Hugh Howey

J'ai adoré Outresable ! C'était un roman qui se suffisait à lui-même d'ailleurs. Quand j'ai vu qu'une suite allait sortir j'ai trépigné d'impatience. Malheureusement c'est quand même bien en-dessous du premier. Pas seulement comme un deuxième tome dont on attend beaucoup et qui nous déçoit. Non vraiment là on a l'impression que son éditeur l'a supplié d'en faire un autre qui n'était pas prévu au programme.

Virtuose, j'avais déjà été fascinée par Silo 1 et l'aventure passionnante continue (en fait, Hugh Howey nous explique la genèse de l'histoire de Silo). Le livre est magnifique dans sa construction : un ballet d'allers-retours entre les périodes et les silos. Tout s'explique... On en reste fasciné. A tel point que je vais laisser passer une année et relire le livre mais là, dans l'ordre chronologique des années pour le redécouvrir sous un autre angle (je sais, je sais, l'idée semble saugrenue mais pourquoi pas). Et j'ai hâte de débuter Silo 3 😉

Silo les origines est comme sont nom l'indique le prequel du monde sous terre. Il se decompose en 3 parties, la création des silos, l'insurrection dans le silo 18 bien avant celle décrite dans le premier tome et un dernier chapitre qui fait le lien avec le premier roman.

Comme pour le premier roman, le matériel est riche mais je n'arrive pas à m'extasier sur l'histoire. Cela se laisse lire, et je lirai le dernier tome mais faute d'émotion d'attachement particulier, cette saga ira rejoindre les livres lus et oubliés.

Apres avoir vu la série dont j'avais apprécié le déroulé, malgré les inévitables ressorts dramatique assez classique de sa narration, je pris la décision d'entamer la lecture du livre dont elle été tirée.



Il est peu de dire que ma déception fut grande tant le livre peine à susciter le moindre intérêt au delà de son contexte d'origine.



L'auteur, si on peut l'appeller ainsi, déploie sa trame en delayant son intrigue tout en ne parvenant jamais à provoquer un émoi, une urgence, les événements s'enchaîne sans que l'on ne puisse se sentir concerné.



Ses personnages sans âme sont des stéréotypes, des pions sans caractérisation ou presque qui ne sont là que pour subir les péripéties molassonne que l'auteur a eu le malheur de vouloir nous partager.



Terriblement manichéen, tant dans sa représentation d'une société hiérarchisée du haut vers le bas, que dans les tourments de ses personnages qui semblent avancer en ne sachant pas réellement pourquoi et dont les interconnexions ne sont jamais développé au delà de la simple nécessité de les faire avancer d'un point à vers le fameux point b.



On fini la lecture en ayant le sentiment que l'on vient de subir l'intro d'un livre classique mais qui, pour un mystère qui sera jamais résolu, a été prolongé sur 600 pages. Si la souffrance devait avoir un synonyme on l' appellerait Silo.

Un roman passionnant, très bien mené, dont l'intrigue se déroule dans un futur post-apocalyptique et qui happe le lecteur et l'entraîne dans une découverte progressive d'un système de société souterraine, hiérarchisée et catégorisée par corps de métiers, dont les règles de vie rigides sont définies dans un texte nommé "le pacte". Ceux qui dérogent à la règle sont condamnés à sortir du silo pour nettoyer la caméra qui filme le monde extérieur, puis à mourir sous les yeux des spectateurs. Jusqu'à ce qu'un jour, une condamnée rebelle change la donne...

Si vous aimez le suspense et la SF, allez-y les yeux fermés, ce roman est un chef d'oeuvre. Il est suivi de deux autres tomes que je vais m'empresser de découvrir.

J'ai commencé cette lecture après avoir vu la 1ère saison de la série. C'est l'intrigue qui m'a captivée au premier abord. Et même si je préfère généralement lire un livre pour m'accaparer l'imaginaire de son contenu au lieu de visionner une adaptation, il faut dire que cette dernière a cette fois été au service de l'œuvre originale.



