Hiro Kiyohara

Quelle fin !



J'ai été bluffé par le dénouement de ce manga, je ne m'attendais vraiment pas à cela et autant le dire, ce fût une énorme surprise !



Du coups une belle adaptation qui me donne très envie de lire l'original, une réussite en bref !



Bonne lecture à tous.

Sympas...



Un second opus à la destination finale, qui laisse monter le mystère et le trouble, avant de distiller des informations au compte goutte.



Le mystère est d'ailleurs bien fichue, cette idée d'élève invisible est top et je me laisse prendre au jeu...



Hâte de lire la suite !



Bonne lecture à tous.

Résolution de l'enquête sur la Joconde puis nouveau scénario autour des divinations japonaises cette fois-ci. Le tout est bien fait mais j'espère que le mangaka nous proposera bientôt un vrai fil rouge plutôt qu'un simple enchainement d’enquêtes...
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Un premier tome étrange et déroutant où on ne sait pas trop par quel bout prendre l'histoire. J'ai failli décrocher à la lecture finale de ce tome car le graphisme ne me plait pas trop, le personnage de Yûto m'est antipathique et j'ai trouvé le récit sans intérêt.



Mais ce qui m'a paru déroutant au premier abord prend sens dans la suite de la série puisque Riko et Yûto ne se focalisent pas que sur leur enquête concernant les autocollants représentant un visage. Ils sont amenés à résoudre d'autres affaires dans le même temps.



Ne vous arrêtez donc clairement pas à ce premier tome pour vous faire une idée globale de la série. En effet, la résolution de l'affaire des autocollants sera visible dans le tome 3 !

Après avoir entendu parler de Q mysteries, j'ai eu envie de découvrir ce seinen adapté d'une série de light novels de Keisuke Matsuoka. Orienté vers un genre mystère/policier, ce manga publié dans la collection Big Kana m'a convaincu avec son premier tome !



Yûto Ogasawara est un jeune journaliste travaillant pour le Kadokawa Hebdo. Bien qu'il y soit depuis 4 ans, le jeune homme peine à y trouver sa place. Considéré par son chef et ses collègues comme un bon à rien, Yûto ne se décourage pas pour autant et se lance sur ce qu'il pense être un bon scoop. En effet, il va enquêter sur une séries d'étranges autocollants représentant des sumos et disséminés un peu partout dans Tokyo. Manque de bol, la personne chargée de l'expertise d'un garde-fou, qu'il a emprunté à la mairie, le lâche au dernier moment et Yûto n'a plus d'autre choix que de se rendre au bureau d'expertise en tout genres, nommé Q. En arrivant à ce cabinet, quelle n'est sa surprise lorsqu'il découvre que la seule employée est une belle jeune fille du nom de Riko Rinda. Tout d'abord sceptique, le jeune journaliste va très vite découvrir les dons d'experte polyvalente de Riko et son sens affûté de l'observation et de déduction. En suivant la jeune fille afin d'analyser les autocollants, Yûto va se retrouver bien malgré lui sur la piste d'autres enquêtes.



Ce premier tome nous plonge très vite dans le vif du sujet en nous mettant face à ce qui semble être le principal mystère de l'histoire. Nous suivons donc le duo improbable que vont former le jeune journaliste et l'experte en tout genre, dans leur investigation concernant les fameuses vignettes de sumos. On comprend très vite que cette intrigue principale sera ponctuée d'enquêtes parallèles destinées à étoffer le récit tout en nous dévoilant les différents personnages. On notera également que ce manga mise avant tout sur la réflexion et fait travailler nos petites méninges, et cela se traduit essentiellement par l'abondance de texte explicatif et de références scientifiques. Il parait évident que le scénariste a effectué un vrai travail de recherche pour apporter une certaine crédibilité à son histoire. Malgré quelques déductions quelques peu invraisemblables, j'ai été captivée par les compétences de Riko qui arrive, par simple observation, à analyser minutieusement ce qui l'entoure. Les enquêtes sont bien menées et le suspense au rendez-vous et chaque nouveau élément nous laisse entrevoir une partie des talents de la jeune experte.



