AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jackson Guice (46)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Amber Blake, tome 1 : La fille de Merton Ca..

Beau démarrage sur les chapeaux de roue avec ce premier album prometteur qui laisse augurer d’une belle série.


Lien : http://www.auracan.com/album..
Commenter  J’apprécie          00
Amber Blake, tome 1 : La fille de Merton Ca..

Cette Bd, beaucoup de mondes en parlent, et j'ai fait ma curieuse. Tout d'abord, je trouve que les éditions Glénat permettent de faire une découverte, a un prix raisonnable.



La bd est sublime, la couverture dans un rouge vif, avec l’héroïne en premier plan, et dans le fond des aspects de l'intrigue.



L'histoire, parle d'une jeune fille, qui a été abandonnée à l'âge de 5 ans, et dont nous allons vivre la vie de plein fouet.



Là, où j'ai eu du mal au tout début, c'est que la romance, commence très vite, si dans la présentation, nous n'avions pas l'âge d'Amber, j'aurais été perdue, dans le temps. En effet, aucune explication, décrit les personnages, nous rentrons dans l'abandon, les années défilant très vite.



Il a manqué à mon sens du détail, dans cette intrigue, expliquant réellement qui est Amber, et ce qu'elle a subi durant son enfance au cleverland. Après je comprends l'auteure qui a voulu toucher un public plus vaste, en ne rentrant pas dans les détails, mais de se fait le fan de BD risque de trouver de nombreuses lacunes.



Cependant, malgré cette rapidité, nous tournons les pages, pour découvrir, comment Amber, va mener sa vengeance et sa carrière au sein de l'organisation secrète. L'intrigue est forte, et prenante.



L'histoire est sombre, avec beaucoup de caractères, les dessins subliment le tout, apportant beaucoup de mouvements et de réalismes.



Une fin qui nous scotche et qui donne vraiment envie de découvrir la suite.
Lien : https://jewelrybyaly.blogspo..
Commenter  J’apprécie          10
Amber Blake, tome 1 : La fille de Merton Ca..

Sans être d’une grande originalité, ce premier tome d’Amber Blake se laisse lire d’une traite. On y sent l’influence des BD de Jean Van Hamme, ainsi que de la série TV Alias.
Lien : http://www.actuabd.com/Amber..
Commenter  J’apprécie          00
Amber Blake, tome 1 : La fille de Merton Ca..

Amber Blake se poserait ainsi comme le mélange indigeste et faussement sexy d’un Alias mal réchauffé et du pire du polar réac’ américain.
Lien : http://www.bodoi.info/amber-..
Commenter  J’apprécie          00
La Mort de Superman, tome 1 : Un monde sans..

la mega baston superman doomsday portèe par un dessin magistral de dan jurgens
Commenter  J’apprécie          00
La Mort de Superman, tome 1 : Un monde sans..

Le premier tome de l'histoire incontournable de la mort de Superman. Le titre n'est pas trompeur et on sait à quoi s'attendre : à la fin d'un repère, d'un mythe. La Terre n'a plus son protecteur, que vont devenir les terriens ? Comment vivre dans un monde sans Superman? Là est la réelle histoire de ce tome. Un incontournable parmi les histoires de comics.
Commenter  J’apprécie          00
Métal, Tome 1 : La bataille de Meridia

Ce premier tome s'étalent en fait sur deux semaines de la vie de l'Empereur Elias, 14 jours pour découvrir ce monde barbare, les intrigues de la cours, les forces en présences, 336 heures pour 56 pages efficaces prémisse de l'univers riche d'un space opéra.
Lien : http://www.psychovision.net/..
Commenter  J’apprécie          00
Métal, Tome 2 : L'esclave de Chiméra

Un tome efficace mais qui laisse de nombreuses questions en suspend (on ne sait toujours pas qui sont les Silkes !) ce qui pourrait à long terme un peu frustrer le lecteur si l'histoire s'étale trop en longueur. L'Esclave de Chiméra continue donc à mettre en place les pions d'une saga prometteuse...
Lien : http://www.psychovision.net/..
Commenter  J’apprécie          10
Mandalay, tome 2 : La jungle de glace

