Citations de Holly Jackson (45)
La salle de la bibliothèque était sombre et mal aérée, et ses narines remplies de l'odeur merveilleuse des vieux livres et de celle, poussiéreuse, des personnes âgées.
Parfois, ce n'est pas pour soi qu'on se souvient ; parfois on le fait juste pour faire plaisir à quelqu'un d'autre. Ce sont des mensonges autorisés.
Pourquoi leur avis t’intéresse, si tu sais que tu as raison ?
En premier lieu, un immense merci à vous, chers lecteurs. Lorsque je me suis lancée dans ce récit, le curseur clignotant sur la page blanche était d'autant plus intimidant que c'était la première fois depuis longtemps que je m'aventurais hors de l'univers familier de ma série Meurtre, mode d'emploi. Merci pour votre extraordinaire fidélité au fil de ces trois tomes, et merci d'avoir accepté de quitter Little Kilton pour me suivre sur cette petite route perdue dans le Sud des États-Unis. J'espère que vous avez apprécié les huit heures d'angoisse passées dans ce camping-car infernal.
(p. 509)
C’est seulement alors que j’arrêterai, cher Inconnu. Seulement quand j’aurai fait éclater la vérité au grand jour, et toi avec.
Il y a des gens qui travaillent dans leur chambre, moi je dors dans mon bureau. C’est très différent.
Parfois, ce n’est pas pour soi qu’on se souvient ; parfois on le fait juste pour faire plaisir à quelqu’un d’autre.
- Hey Sarge, remember me ?
- …
Her against them.
Save herself to save herself.
Je crois que je préférerais mourir que devoir reprendre à zéro autre part.
Les coups de feu étaient toujours là. Désormais, ils vivaient en elle.
-La dernière fois, j’ai failli tout perdre. J’ai fini à l’hôpital. A cause de moi, mon chien est mort, ma famille s’est retrouvée en danger. J’ai fait voler en éclat la vie de ma meilleure amie. C’est trop me demander. Je me suis fait une promesse à moi même. Je… Je ne peux pas.
Mais, parfois, ce n'est pas pour soi qu’on se souvient; parfois on le fait juste pour faire plaisir à quelqu'un d'autre. Ce sont des mensonges autorisés.
He was such a lovely kid.But considering the evidence , I don’t see how he couldn’t have done it .
"- Tu veux m'inscrire sur un site de rencontres ? S'étonna Ravi. T'es vraiment pas banale, comme copine"
Elle le connaissait, pourtant, c'était Jamie. Jamie !Mais comment pouvait-on affirmer connaître quelqu'un ? Elle examina ses yeux, à la recherche des secrets qu'ils dissimulaient. Où es-tu ? lui demanda-t-elle en silence.
Les risques, il y en a toujours. Y compris quand on traverse la rue.
Au moment où j'aurais mis cet épisode en ligne et où vous l'écouterez, une nouvelle étape aura été franchie : nous aurons passé la barre des soixante -douze heures depuis le dernier moment où Jamie a été aperçu. Dans la police, quand on enquête sur une disparition inquiétante, la barre des soixante-douze heures est une limite clé. Après cela, la police reconnaît tacitement qu'elle ne cherche sans doute plus une personne, mais un corps.
Tu lis bien les commentaires, toi !
- Oui, c'est vrai. au cas où on nous donnerait des informations, au cas où quelqu'un aurait répéré quelque chose que j'aurais manqué. Mais je sais aussi que l'immense majorité d'entre eux ne sont pas constructifs et qu'Internet est rempli d'abrutis.
Et toujours, toujours, ils l'accompagnaient.
Les coups de feu.
Le pistolet s'était installé dans sa poitrine, il battait en rythme avec son coeur, cognait contre ses côtes, visait avec ses yeux. Les coups de feu retentissaient dans ses cauchemars, dans un éclat de vaisselle, dans le choc d'un stylo qui tombait par terre ; dans un long soupir, un coup de tonnerre, une porte qui claque ; dans le trop fort et le trop calme, dans la solitude et son contraire, dans le bruissement des pages et le cliquetis d'un trousseau de clés, dans chaque crissement et chaque craquement.
Les coups de feu étaient toujours là.
Désormais, ils vivaient en elle.