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Citations de Helen Keller (51)


Helen Keller
Lorsqu'une porte du bonheur se ferme,
une autre s'ouvre ; mais parfois, on observe
si longtemps celle qui est fermée qu'on ne voit pas
celle qui vient de s'ouvrir à nous.
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Helen Keller
Nous ne sommes jamais vraiment heureux si nous n'essayons pas d'éclairer la vie des autres.
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Je me demande ce qu'il advient des occasions perdues. Peut-être notre ange gardien recueille-t-il celles que nous laissons échapper pour nous les rendre, quelque jour, quand nous serons devenus plus sages et que nous aurons appris la valeur du temps.
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J’ai ce sentiment que nous portons en chacun de nous le pouvoir de comprendre les impressions et les émotions ressenties par l’humanité depuis l’origine des âges. J’imagine que chaque individu a une mémoire subconsciente du vert des champs, du murmure des eaux, et ni la cécité ni la surdité ne peuvent, je crois, le priver de cet héritage que lui ont transmis les générations du passé. Cette capacité atavique forme une sorte de sixième sens, qui permet de voir, d’entendre et de sentir tout à la fois.
p. 148
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Helen Keller
J'ai mis longtemps pour accomplir une tâche grande et noble,
mais c'est mon premier devoir d'accomplir de petites tâches
comme si elles étaient grandes et nobles.
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- Qu'est-ce qu'aimer ? demandai-je.
Elle m'attira tout près d'elle, et, posant la main sur mon cœur dont pour la première fois je sentais les battements, elle dit :
- Cela se passe ici. Ces mots m'embarrassèrent beaucoup, car je n'avais pas la notion des choses abstraites.
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Helen Keller

Peu importe combien terne, ou comment dire, ou comment un homme sage est, il estime que le bonheur est à son droit incontestable.
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J'aurais peut-être tué la pauvre Mildred si ma mère n'était arrivée à temps pour la recevoir dans ses bras au moment de sa chute. C'est ainsi que cette sensation de solitude, dont ma double infirmité m'accablait, me rendait inapte à comprendre ces affections douces que font naître les mots tendres.
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I know that if there were no odors for me I should still possess a considerable part of the world. Novelties and surprises would abound, adventures would thicken in the dark.
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Super livre palpitant d'une jeune fille aveugle muette et sourde qu'on voit grandir ! Super lecture !Je me suis eclaté
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Assise à l'ombre délicieuse d'un tulipier sauvage, j'apprenais à penser qu'il ressort de toutes choses une leçon et une incitation à réfléchir. "La beauté des choses m'instruisait de leur raison d'être."
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Peut-on nier, maintenant, que je sois accessible, en dépit de toutes mes imperfections physiques aux beautés du monde extérieur ? On trouve partout des merveilles, même dans les ténèbres et le silence et, si imparfait que soit mon état, je sais m'y plaire.
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Helen Keller
Gardez le visage tourné vers le Soleil et vous ne verrez plus les ombres.
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Helen Keller
Je préfère marcher avec un ami dans l'obscurité que seule dans la lumière.
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Vous ne pouvez pas toucher les nuages, vous savez ; mais vous sentez la pluie et savez à quel point les fleurs et la terre assoiffée sont heureux de l'avoir après une chaude journée. Vous ne pouvez pas toucher l'amour non plus ; mais vous sentez la douceur qu'il déverse dans tout. Sans amour vous ne seriez pas heureux ou vouloir jouer. "
La belle vérité a éclaté sur mon esprit - j'ai senti qu'il y avait des lignes invisibles entre mon esprit et les esprits des autres.
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- Je vous en prie, ne permettez plus à personne de l'appeler "pauvre petite", demanda Ann, dès le lendemain, aux parents d'Helen. Helen n'est pas une "pauvre petite". C'est une enfant robuste et bien portante, d'une intelligence remarquable. Elle est cent fois plus intelligente que la plupart des enfants qui voient et qui entendent. Il ne faut surtout pas l'habituer à s'apitoyer sur elle-même. Elle n'est pas à plaindre, car elle ne s'ennuiera plus jamais dans la vie. Ne la décourageons pas, ne l'entourons pas d'interdits : "Tu ne peux pas faire cela, ce n'est pas possible, hélas, tu n'en es pas capable, etc., etc." Je suis persuadée qu'Helen nous réserve bien des surprises ! (p.53)
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Nous descendîmes le sentier qui menait au puits, attirées par le parfum épandu dans l'air ambiant par le chèvrefeuille qui formait un dôme au-dessus du puits. Quelqu'un était précisément occupé à tirer de l'eau, et mon institutrice me plaça la main sous le jet du seau qu'on vidait. Tandis que je goûtais la sensation de cette eau fraîche, miss Sullivan traça dans ma main restée libre le mot eau, d'abord lentement, puis plus vite. Je restais immobile, toute mon attention concentrée sur les mouvements de ses doigts. Soudain il me vint un souvenir imprécis comme de quelque chose depuis longtemps oublié et, d'un seul coup, le mystère du langage me fut révélé. Je savais, maintenant, que e-a-u désignait ce quelque chose de frais qui coulait sur ma main. Ce mot avait une vie, il faisait la lumière dans mon esprit qu'il libérait en l'emplissant de joie et d'espérance. Il me restait encore bien des obstacles à franchir, il est vrai, mais j'étais pénétrée de cette conviction qu'avec le temps j'y parviendrais. (p. 37-38)
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J'ai la perception de choses invisibles pour moi.
J'ai ce sentiment que nous portons en chacun de nous le pouvoir de comprendre les impressions et les émotions ressenties par l'humanité depuis l'origine des âges. J'imagine que chaque individu a une mémoire subconsciente du vert des champs, du murmure des eaux, et ni la cécité ni la surdité ne peuvent, je crois, le priver de cet héritage que lui ont transmis les générations du passé. Cette capacité atavique forme une sorte de sixième sens, qui permet de voir, d'entendre et de sentir tout à la fois.
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Wow quel beau livre! Une fille de 6 ans qui est muette, aveugle et sourde apprend à écrire et même commencer à faire des son de l'alphabet.C'est une roman extraordinaire. Je conseille tout les gens de tout les âges de lire ce livre épatant!!
Bonne lecture:)
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In all my experiences and thoughts I am conscious of a hand. Whatever moves me, whatever thrills me, is is a hand that touches me in the dark, and that touch is my reality. [...]
The delicate tremble of a butterfly's wings in my hand, the soft petals of violets curling in the cool folds of their leaves or lifting sweetly out of the meadow-grass, the clear, firm outline of face and limb, the smooth arch of a horse's neck and the velvety touch of his nose - all these, and a thousand resultant combinations, which take shape in mind, constitute my world.
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