Après un premier tome fort prometteur mais un peu trop dense, Philippe Thirault change complètement de rythme et nous propose une suite beaucoup plus légère, peut être même trop... en effet l'histoire se consacre principalement sur la monté en puissance puis le face à face entre les deux frères...
Lien : http://www.psychovision.net/..
Commenter  J’apprécie          10
Mandalay, tome 1 : Les miroirs de l'ombre

Mandalay résulte d'une envie de Philippe Thibault de traiter du thème du Doppleganger (double maléfique) et d'une attirance pour la Birmanie. A partir de cela, l'auteur se lance dans une nouvelle série qui pourrait bien devenir une grande saga dans le monde de la bande dessinée...
Lien : http://www.psychovision.net/..
Commenter  J’apprécie          10
Captain America - Marvel Deluxe, HS : Renai..

Ce tome reprend le prologue de 8 pages paru à l'origine sur le site de Marvel, ainsi que les 6 épisodes de la minisérie du même nom, initialement parus en 2009/2010. Le scénario est d'Ed Brubaker, les dessins de Bryan Hitch, et l'encrage de Jackson Guice.



Steve Rogers a été déclaré mort dans Le rêve est mort. Sharon Carter s'est souvenue de d'éléments qui n'ont rien de détails dans "Road to reborn". Cette histoire se déroule pendant le Dark Reign : Norman Osborn est devenu le chef de plusieurs organisations chargées de la sécurité intérieure des États-Unis dont HAMMER qui remplace le SHIELD. Tout commence avec Osborn qui veut connaître l'identité du deuxième tireur qui a abattu Captain America. Il propose un marché à Synthea Schmidt, la fille de Red Skull, qui détient l'information en question. Arnim Zola qui détient d'autres informations sur le sort réel de Steve Rogers travaille pour Victor von Doom.



Captain America (le nouveau : James Barnes, l'ancien Bucky) et Black Widow (la première du nom, Natalia Romanova) s'immiscent dans la forteresse volante de HAMMER pour récupérer la machine à voyager dans le temps fabriquée par Arnim Zola à partir des plans de Doom. Vision (version numéro je ne sais plus combien, j'ai perdu le compte), Wasp (deuxième du nom, Hank Pym, parce que sa femme Janet ne se porte pas bien), Falcon (Sam Wilson, héros d'origine) et Sharon Carter assemblent les pièces du puzzle qui leur permettra de déterminer ce qu'est vraiment devenu Steve Rogers. Le retrouver constitue déjà un objectif ambitieux. Mais évidemment, Red Skull compte bien les devancer pour mener à leur terme ses machinations concernant Steve Rogers. Il sera aidé en cela par Norman Osborn, Victor von Doom et Arnim Zola.



Ed Brubaker a été victime de son succès : la mort de Captain America a reçu un accueil dépassant tout ce qu'il avait pu imaginer. James Barnes a endossé le costume de son mentor, et là encore le succès a été tel qu'il a conduit Brubaker à allonger la durée de vie de ce personnage au-delà de ce qu'il avait initialement prévu. Autant dire qu'il n'y avait aucune chance pour que Brubaker puisse réussir une histoire à la hauteur de l'attente des fans pour le retour de Steve Rogers. Au final, il a décidé de se lancer dans une aventure en bonne et due forme qui associe errance dans le temps et les différents éléments déjà utilisés dans les précédents tomes de Captain America. Le récit se déroule à toute allure. L'utilisation du voyage dans le temps (dans une forme allégée et donc supportable, pas de paradoxe temporel débile) permet au scénariste de revisiter les principaux moments de la continuité du personnage, avec un point de vue un peu différent, avec du recul. La pagination confortable du volume permet d'inclure de nombreux invités de l'univers Marvel : Ares, Venom (dans son costume Spider Man des Dark Avengers), Victoria Hand, Namor (de nos jours et en évocation des Invaders), Reed Richards des Fantastic Four, le Docteur Erskine, quelques Thunderbolts, Clint Barton, etc.