Malgré quelques écarts avec le livre, la série a su apporter un certain éclairage sur plusieurs points et la profondeur des personnages que je n'ai pas su retrouver à l'écrit. D'autant que le style (c'est peut-être la traduction) était simpliste, trop même, ponctué de temps à autres de remarques intelligentes mais qui ne suffisaient pas à rehausser suffisamment le rythme de l'intrigue. L'ennui est arrivé à cause de nombreux passages moroses, sans action, ou bien des actions longuement décrites mais sans fond dont l'auteur aurait pu se passer pour se concentrer sur la belle matière qu'il avait à disposition.

Car oui, l'univers est passionnant, ce livre invite à la réflexion autant qu'à imaginer des théories pour expliquer ce qui se passe et la raison pour laquelle existent les silos. L'idée de base était bonne, intéressante, sauf que l'écriture n'a pas su la porter tout le long du récit.

J’ai oscillé entre réel intérêt et presque ennuie lors de la lecture de ce livre. En effet, j’ai trouvé l’histoire plutôt prenante, bourrée de bonnes idées et d’un intrigue très prometteuse. Certains personnages sont également attachants et nous donnent envie de tourner les pages. Cependant, ce flot de bonnes idées a très souvent, trop souvent, été noyé dans d’interminables descriptions. C’est dommage car l’auteur passe du temps sur des détails peu intéressants alors que certains points de l’intrigue mériteraient plus d’attention et de temps pour comprendre pleinement le récit et s’y plonger complètement. Au final je reste sur ma faim et garde un arrière goût d’inachevé. Je prendrai tout de même le temps de lire la suite afin de voir s’il y a du mieux.

Je viens de finir SILO ... Je crois que vous me prendrez pour une folle mais j'ai presque envie de replonger depuis le début dans cette histoire. Je crois qu'il va me falloir du temps pour m'en défaire et c'est parfois difficile quand on est très attachée à une histoire de recommencer un nouveau roman. J'espère que cela n'annonce pas pour moi une panne de lecture comme se fut le cas parfois par le passé.



Il m'aura fallu environ 48 heures de lecture pour venir à bout des 1536 pages ... et tellement d'émotions, tellement de pression, je n'ai pas pleuré mais j'ai eu peur, j'ai lu en apnée, le temps s'est littéralement arrêté, j'ai vécu Silo pendant ces deux dernières semaines. J'ai des images du roman que je me suis crées, incrustées dans ma tête, voilà très longtemps que je n'ai pas été autant secouée par un roman. C'est plus qu'un coup de cœur, c'est un livre que j'emmenai avec moi sur une ile déserte.



C'est clairement pour moi la meilleure dystopie que j'ai lu et j'en ai lu beaucoup. C'est un genre que j'affectionne particulièrement mais je trouve le travail de Hugh Howey extrêmement abouti.



Il y aurait encore de la place pour un dernier tome, ce n'est pas prévu, dommage je serais bien repartie pour 500 pages de plus.



J'ai apprécié tous les protagonistes avec leur secret et leur détermination pour découvrir la vérité ou au contraires ceux convaincus de garder la paix dans l'ignorance. Hugh Howey a construit un monde cruel, nécessaire, dictatorial pour la préservation de l'espèce humaine. A lire absolument.



Pour voir l'intégralité de mon ressenti tome par tome voir ma chronique entière en cliquant sur le lien ci-dessous.



Si vous vous posez la question quelle est la hauteur de ce silo et combien de temps faut-il pour le parcourir, je réponds à vos questions aussi sur ma chornique.




Lien : https://exulire.blogspot.com..

Cette année, j’ai décidé de me lancer dans l’aventure Silo de Hugh Howey ! Ma comparse de blog Mélissa vous a déjà présenté cette saga à nos débuts et me voilà plongée dedans presque 4 ans plus tard.