Les personnages sont, quant à eux, attachants et sympathiques. Yûto est loin d'être un journaliste influent et sûr de lui. Naïf et maladroit, il accumule les mauvais pas. Toutefois, il possède un esprit combatif qui l'empêche de baisser les bras à la moindre difficulté. Ainsi, il ne se laisse pas abattre et persévère dans ce qu'il entreprend. Le second personnage principal dont on fait très vite la connaissance n'est autre que Riko. Belle, intelligente et débordant d'assurance, la jeune fille impressionne par son esprit de déduction et son analyse acérée. Une aura de mystère entoure également la jeune experte et on finit par se poser pas mal de questions la concernant, en particulier sur la signification de la lettre Q désignant son cabinet. Outre les personnages principaux, deux personnages secondaires tirent leur épingle du jeu, à savoir Takuma Himuro, un professeur d'université qui viendra apporter son aide d'un point de vue scientifique lorsqu'il est question de faire des analyses plus poussées et bien sur Shôta Hayama, un inspecteur de police qui m'a tout l'air d'être un homme taciturne et sérieux.



Concernant l'aspect graphique de ce manga, Chizu Kamikou nous offre des dessins à la fois sobres et épurés. Le trait est fin et peut sembler plus ou moins marqué en fonction de l'ambiance. Ainsi, on peut remarquer les variations d'expressions qui s'opèrent sur les personnages, selon que la situation laisse place à de l'humour ou, au contraire, prenne une tournure plus sérieuse. L'arrière-plan dans lequel évoluent les personnages est riche en détails, sans pour autant se montrer trop chargé.



En bref, le premier tome de Q mysteries pose les bases d'un manga prometteur. Avec une intrigue prenante, une héroïne mystérieuse et des enquêtes bien ficelées, ce premier volume a de quoi attiser la curiosité et m'a donné envie d'en savoir plus.
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Ryô est une lycéenne solitaire, non par choix mais par fatalité: elle a du mal à comprendre et appliquer les codes de communication des ados de son âge, et se retrouve donc isolée. En plus, elle ne possède pas de téléphone portable, ce qui est un peu bizarre pour une jeune fille du 21ème siècle...

Alors, elle se prend à imaginer le portable de ses rêves et à s'inventer des conversations. Mais un jour, quelqu'un lui répond... dans sa tête.

Un manga doux, simple, mais qui traite en toile de fond d'un problème actuel plutôt universel: la place omniprésente et le rôle ambigu des portables et autres objets de communication à distance dans la société contemporaine. Bien des jeunes se reconnaîtront - eux ou des camarades - dans cette histoire douce-amère.

Premier manga et je suis très contente d'avoir tenté, car c'est un très bon policier.



Q Mysteries c'est d'abord une série de romans écrit par Matsuoka Keisuke.



La couverture (différente de la version japonaise) est sobre, le dessin est beau avec des traits fins et c'est plutôt fourni niveau texte.



Je me suis vite prise au jeu de cette lecture, même s'il m'a fallu un léger temps d'adaptation par rapport au sens de la lecture. C'est bien raconté, prenant, les mystères sont "mystérieux", les personnages attachants.



Riko et Yuto forment un duo de choc. Elle est mentaliste, il est journaliste, c'est un duo assez complémentaire, en arrière plan une romance... mais rassurez-vous si vous y êtes allergique (comme moi) c'est juste des entrefilet.



Une belle réussite, avec son duo attachant, des enquêtes bien ficelées, avec un coup de crayon très sympa, Q Mysteries s'annonce comme un excellent titre pour les amateurs d'enquêtes...

L'écriture est suffisamment efficace, sans être exceptionnelle pour autant, ça fonctionne et c'est tout !
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Un manga qui tient toutes ses promesses aussi bien scénaristiques que graphiques.
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Manga émouvant basé sur la solitude. Je n'ai pas eu l'occasion de découvrir les autres tomes, mais je ne doute pas d'une suite positive!

