Tu vois, chaque fois que je suis avec toi, chaque fois que je te regarde, je me sens merveilleusement bien. Je ne comprends pas pourquoi et ça me bouleverse, mais c’est comme ça. Je n’ai pas besoin de coucher avec toi, je pourrais seulement me contenter de te regarder, d’observer chaque petite partie de toi. Et pourtant, Tom, je meurs d’envie de t’embrasser avant de sortir de cette pièce…