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4.05/5 (sur 33 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Le Havre , 1974
Biographie :

Hervé Darques est commercial de métier et romancier.

Il s’est lancé dans l’écriture de son premier roman durant l’été 2012. L’histoire de "L’Opération Flamme pourpre" fut écrite entre septembre et octobre de l’année suivante lors de ses déplacements professionnels.

Alors que ce premier roman n’était pas encore sorti, l’idée de "L’Offensive Kères", pur thriller, avait déjà germé dans son esprit. Avant la sortie de "L’Opération Flamme Pourpre" le 11 décembre 2013, il prit soin de poser le prologue de son nouveau récit.

Le second roman sera écrit entre février 2014 et septembre 2015 et se situera après les évènements de "L’Opération Flamme Pourpre" sans avoir aucun rapport avec eux.

Durant cette période son parcours professionnel évolue et Hervé crée sa propre société commerciale, dans un tout autre domaine : la vente de produits techniques et maintenances destinés aux professionnels.

"L’Offensive Kères" rencontrera ses premiers lecteurs durant le mois de décembre 2015 et sera récompensé au prix Fondcombe 2016 par le Prix Spécial du Jury.

Son troisième thriller, "La Conversion Janus" sort le 15 décembre 2017. Il obtient le prix Fondcombe 2018.

Actuellement toujours commercial, Hervé Darques continue régulièrement la promotion de ses romans via de nombreuses dédicaces et rencontres avec ses lecteurs. Il vit au Havre.

son site : http://www.hervedarques.fr/
Twitter : https://twitter.com/herveDarques
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Il se tourna vers la grande blonde qui se tenait devant lui et l'observa,tout en la rejoignant.Elle avait le visage marqué,mais elle était souriante,l'air ingénu. L'angiomecqu'elle avait à l'oeil gauche reapparaissait progressivement sous les hématomes qui s'estompaient,et la plaie qu'elle avait dans les côtes se soignerait très bien.Il avait mis six jours pour faire disparaître Caroline Malandain mais avait récupéré une fille à qui il donnerait tout l'amour qu'il avait pour le restant de sa vie,elle le méritait bien.
--Tu pleures? Lui demanda -t-elle,attristée ?
--Ce n'est rien,je suis heureux,ma chérie, un petit moment de spleen,c'est tout.Rentrons chez nous.( page 339).
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A son tour,il plongea sur Aengus, feignant un coup de pied de face,qu'il trasforma en coup de pied circulaire juste avant de totalement déplier sa jambe.Il l' atteignitdirectement dans les côtes, lui arrachant un cri de douleur.Immédiatement,il enchaîna avec un crochet au foie et un direct au visage.L'agresseur de Caroline tituba et tomba à la renverse, finissant sur le capot du Qashqai .Kean se rua sur lui et lui martela les côtes des plus violentes frappes qu'il pouvait distribuer.Aengus les encaissa difficilement.Il réussit à interrompre la déferlante de coups qui pleuvait sur lui en attrapant le poignet droit de son assaillant. D'un mouvement de hanche rapide et ample ,il retourna la situation et inversa leur position.Un puissant coup de boule vint s'abattre sur Kean,qui eu juste le temps de baisser la tête et recevoir le choc sur le haut du crâne et non sur le nez.
--Celui qui va m 'crever n'est pas encore né ! Cracha Aengus.
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Le soldat du feu s’arrêta, gêné par le mot qu’il avait à prononcer.
– Violée ? l’aida Laetitia.
Le « pauvre homme » acquiesça.
– « Pauvre femme », lâcha-t-il en baissant la tête.
– Malheureusement, beaucoup trop de femmes sont victimes de ce type de violences conjugales, soupira le médecin.
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Un enfant normal peut garder ses souvenirs dès deux ou trois ans, j’ai vérifié. Un adulte peut se remémorer sa prime jeunesse et stocker des images et des moments de sa vie. Cela dès cinq ans. Expliquez-moi pourquoi moi je ne me rappelle rien ? Pourquoi tout est effacé ?
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Le Havre,8 mars 2019,6h43....
Effrayée, hébétée, Caroline Malandain était recroquevillée sur elle-même. Elle n'avait pas bougé de l'endroit où son agresseur l'avait battue,humiliée, violée et,par-dessus tout ,laissée pour morte.
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Le grand roux jubilait. Il sentait le plaisir monter en lui, accompagné de toutes ces envies incontrôlables. La haine, le dégoût, le plaisir de la torture : un maelström de sensations et d’hormones ravageait son cerveau dérangé.
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Il était furieux. Il aurait donné n’importe quoi pour épancher sa colère sur quelqu’un. Depuis des années, on lui avait appris à garder sa colère en dedans, à ne rien laisser transparaître. Il y était parvenu au fil des années, mais cela avait provoqué quelque chose de bien pire en lui. Tout comme un autocuiseur qui montait en pression, il fallait qu’à un moment il se vide et évacue tout ce qu’il avait accumulé. Cet exutoire avait d’abord eu lieu sur des animaux : des chats, des lapins, des moineaux.
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- Après m'avoir battue, il m'a violée
Cette fois, c'en était trop, elle ne pouvait plus retenir ses larmes et s'effondra. Un mélange de honte et de colère s'empara d'elle. Elle ne trouvait pas les mots pour expliquer à quel point elle était souillée, humiliée. Elle n'aurait su tourner les phrases pour exprimer la douleur, tant physique que psychologique, qu'elle avait éprouvée lorsqu'il l'avait pénétrée de force, la salissant au plus profond de son être.
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Les maris violents ne s’isolent pas pour frapper leurs femmes. Je veux dire qu’ils se foutent bien d’être chez eux pour leur cogner dessus, même devant leurs gosses.
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Il en avait assez de subir les brimades de son « mentor ». Il n’en pouvait plus de n’être que l’homme de main, le « toutou » à son maître qui devait faire là où on lui disait. La colère était montée en lui le long du chemin. Il n’avait pas – « plus » serait plus exact – peur des sanctions qu’il risquait. Sa soif de violence avait une fois de plus refait surface, le moindre prétexte serait bon pour déclencher un carnage.
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