Ce one shot est assez étrange. L’histoire de base m’a d’abord laissé assez sceptique. Converser par téléphones imaginaires interposés… je ne voyais pas trop l’intérêt de l’intrigue. Mais je me suis finalement laissée prendre par cette histoire. Les dessins sont beaux et la détresse de cette adolescente est assez touchante. Au final je qualifierais ce récit de récit fantastique. Car jusqu’au bout on ne sait pas trop si tout se passe dans sa tête, ou si le phénomène est bel et bien réel. A-t-elle besoin d’un ami imaginaire pour changer et évoluer ou a-t-elle réellement eu cette relation téléphonique avec ce mystérieux jeune homme ?
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Personnellement, je n'ai pas du tout été déçue par ce premier volume de Mad World !



J'ai été attiré par la couverture de ce volume 1, son côté froid, triste, mais dans lequel on peut observer un touche de douceur et d'éveil. Ce premier volume est donc un one shot, une histoire complète en un volume, et c'est le premier de trois tomes que nous offrira cette série Mad World. (et on la remerciera ! )



Donc j'ai acheté ce premier tome confiante. Je lis le résumé et....



Wow, j'ai été surprise de lire le synopsis car j'ai eu l'impression de lire celui d'un film que j'avais particulièrement aimé : Kimi ni shika kikoenai/ Calling you.



Et en effet, le film en est l'adaptation. Donc personnellement, oui, je n'ai eu aucune surprise, surtout que j'avais vu une seconde fois le film pas longtemps avant de lire ce One shot. Mais redécouvrir cette histoire à travers ce manga était pour moi un pur bonheur, cette histoire avait été pour moi un vrai coup de coeur en tant que film, d'une poésie, d'une tristesse, d'un espoir à toute épreuve. Je me reconnaissais dans le personnage de Ryo, je n'ai personnellement pas eu de portable jusqu'au début de cette année à la fac. Je comprends ce lorsqu'on est un peu timide, un peu silencieux, on s'approche moins des autres, j'ai réussi très facilement à m'identifier au personnage.



Je souligne ici que je parle d'une globalité des deux œuvres car l'adaptation cinématographique est pour moi je trouve très fidèle, et vraiment tout aussi touchante (voir plus) que le manga, dans le film ils se permettent des petites longueurs, mais qui n'ont pas été pour moi une torture, j'ai vraiment apprécié chaque minute de ce film. Et aussi chaque page de ce manga.



Donc la première fois que j'ai vu le film, j'étais fin collège, début lycée, la petite fille que j'étais a complètement été fascinée par cette histoire, je voulais que ça m'arrive.



La touche de fantastique est magique et belle, la relation des deux personnages principaux est vraiment un souffle frais, ils sont amis, amoureux, connaissances, unique, ils sont là l'un pour l'autre et c'est suffisant. On observe de la mélancolie, des évolutions, les choses avancent comme il faut, d'être vide, au début ils sont mal dans leur peau, ils sont seuls, ils se créent un lien unique à partir du moment que leur téléphone se décroche. Leur rapprochement, ils grandissent ensemble. Ils me mettent des frissons plein la nuque. Et puis, les choses s'accélèrent, nous coupent le souffle, nous accélèrent le rythme cardiaque !



Même en connaissant le dénouement, j'avoue avoir été tout aussi émue par la fin, celle-ci m'avait aussi beaucoup touchée, d'une façon beaucoup plus forte dans le film, mais là je savais, j'ai appréhendé, mais la fin a fait son effet pour moi, même si on sait, même si on se doute de ce qu'il va se passer, j'ai été complètement submergé par ce one shot.



J'aime l'atmosphère qui pèse dans ce OS, le temps qui s'y coule.



Il n'y a pas à dire, je conseille fortement ce manga, ainsi que le film, mais c'est un style vraiment particulier~


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Dans ce manga nous retrouvons des Japonais et Japonaise dans la vie de tout les jours. Nous ne voyons pas les populaires ou les voyous mais les laissés pour compte.



