Citations de Isa Lawyers (63)
– Un prince charmant qui va aux putes. Génial ! Walt Disney doit se retourner dans sa tombe.
La passion qui l'anime dégage autour de lui une sorte d'aura qui le rend flamboyant.
Aimer, c'est s'exposer, se découvrir, se livrer et c'est parfois aussi se briser.
Une dernière nuit. Elle sera belle, je sais qu'elle me hantera jusqu'à la fin de mes jours. Car ce soir je vais aimer, une ultime fois, l'homme de ma vie.
Aimer, c’est s’exposer, se découvrir, se livrer et c’est parfois aussi se briser.
C’est bientôt Noël, continué-je. À cette période, j’aime à penser que nos cœurs sont plus enclins à la bienveillance, à la générosité et au pardon.
Pour la première fois, je me sens la plus vulnérable de nous deux. Et étonnamment, ce n’est pas désagréable.
Notre histoire, notre vie, sera à jamais marquée par une imposture. La mienne.
Le monde est en train de changer. Les victimes parlent. Les femmes s’ouvrent sur leurs calvaires passés pour protéger celles de demain. Les prédateurs ne sont plus à l’abri. Je ferai partie de celles et de ceux qui aideront à les déloger de leur impunité, à les traquer et à les forcer à répondre de leurs actes.
Cette fille coule dans mes veines et a contaminer tout mon corps, il va falloir que je trouve le sérum très vite pour me débarrasser de ça. C’est nécessaire.
Dès que je ne suis plus dans ses bras, l’obscurité de ma vie m’engloutit de nouveau et le froid de mes peurs remplace la chaleur de son corps.
On ne voit rien et on voit tout. Un truc à rendre fou.
Machinalement, il me sourit. Juste parce qu’il me sourit chaque fois qu’il me voit, comme si la simple apparition de ma personne provoquait chez lui une bouffée de bonheur.
Oh, ma douce, je t’assure que si je devais tomber amoureux d’une fille, ce serait toi.
Jamais on ne m’a regardée comme ça. Jamais de cette façon. Comment ai-je pu vivre, être heureuse jusque-là sans cette admiration qu’il me renvoie ?
Mon corps exprime tout son hédonisme et se cabre sous ses caresses. Les lèvres d’Oliver se font fiévreuses, ses doigts experts de mon plaisir.
Je n’ai plus faim. Enfin si, mais je préfère crever de faim plutôt que d’accepter quelque chose venant de lui, mon tortionnaire. J’avoue que c’était quand même bien tenté de sa part de m’amadouer par le ventre. Pas de doute, le manant connaît mes faiblesses. Je papillonne des yeux pour dissimuler les larmes qui recommencent à brûler mes yeux.
Hélias est pire qu'une pastille rouge de chez Yuka.
- Je t'assure Hélias que si je devais tomber amoureuse d'un homme ce serait toi !
« Par la barbe de Merlin, il est super beau comme dans un de ces téléfilms bidon qui passent à Noël mais que j’adore regarder en cachette. »