Ma crainte principale était que l’écriture soit trop compliquée. J’ai toujours du mal avec les univers post-apocalyptiques mais ici j’ai été surprise de vite m’habituer au style de l’auteur et à l’intrigue. Justement, l’histoire est assez simple, on suit un groupe de personnes enfermé depuis des générations dans un silo de plus de cent étages. L’air extérieur est empoisonné et le mot d’ordre est de ne jamais dire que l’on souhaite sortir au risque d’être expulsé du silo et donc de mourir.



Pas de chance, le shérif du silo décide de sortir dès les premières pages et l’ordre établi commence à dégringoler. Pour le remplacer, la maire du silo embauche Juliette, une employée de génie qui est aux machines depuis son enfance. Evidemment, cette nomination ne plait pas à tout le monde et encore moins au DIT, cette branche autonome qui tire les ficelles du silo.



J’ai trouvé ce premier tome agréable à lire, et clairement j’ai envie de découvrir la suite. L’écriture est fluide, le suspense et l’action sont justement dosés, on ne s’ennuie donc pas. J’ai compris que c’était un tome d’ouverture et que la suite traiterait de ce qui a conduit l’humanité à s’enfermer sous terre. Je ne suis pas tellement fan des préquels et j’aurais tout de même aimé retrouver Juliette et les autres dans un second tome. Néanmoins, je pense me lancer dans ce tome deux très bientôt afin de ne pas perdre la hype silo dans laquelle je me trouve !



En attendant, je me suis également plongée dans la série TV éponyme sur Apple TV qui est plutôt pas mal ! Un bon choix d’acteurs, une intrigue assez fidèle au roman, vivement la saison 2 !



Qu’avez vous pensé de cette saga ?
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Oulala quelle lecture fleuve… mais je n’avais pas lu un livre comme ça depuis ouf! des années.

L’histoire est assez simple: des centaines de personnes sont enfermées dans un silo enterré, et au début on ne sait pas pourquoi (mais comme je l’ai fini, je sais et je vous dirai pas…). Ils ont divisés en castes: les bleus, je vous le donne en mille, ce sont les mécanos et ils sont au dernier étage, tout en dessous, presque le 150ème (vous l’aurez compris, c’est pas un bête silo à grains), au milieu, la surveillance interne, l’étage du dessus c’est celui de l’équipe dirigeante, la maire, et de la police - parce que dans toute dictature qui se respecte, ça va ensemble.

Les dissidents sont exécutés de manière originale: ils sortent du silo et meurent sous les yeux de tous (une exécution publique en quelque sorte) et leurs cadavres se décomposent lentement aux yeux de tous.

Mais la machine se grippe quand une bleue (mécano donc) intelligente devient shérif et commence à se poser plein de questions. Notamment autour de qui dirige vraiment le silo? Et d’ailleurs, pourquoi ce silo?

On est complètement scotché à cette histoire, qui se développe au bon rythme, celui des escaliers finalement (il faut une semaine pour monter, devinez quoi: ils n’ont pas de salle de gym eux), mais aussi des idées et des espoirs, des morts et des vivants, des rébellions, des questions, de ceux qui réapparaissent - il y a plein de rebondissements et plein d’espoir.

Quelque chose me dit que ce livre ne doit pas être dispo partout, ça pourrait donner des idées ou du courage à des gens dont on voudrait bien qu’ils continuent à bouffer du foin….

Une histoire captivante.

J'ai passé un superbe moment de lecture. J'avais du mal à lâcher le bouquin le soir, et toujours hâte d'y retourner le lendemain.

C'est très immersif. Je n'avais aucun mal à m'imaginer les scènes, à plonger dedans, et à suivre ça comme un film.



