Citations de Ilsa Madden-Mills (80)
Même quand plein de merdes nous tombent dessus, c’est à nous de décider de continuer ou pas. À nous seuls. Le soleil a peut-être disparu, mais les étoiles sont toujours là, à attendre, à te donner de la lumière.
« Je ne suis pas un poète,
C'est la première chose que tu dois savoir.
Mais parfois, mes pensées ne parviennent pas à prendre forme
Autrement que dans les lignes noircies.
La première fois que je t'ai vue, Tu étais comme un agneau, Avec des rêves dans les yeux.
Tu me rappelais celui que je voulais être,
Innocent et doux.
Je voulais goûter cette part de toi, le savais-tu ?
Mais je te voulais aussi parce que je suis égoïste et imparfait.
J'ai pris tes baisers,
Sans égard ni scrupule.
Je suis désolé.
Je ne peux pas changer la personne que j'étais, Autrefois.
Mais maintenant...
Mes moments préférés avec toi sont
Tes Converse sur mon sol,
Les sweats à capuche sur mon lit,
Les papillons au-dessus du tien,
La façon dont tu te blottis dans mes bras. Quand je regarde tes yeux aujourd'hui,
Je vois une louve.
Forte.
Feroce.
Belle.
Digne.
Et tu le sais toi aussi, car tu m'as mis de côté.
Je suis un putain d'imbécile.
Je me suis perdu.
J'ai perdu mon chemin.
J'ai perdu celui du hockey.
Je t'ai perdue, tor.
Et le bonheur aussi.
Je pourrais dire que c'est la faute de mes parents.
Que c'est la faute de Kurt.
Que c'est la faute de la culpabilité, des reproches et des responsabilit.
Que c'est la faute de la tempête qui gronde dans ma vée.
Mais j'avais aussi peur.
Peur d'essayer d'ote suisamment bien pour le mitrier.
Peur d'accepter que tu tiennes à mai.
Depuis que je suis gamin,
Les gens ne m'ont aimé que sous conditions.
« fallait que je sois intelligent. »
Ou riche.
Ou drôle.
Ou une star.
C'est ironique,
Les gens pensent que je suis insouciant,
Que j'ai la vie belle,
Alors que j'ai un vide béant à l'intérieur de moi.
Je ne suis pas sûr d'avoir jamais été aimé
Par une personne qui ne voulait pas d'un fragment
De ma célébrité.
J'apprends à aimer ma mère à nouveau.
J'apprends à m'aimer moi-même,
Pas à pas.
Je ne suis pas partart.
Je ne le serai jamais.
Mais je tiens à toi.
Je t'aime, putain. »
Tu as un feu qui brûle en toi, Ava. Knox m’a confié comment tu as grandi, ta mère, ton frère, dit-il, ses yeux gris, si similaires à ceux de Knox, me dévisageant. Il faut être un vrai phénix pour renaître ainsi de ses cendres. Je suppose qu’il pense que tu en es un.
Les cicatrices sont comme des médailles de bravoure, et les cœurs les plus vaillants sont les plus décorés. J’aime tes cicatrices. Partage-les avec moi
Peu importe la route que tu empruntes, peu importe qu’elle soit belle ou laide, lisse ou rugueuse, pavée ou criblée de trous, c’est ta route. Ce qui compte, c’est la destination.
— Chère Ava, aujourd’hui est le début de tout ce que tu souhaites, me murmure-t-il à l’oreille.
Il y a réellement des émotions qui transcendent le chagrìn et la tristesse. Ces blessures vous préparent seulement à accepter la douceur dans la vie. L'amour.
Nous ne sommes pas exactement amies, mais quelque chose me dit que nous ne sommes plus ennemies non plus.
Parfois, on pense que tout tourne autour de nous, mais ce n'est pas le cas et quelquefois, on dit et fait des choses pas très bien quand on veut vraiment obtenir ce dont on a envie, aux dépens des autres.
- Sugar Baby, tu es le meilleur match que j'aie jamais joué.
- La vie n'est jamais facile quand on est anxieux. Ces angoisses peuvent ne jamais disparaître, c'est pourquoi tu dois t'endurcir contre les idées noires, être préparé, et affûter tes méthodes d'adaptation comme une lame contre une pierre. Utilise ces choses qui te font peur. Fais-leur face. Accepte-les. Surmonte-les.
La légende dit que la première personne que tu embrasses pendant la fête est celle que tu n'oublieras jamais. Mêmes des années plus tard, tu rêves encore de cette personne.
Notre amour est tel une tempête, un tsunami qui nous submerge.
Quand les gens prennent soin les uns des autres, la vie s'arrange d'elle-même.
Il est comme des montagnes russes ; dangereux et excitant. Mon cerveau me dit de descendre et de me sauver, mais mon cœur n'aspire qu'à aller jusqu'au bout pour voir si je vis où si je meurs.
Tu es celle que j'ai laissé partir, Delaney. L'opportunité que j'ai manquée.
Elle est le symbole de ma réussite dans la vie. Mon amour, mon espoir. Pour toujours.
« Nos lignes sont devenues un peu floues sur le chemin, entre cœurs brisés et temps perdu, mais au final, notre magnifique boucle n’aurait pu être mieux bouclée. »
« — Ce sont mes futurs grand-père et oncle. Knox sera mon père, explique Tyler à la journaliste qui lui jette un regard et rit, puis elle se penche vers lui.
— C’est vrai ça ? Dis-m’en plus.
On dirait bien que la journaliste compte adopter un angle plus personnel pour son article...
Tyler laisse échapper un long soupir de dépit.
— C’est une histoire suuuper longue… Et je le sais parce que mon futur papa adore la raconter, mais ça a commencé avec une lettre d’amour qu’il a mis dans le casier de ma sœur…
Je souris. Techniquement, ça a débuté au moment où nos yeux se sont croisés en première année de lycée, mais il peut bien la démarrer ainsi. »
« — Je sais que tu es farouchement indépendante, mais j’ai besoin de toi, Tulipe. Je t’ai laissée partir. J’aurais pu te courir après et te supplier de revenir, pourtant j’ai tout mis de côté et continué ma vie pour ma famille, pour remettre notre vie en ordre, et c’est ce qu’on a fait. Mais il n’est plus question d’aller doucement. De respirer. Maintenant, c’est à nous de vivre. Nous. »