Je pourrais répondre que je crois à l'individualisme, au sensualisme et à l'oisiveté créatrice. J'aime l'imagination humaine: sa délicatesse, la brutalité agressive de son énergie, sa profondeur, le pouvoir qu'elle a de transformer le monde matériel en art. J'aime ce que font les hommes et les femmes. Je préfère ces choses à tout le reste, hormis l'amour et le corps des femmes, qui se trouvent au centre de tout ce qui vaut la peine d'être vécu. (p. 142)