Je reconnais quelques faiblesse à l'écriture: il n'y a pas vraiment de style, parfois quelques longueur dans les descriptions..mais le rythme est bon, l'action est suffisante, et l'univers rattrape le tout.



Nous n'obtenons pas forcément toutes les réponses à nos questions avec ce premier tome, mais l'auteur à assez bin pensé son texte pour qu'on ne soit pas frustré pour autant. J'ai hâte d'en decrouvrir davantage avec les 2 autres tomes.

En ayant lu quelques livres de cet auteur, Hugh Howey, je constate une certaine constante chez lui, il ne vérifie pas si ce qu'il écrit est plausible.

Explication : Lorsqu'un avion de ligne s'écrase sur une montagne à 700 km/h il ne reste pas grand chose de l'avion et surtout il ne peut y avoir aucun survivant. Lorsqu'un astéroïde de la taille d'une grande ville s'écrase sur une planète à la vitesse de 50 000 km/h, la fusion thermonucléaire qui en découle ne laisse que des morceaux pas plus grand qu'un petit pois. Alors lorsqu'un gros vaisseau spatial fait principalement de métal s'écrase sur un planétoïde à la vitesse de 20 fois la vitesse la lumière, soit le chiffre astronomique de 6 000 000 km/s, ben il ne reste quasiment rien, juste de la lumière. Donc son histoire de naufrageur qui part récupérer du matériel sur le navire écrasé, ne tient pas la route. De surcroit, il ne peut y avoir aucun survivant.

Ensuite, tout le bouquin n'est qu'une introspection d'un vétéran de guerre traumatisé partant dans des délires phantasmagorique (Un dialogue improbable avec une pierre) ou l'auteur tente parfois d'insuffler une parcelle d'humour (raté) aboutissant à une lecture compliquée avec des personnages lisses et sans intérêt.

Bon, comme le bouquin n'est pas épais, je l'ai finis sans conviction et je pense rapidement l'oublier.

L'engouement autour de Silo étant ce qu'il en est, cela ne veut pas dire que chaque écrit de cet auteur est une œuvre, même pour Silo je garde mes réserves.

Une histoire plutôt classique en soi, déjà vue, mais accrochante.

Par contre, quelques longueurs tout au long du bouquin. Dommage quand on voit son épaisseur, j'ai sauté quelques pages sans souci.

J'ai découvert par la suite qu'il y avait d'autres volumes, 3 en tout. Ça m'a un peu blasé de ce fait, toujours au vu de ces longueurs...

Outredune démarre par une apocalypse, rien que ça. Et bien évidemment, le souffle de cette catastrophe nucléaire pèsera tout le long du roman, notamment du côté d’Anya qui voit sa vie détruite et qui va accompagner son père dans un désir de vengeance.

Comme pour le premier volume, nous allons naviguer de personnage en personnage au gré des chapitres savamment bien rythmés. On peut toujours craindre une séquelle, surtout après un premier tome aussi réussi qu’Outresable. Mais Hugh Howey ne revient pas dans cet univers en déliquescence pour une promenade de santé, il nous empoigne avec un nouveau récit d’aventures palpitantes qui va lui permettre d’approfondir la mythologie esquissée dans le premier roman.

Les trois frères Rob, Palmer, Conner et leur surprenante petite sœur Violette vont être au centre des péripéties où il sera question de pirates des sables, de guerre de gangs, et surtout et avant tout de survie. Les possibilités technologiques du système de plongée vont elles aussi acquérir de nouveaux horizons, qui donnent peut-être les meilleures pages du roman. Et surtout, Hugh Howey prend soin de ne pas noyer le lecteur sous un charabia scientifique; au contraire, dans ce monde de bric et de broc, la technologie est brinquebalante, mais elle oblige justement à pousser les protagonistes dans leurs retranchements.

