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Citations de J. P. Delaney (338)


Depuis, chaque fois que je mets en marche un appareil, je tombe non pas sur Google ou Safari, mais sur une page vierge, intitulée « Housekeeper1 ». Il n’y a que trois onglets : « Maison », « Recherches » et « Cloud ». « Maison » fait apparaître toutes les données concernant le One Folgate Street – éclairage, chauffage, etc. On peut choisir entre quatre ambiances : Productive, Tranquille, Joyeuse et Déterminée. L’onglet « Recherches » me conduit sur Internet. « Cloud » assure la sauvegarde et le stockage de mes documents. Chaque jour, Housekeeper me suggère une tenue vestimentaire.
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D'après les différents site de psychologie que je consulte, un sociopathe se caractérise par :

● Un charme superficiel
● Le sentiment que tout lui est dû
● Des mensonges pathologiques

Il :

● S’ennuie vite
● Se montre manipulateur
● N’éprouve pas de remords
● Possède une palette d’émotions réduite.

Les individus souffrant de troubles narcissiques :

● Se croient supérieurs aux autres
● Insistent pour toujours avoir ce qu’il y a de mieux
● Sont égocentriques et vantards
● Tombent amoureux facilement, placent l’être aimé sur un piédestal, puis le critiquent tout aussi facilement.
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– Les violences ne sont pas toujours physiques, souligne Carol, sans hausser la voix. Le besoin d’exercer un contrôle absolu est également une forme de mauvais traitement.

Ces mots me font l’effet d’une gifle. Car je vois bien que, sous un certain angle, ils correspondent à la réalité.
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Greg a décidé de ne pas retourner travailler. Il veut devenir père au foyer.
- C'est courageux. (...)
" En quoi c'est courageux ? Quand une femme arrête de travailler, personne ne dit qu'elle est courageuse."
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(...) la plupart des gens consacrent toute leur énergie à essayer de changer les autres, alors que la seule personne que l'on peut vraiment changer, c'est soi-même.
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Alors que tu es allongée dans ton lit, une citation te vient à l’esprit. Il n’y a certainement rien de plus beau pour soi-même que d’éduquer une jeune personne ; une fille de dix-huit ou vingt ans est aussi malléable que de la cire. Qui a dit ça ? Tu attends et, bien entendu, la réponse finit par arriver. Clac. Adolf Hitler.
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Je ne savais pas à quoi m'attendre en lisant ce livre. Et bien très agréablement surprise. Il est vrai que l'on peut se douter de la fin mais je n'aurai pas voulu que ça finisse autrement. Et je trouve que l'intrigue menée autour des fleurs du mal est une très bonne idée.
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" Tu veux dire que ...je vais mourir ?
- Disons que tu n'auras plus l'impression d'être vivante."
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Un jour, par exemple, elle mentionna que Tim préférait ne pas éjaculer.
- C'est un truc tantrique. Les athlètes font pareil. Il prétend que ça permet de conserver de l'énergie pour le travail.
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- Tu sais tout de moi !
- Évidemment. Si tu avais lu les termes du contrat, tu ne devrais pas être étonnée.
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Bâtir des théories, c’est une chose, trouver des preuves, c’en est une autre.
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[...] notre meurtrier n'est pas un sadomasochiste au sens moderne du terme. Néanmoins, on peut supposer qu'il se cache parmi les adeptes du BDSL, car il partage certains de leurs fantasmes. Mais alors qu'ils utilisent le bondage pour atteindre le plaisir sexuel, lui s'en sert pour atteindre ce qu'il recherche : l'humiliation, la dégradation, le contrôle. Le pouvoir de vie et de mort sur un autre être humain.
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- Les gens ne choisissent pas de tomber amoureux .Je n'ai pas choisi, Abbie. Je vous aime.
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« Le silence est la plus efficace des questions. » p. 207
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« L’odeur musquée de ton excitation envahit la pièce tel le parfum douceâtre d’une fleur rare, une orchidée qui libère ses odeurs célestes uniquement au moment où elle commence à se flétrir et à se décomposer… » p. 201
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Quand un enfant meurt, c'est une tragédie aux yeux du monde entier. Les parents sont accablés par le chagrin, mais le chagrin peut s'estomper, tôt ou tard. Le syndrome de Heller, lui, prend votre enfant et le remplace par un inconnu, un zombie brisé qui bave et qui habite son corps. D'une certaine manière, c'est pire que la mort. Car vous continuez à aimer cet inconnu, tout en portant le deuil de l'adorable petite personne que vous avez perdue.
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Elle était grande, tout d’abord, presque un mètre quatre-vingts ; elle portait un jean moulant déchiré et des cuissardes à talons biseautés qui, ajoutées à l’amas de tresses rousses sur le dessus de sa tête, la faisaient paraître encore plus grande. Un tatouage à l’encre noire – un motif hawaïen, affirmerait quelqu’un par la suite, ou maori ou bien celte – partait de son cou et descendait le long de son bras gauche. Mais le plus frappant, c’était son côté juvénile. Dans une industrie comme la nôtre, où vous pouvez faire figure d’ancien avant la trentaine, elle dégageait une fraîcheur, une innocence, qui indiquaient qu’elle n’était pas des nôtres.
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« Ce que je veux te faire comprendre, c’est que ce n’étaient pas des paroles en l’air, pour toi et moi. Tu as toujours été unique, Abbie. Irremplaçable. Une épouse parfaite. Une mère parfaite. L’amour de ma vie. Tout le monde prononce ces mots, hein ? Mais, moi, je le pensais sincèrement. Quand je t’ai perdue, un tas de gens m’ont conseillé de passer à autre chose, de refaire ma vie avec quelqu’un d’autre. Mais je savais que ça ne marcherait pas. Alors, à la place, voilà ce que j’ai fait. Ai-je eu raison ? Je ne sais pas. Mais il fallait que j’essaie. Et le simple fait de te parler, là maintenant, pendant quelques minutes… de te voir ici, dans notre maison… d’entendre ta voix… cela justifie toutes les années que j’ai consacrées à ce projet. Je t’aime, Abbie. Et je t’aimerai éternellement. Pour toujours, comme on se l’est juré le jour de notre mariage. »

Il se tait, il attend.
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« On appelle ça l’apprentissage profond. Sans que tu t’en aperçoives, ton cerveau vient de comparer des millions d’exemples stockés dans le cloud et il en a déduit une règle concernant les couleurs et les fruits. Le plus dingue, c’est que, même moi, je ne pourrais pas t’expliquer comme il a fait. Cela étant, je pourrais te relier à un écran et visionner tous les calculs, mais je n’arriverais pas forcément à suivre. Comme je le répète à mes employés : le A de IA ne veut plus dire “artificielle”. Il signifie “autonome”. »
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Son passé constituait un autre élément de la légende. L’enfance pauvre et les persécutions qui l’avaient obligé à quitter le collège à onze ans pour apprendre seul. Son intérêt grandissant pour les chatbots, juste au moment où les gens commençaient à se connecter sur des sites de commerce en ligne avec leurs smartphones. La création d’Otto, un robot destiné au service clients, qui, au lieu d’afficher une politesse d’automate et un entêtement exaspérant, était efficace, intelligent et cool : un peu à l’image de Tim lui-même, comme l’avaient souligné de nombreux commentateurs. Otto faisait parfois des fautes d’orthographe et il oubliait des majuscules.
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