Dans ce premier tome, nous suivons une jeune fille à qui personne ne parle. Quand, il y a des jeux de groupe personne ne la choisi ou si on l'a met dans un groupe, on fait comme ci elle n'était pas là. Sans raison apparente. Cette jeune fille pense que c'est parce qu'elle n'a pas de téléphone portable et décide d'en créer un dans sa tête, elle pense tellement force qu'il se met à sonner un jour.



Vraiment un très beau mange, très touchant. J'ai vraiment apprécié ce côté humain. Se mélange d'imagination et de réel justement dosé. Le dessin est très doux aussi pas de grand yeux ou d'expression bizarre. La couverture le montre tout de suite avec ses couleurs blanches et noires et les notes en musiques en transparent.



Et enfin, un tome = une histoire. J'aime bien cela change des suites à rallonge

Un manga qui met énormément de temps à s’installer malgré un univers réaliste.

J’ai eu l’occasion de découvrir cette œuvre via son animé et malheureusement, je pense que c’est ce qui m’a donné cette impression de longue installation de l’histoire. C’est souvent le souci lorsque l’on connaît déjà la fin d’une histoire.

L’histoire de ce tome est sinon bien construite, ballotant le héros tout comme le lecteur entre des indices semi-dévoilés, des secrets à peine éventés et plein de non-dits. La tension se pose d’ailleurs très vite avec la vision de très peu de lieux différents et souvent clos.

Niveau dessin, on est un peu plus sur un trait simple et épuré. Les décors sont présents sans être trop riches de détails, sauf dans quelques rares cas, et les personnages, bien que différenciables, ne sont pas travaillés avec une myriade de petits détails.

Pour les personnages, on s’attache très vite à Kôichi Sakakibara, après c’est un peu le seul qui semble agir normalement avec l’infirmière de l’hôpital. Mais il n’empêche que les personnalités de chaque personnage semblent avoir fait l’objet d’un soin tout particulier.

Je me demande déjà comment sera segmenté la suite de l’histoire dans le tome 2, j’ai hâte de le découvrir!

THE END

La série est terminée en 5 tomes et ça a été génial du début à la fin avec un plot twist que je n'avais pas vu venir et même à la toute fin : la situation se retourne encore, génialissime !

J'aime me faire des nœuds au cerveau et là faut avouer que c'est l'histoire parfaite pour ça !

Le fait d'avoir 2 enquêtes en parallèle est original et c'est excellemment bien exploité !

D'un côté on suit l'hécatombe qui se déroule sur l'île et de l'autre on a de plus en plus d'éléments sur le contexte avec les investigations qui ont lieu sur le continent !

On a plusieurs mystères à résoudre, plusieurs suspects possibles et comme les gens tombent comme des mouches, on se demande bien comment ça va finir.

Pour couronner le tout, les dessins sont vraiment beaux avec des traits fins et précis !

Y'a pas à dire pour moi, c'est carton plein !

Une série que je recommande aux amateurs d'enquêtes et aux fans de huis clos.

Un jeune homme retourne dans le village de sa maman et va donc fréquenter son ancien lycée.

Un malheur est arrivé dans ce lycée une jeune fille y a perdu la vie dans un accident il y a 26 ans et bizarrement tout le monde fait comme si elle était encore là et finalement cette jeune fille 26 ans plus tard est elle encore là ? Et bien vous le serez pas de suite mais ce manga est bien ficelé et vous tien en haleine il vous reste quoi à faire ? Et bien à commencer et moi à filer à la librairie chercher la suite!

manga en 4 tomes à dévorer tres rapidement

Ce tome ci est plutôt déroutant, on avance dans l’histoire mais en même temps on y comprend plus rien.

Heureusement les dernières pages nous apportent quelques réponses mais d’autres questions aussi évidement les personnages sont d’une beauté dingue. Vivement la suite

Second tome de la trilogie "Mad World" et seconde histoire bien différente qui aborde un autre thème dur sur la société japonaise : les remariages et l'absence de filiation sanguine qui remet en doute l'affection parentale. Le propos est tout aussi choc et dur que le premier volume, pourtant je l'ai moins aimé, probablement son côté plus terre à terre et encré dans la réalité.

