste derrière elle sur l'escalier roulant et, une fois dehors, il a pris le même chemin qu'elle, toujours sur ses talons. Elle avait l'impression d'être suivie et elle était bien contente d'atteindre l'immeuble du médecin, d"ouvrir la porte et d'entrer dans le hall. Mais le Noir est entré derrière elle. Elle a traversé le hall jusqu'à l'ascenseur, a ouvert la porte et s'est aperçue que la lumière de l'ascenseur était en panne. A l'intérieur c''était l'obscurité la plus totale. Au même moment, le Noir était dans l'ascenseur avec elle. Ça a sûrement dû la paniquer, mais comme ma mère ne prend jamais la fuite devant personne, elle a souri au Noir et lui a dit: "Bon, si vous ne me faites rien, je ne vous ferai rien non plus." Ils ont donc pris l'ascenseur ensemble, plongés dans l'obscurité, et bien sûr, ils avaient tous deux rendez-vous chez le même médecin.
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Elle était la seule fille de notre bande à ne pas quitter le haut de son maillot de bain quand on s'installait au bord du fleuve. Toutes les autres filles étaient à moitié nues et Susanna gardait le haut de son maillot. Je veux dire, je ne suis pas non plus du genre puritain maniaque, mais je trouve ça idiot quand les gens font comme si un sein n'était ni plus ni moins qu'un gros orteil.
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"Ca sonne vraiment bien: Le tigre sur tes épaules. Je suis curieuse d'apprendre ce que ça veut dire. On dirait que ça vient d'un conte de fée."
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