Décidément, Hugh Howey sait tenir son lecteur en haleine et on arrive au dernier tiers d’Outredune dans un état d’enthousiasme total, en se demandant comment tout cela va bien pouvoir finir. Il faudra pour cela attendre un indispensable 3eme volet pour comprendre et évaluer les conséquences du choc final qui ouvre des perspectives vraiment excitantes !
Lien : https://lirealombredelolivie..

Une dystopie post apocalyptique.

Des vents toxiques balaient la surface de la terre où toute forme de vie a disparu.



Un silo géant, sommet à fleur de sol, déplie ses 100 étages sous la surface autour d'un escalier, longue colonne vertébrale d'une colonie humaine confinée la depuis plusieurs générations.

Une micro société reconstituée (shérif, maire, juge, école, cafétéria, maternité, direction informatique...) et puis Juliette, une mécanicienne de génie qui bosse au dernier niveau, dans la salle des machines.



Personnage majeur du roman, elle va découvrir par fragments, une vérité bien différente de celle qui est servie par les autorités en place.



D'emblée, je suis saisie par la qualité d'écriture.

Le texte est précis, fouillé, dense, je ne m'y attendais pas.

Poussée par le suspense, j'avale les pages.

Franchement, j'ai beaucoup aimé, retrouvant le plaisir de cheminer hors de mes sentiers habituels.

Une communauté vit dans un silo depuis une période qu’on ne saurait dater et pour des raisons inconnues. Ce que l’on sait en revanche, c’est qu’on ne peut sortir dehors car l’air est contaminé. Le dehors n’est visible que grâce à une caméra que les particules charriées par le vent encrassent régulièrement. De temps à autres, un nettoyeur se dévoue, quelqu’un qu’on va punir parce qu’il a osé enfreindre les tabous, parmi eux l’espoir et l’envie de sortir du silo. Mais tous savent que le nettoyeur ne survivra pas longtemps tant l’atmosphère est hostile. Un jour pourtant, bien malgré elle, Juliette — travailleuse des fonds acharnée — est envoyée au nettoyage. Elle va bénéficier d’une aide inattendue, non seulement pour sortir, mais aussi et surtout s’en sortir…



« Silo » est le premier roman de l’américain Hugh Howey et le premier volet d’une trilogie. C’est une œuvre captivante et poignante d’un bout à l’autre. Ce qui au départ était une nouvelle est devenue roman à la demande pressante des lecteurs passionnés puis premier opus d’une trilogie !



Il est vrai que l’auteur a un art consommé de la narration et du suspense. Les premiers mots accrochent d’emblée : « Les enfants jouaient pendant qu’Holston montait vers sa mort ; il les entendait crier comme seuls crient les enfants heureux. » Peu à peu un monde prend forme sous la plume de Hugh Howey, un silo souterrain géant dans lequel survit toute une communauté. Son organisation rappelle notre humanité avec ses classes sociales, différenciées ici verticalement : dans le fond, les techniciens et ouvriers laborieux qui fournissent électricité, matériaux, nourriture et eau à la communauté. En s’élevant dans le silo, on accède aux classes sociales supérieures, au prestige des professions intellectuelles. Et puis, il y a l’étage du DIT, royaume des ordinateurs et de la technologie de pointe, un monde dont on mesure l’importance et les secrets bien cachés.



Si l’on sait que l’atmosphère extérieure est contaminée, l’ambiance au sein du silo n’est pas aussi sereine qu’on pourrait le penser de prime abord. Pour vivre ensemble, la communauté doit respecter des règles, telle que celle d’une procréation rigoureusement encadrée ; il y a aussi les tabous dont le poids étouffe toute velléité de rébellion : il est interdit d’évoquer le dehors, ou bien la possibilité ou même l’espoir de sortir, de quitter le silo. Des souvenirs confus d’insurrection hantent les plus anciens. Mais derrière les tabous se cachent sûrement des secrets, voire des mensonges. C’est ce que pressent Juliette, jeune femme intègre et entière qui a été choisie pour devenir shérif.



