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Citation de levri


— Bien sûr, mon parfait gentleman. Mais tu n’es pas obligé. Laisse-toi aller avec moi.

Archie se pencha au-dessus de lui. Il se reconnaissait à peine lui-même : l’homme audacieux qu’il était devenu, ondulant pour frotter son sexe contre celui de Rufus. Il émit un grognement de joie tandis que Rufus levait les cuisses pour l’enserrer et l’embrasser. Il s’étouffa de plaisir en sentant des doigts en quête de l’entrée de son corps, qu’ils pressèrent et frottèrent.

— Oui. C’est ça.

— Juste un peu. Pour plus, nous aurons besoin d’huile.

— Mais j’aime ça. Je crois que je le veux.

— Il n’y a aucune raison biologique de ne pas le faire, à part... la lubrification.

Rufus tendit le bras vers l’arrière pour s’appuyer contre le rebord, levant les hanches pour se caler sur le rythme d’Archie.

— Oh mon Dieu, j’ai l’impression que je vais mourir à cause de toi. Je vais te baiser, je le jure, et tu peux me baiser, et le monde peut aller…

— Se faire foutre ? proposa Archie, goûtant le nouveau mot comme un fruit sale et délicieux.

La sueur rendait sa verge glissante et il la poussa contre l’entrée plissée derrière les couilles de son amant.

— Ah. Je ne peux pas m’arrêter maintenant. J’y suis.

— Ne t’arrête pas. Ne t’arrête pas...
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