Cette histoire a pour titre "Holiday", ce qui renforce la connotation aux fêtes de fin d'année avec le code couleur de la couverture qui est principalement rouge, avec des flocons de neige tombant autour de Nao. Et qui dit "Noël", dit en général "Famille", le moment de l'année où les membres d'une famille se regroupe et passent de bons moments ensemble. Pourtant cela va être le contraire de Nao, qui après une fugue quelques jours avant les festivités, pense que cela n'affecte pas ses parents et décide de monter un faux kidnapping. Elle va se trouver de l'aide auprès d'une domestique de sa père et tenter de soutirer les véritables sentiments de ses parents "adoptifs" de façon détournée.

Nao est une adolescente un peu perturbée qui remet en question son existence et sa place dans le monde. Sa mère s'est remariée, puis est décédée la laissant seul avec son beau-père qui la dorlote au possible. Des années plus tard, ce dernier se remarie et les choses ne se passent pas bien avec sa belle-mère. Nao est un peu trop sûre d'elle, hautaine et a bien vite oubliée ses racines, ce qui lui joue un bien mauvais tour. Elle n'en est pas moins très intelligente et débrouillarde, faute de quoi elle n'aurait pas pu s'en sortir aussi longtemps et monter un kidnapping en même temps.

Une fois de plus, il ne faut pas se fier aux apparences, des rebondissements inattendus retournent toute la lecture qu'on a pu se faire du livre. Cependant, le message de tolérance et l'importance de la communication sont bien transmis par les planches sublimes de Kiyohara, mettant en valeur le talent de conteur d'Otsuichi.

"Mad World" est une trilogie de oneshot d'abord éditée en France en 2012 et elle vient tout juste d'avoir droit à une réédition numérique avec des couvertures alternatives que je trouve très belles, douces et poétiques, en total accord avec les récits de chaque tome. Le récit poignant d'Otsuichi est parfaitement retranscrit par les dessins de Hiro Kiyohira qui apportent une touche de maturité aux "débuts" du futur scénariste à succès.

Ce premier opus intitulé "Inner Voices" traite avant tout sur la solitude des lycéens dû à leurs problèmes de communications, comment ils sont rejetés par les autres et le fait que les conséquences qui en découle peuvent être très graves.

Aihara est une jeune fille timide, renfermée sur elle-même qui n'arrive pas à parler à haute voix, elle passe son temps dans un silence complet et contrairement aux autres de son âge, elle n'a pas de téléphone portable puisqu'elle n'en a aucune utilisation. Ce qui l'empêche de s'en imaginé un "intérieur" parfait en tout point selon elle et qui va la mettre en contact avec un autre lycéen : Nozaki.

Un peu comme "Your Name", il y a une notion d'espace-temps dans les communications entre ces deux adolescents parias, ils ne sont pas dans la même ville, ni sur le même créneau horaire, ce qui rend plus compliqué de croire en la véracité de leur relation. Sont-ils psychotiques ? Leur imagination leur joue-t-elle des tours ? Les révélations finales sont incroyables, inattendues et puissantes, une véritable claque émotionnelle. Mais si vous avez adoré le bijou de Makoto Shinkai, "Mad World" vous plaira à coup sûr !

Yûto est un jeune journaliste qui travaille depuis 4 ans pour le Kadokawa Hebdo. Il est considéré comme un moins que rien par son chef et ses collègues. Yûto ne se décourage pas et se met à la recherche d'un scoop. Il va enquêter sur une série d'autocollants rependus un peu partout dans Tokyo. Il finit par se rentre au bureau d'expertise en tout genre, nommé Q. Il va y rencontrer la seule employée, Riko Rinda. Il va la suivre dans l'analyse des autocollants et va se retrouver, malgré lui, sur la piste d'autres enquêtes.



On entre rapidement dans le vif du sujet en découvrant l'intrigue principale. Nous allons suivre Riko et Yûto dans leurs différentes enquêtes. On en découvre plus sur Riko et son passé, dans le tome 2.



La lecture est agréable, les dessins sont fluides et nets. J'ai trouvé l'intrigue prenante et maîtrisée. Hâte de découvrir la suite !


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