Au fur et à mesure des chapitres qui alternent descriptions, actions, introspection, qui se centrent sur tel ou tel protagoniste, le suspense croît, tout autant que l’espoir. Les personnages sont bien décrits, attachants ou écœurants à souhait, en tous cas, ils ne nous laissent pas de marbre. J’ai apprécié cette œuvre épurée dans laquelle l’auteur ne nous perd pas dans des théories par trop complexes ou des révélations alambiquées. Et cela est plutôt rare pour être souligné. On est happé par ce page-turner qui joue sur le huis-clos, la peur et l’espoir, la révolte… une œuvre humaine et puissante, de bout en bout !

Silo, une œuvre de science-fiction fiction qui se déroule dans un monde post-apocalyptique.

Comme son nom l'indique l'action est en lien avec un silo de 140 étages dans lequel survit le reste de l'humanité. Le monde autour est devenu irrespirable et le seul moyen de voir le monde est l'ensemble de caméras à l'extérieur du silo. Les règles du silo sont strictes, les mauvais comportements sont sanctionnés par la mort, les naissances contrôlées par loterie...on suit l'aventure de Juliette, Cherif du silo, qui va se poser des questions sur ce monde extérieur et qui découvrira la vérité malgré elle.

Alors oui je n'ai pu m'empêcher de penser au mythe de la caverne de Platon, mais aussi au transperseneige dans lequel l'humanité survit, ou chaque wagon (ici des étages) à sa fonction.

On est donc loin de l'œuvre tout à fait nouvelle, mais ça se laisse lire (heureusement, car il y a 700 pages) la fin est trop conventionnelle, mais je vais m'essayer au tome 2…

Chaudement recommandé par un collègue je me suis lancé sur ce livre . J'ai vraiment apprécié. Notamment avec palmer. Mais aussi les relations parfois compliquées de cette fratrie .Je vais me lancer sur la suite outredune prochainement .Je recommande

Un monde post-apocalyptique sous terrain dans lequel on plonge avec réalisme.

Après avoir vu la série, j'ai apprécié le style plus simple du roman où l'intrigue prend une autre dimension. J'ai aussi apprécié la critique de cette société proche de la notre avec ses divisions où la place de l'injustice du système prend plus de sens.

Un bon scénario de science-fiction.

J'ai regardé la série et le livre me tentait bien. Les commentaires m'avaient beaucoup dissuadés et je me suis dit: essaye. Et j'ai bien fait.

Alors oui ça ressemble beaucoup à la série sur les 100 premières pages, puis beaucoup de choses diffèrent et comme à chaque fois , le livre est beaucoup mieux que la série (même si elle est vraiment bien).

Beaucoup étaient bloqués par le fait que les personnages montent et descendent les étages, le problèmes c'est comme si on disait d'un livre à notre époque : ils prennent trop la voiture, et fond trop d'aller retour... Car oui, les étages sont là et fond partis intégrantes du roman, comme un personnage principal. Les étages nous expliquent beaucoup de choses, à ceux qui veulent bien comprendre.

C'est très bien écrit, détaillés et peu de dialogue (ça c'est ce qui m'a bloqué) mais en même temps ça fait partit de l'histoire. L'auteur a vraiment su tout utiliser et mettre en action pour une cause. Chaque choses, détails de leur vie est importante, jouent un rôle.

Ici les personnages principaux sont bien Juliette et spoiler: Lukas. Grâce à eux des choses vont se dire, se faire et se découvrir.

Les 200 premières pages sont la série, la suite sans doute saison 2 et 3 et encore... . Il n'y a pas de langueur dans ce livre, mais une attente, une violente envie de savoir, comprendre, pourquoi ? Et de voir les éléments s'enchaîner.

Hâte de découvrir le préquel et la suite. C'est vrai que se sont des pavés, mais qui nous plongent dans l'univers et dont on a dû mal à dire au revoir.