Bryan Hitch dessine et Jackson Guice encre les illustrations de cette histoire. Il semble bien que Marvel ait souhaité capitaliser sur Ultimates pour donner une impression de réalisme mâtiné de grand spectacle à cette aventure. Toutes les scènes d'action sont claires et lisibles. Les mises en page reposent essentiellement sur des cases de la largeur de la page pour avoir cet effet panoramique. Les visages expriment des émotions plutôt retenues, au lieu de grimaces déformantes. Hitch et Guice s'appliquent pour avoir un niveau élevé de détails dans chaque case. L'objectif qui leur est assigné est d'enraciner le plus possible ces péripéties dans un monde crédible et proche du notre. Je comprends que l'on puisse aimer ce style de dessins, mais, en ce qui me concerne, cette volonté d'être le plus proche possible d'une forme de quotidien m'a laissé sur ma faim. À force de vouloir se confondre dans la crédibilité, j'ai trouvé que la banalité finissait part prendre le dessus, alors que le scénario plonge dans la science fiction et l'anticipation. Les illustrations ne sont pas désagréables, elles sont travaillées et prenantes, mais elles n'ont pas su me transporter dans cet univers de superscience et de superpouvoirs. Dans les séquences d'action, l'aspect humain phagocyte tout.



Je trouve que Brubaker, Hitch et Guice se sont acquittés avec application de leur tâche de ramener Steve Rogers au pays des vivants au travers d'un scénario prenant et de solides illustrations mais que beaucoup de scènes avaient un parfum de déjà vues et que les illustrations n'étaient pas sur la même longueur d'onde que l'histoire.
Commenter  J’apprécie          20
Olympus, tome 1 : La boîte de Pandore

Une BD qui rend un terrible hommage comme tu l'a dis Albéric, à tous les péplums mythologiques de la fin des années 50 au début des années 80.



Le pitch : Un ile perdue, des naufragés et des pirates des mers obligés de faire cause commune pour survivre dans un environnement peuplé d'une nuée de créatures mythologie de l'antiquité.



C'est clairement le scénario d'un film bien barré que j'aurai aimé voir à l'écran .


Lien : http://david-gemmell.frbb.ne..
Commenter  J’apprécie          81
Olympus, tome 2 : Le temple des dieux

Lors d'un voyage en Grèce, un groupe de jeunes Américains étudiants en archéologie découvre dans la Mer Égée une urne qui pourrait bien se révéler être la légendaire boîte de Pandore ! A peine s'émerveillent-ils de leur découverte qu'ils sont assaillis par un groupe de pirates mercenaires. Au même moment, une terrible tempête éclate. Pris dans la tourmente, les deux groupes qui s'affrontent se retrouvent projetés sur le rivage d'une île, aussi isolée que mystérieuse, qui abrite le mythique Mont Olympe. Etudiants et mercenaires vont alors devoir s'allier pour faire face à des créatures de légende surgissant sur leur chemin. Leur seul espoir : survivre assez longtemps pour gagner le sommet de l'île et son temple afin d'y déposer l'urne et apaiser la colère des dieux.



On passera sur la 1ère partie du pitch, dont le caractère aussi hollywoodien que capillotracté fleure bon le risible, pour s’attarder sur tout le reste de ce diptyque : un bon revival des pepla mythologiques d’antan mis en valeur par les bons dessins de Butch Guice.

Tout le bestiaire fantastique y passe et on s’amusera à reconnaître toutes les créations du magicien des FX pré informatiques Ray Harryhausen. Le scénario est finalement assez sympa avec les mercenaires, leurs muscles et leurs pétoires, qui doivent compter sur les cerveaux des universitaires et leurs connaissances pour faire face aux monstres de l’Antiquité : la tête et les jambes quoi ! Certains reconnaîtront le chouette humour de Geoff Johns, qui depuis lors a réalisé une belle carrière en gravissant tous les échelons de l’écurie Detective Comics.

Cette association entre films de genre classiques et récits d’action modernes se prêterait merveilleusement à une chouette… Oui, mais non Hollywood préfère pondre à répétition des remakes qui respirent la paresse scénaristique.
Commenter  J’apprécie          242
Métal, Tome 1 : La bataille de Meridia

Un dessin clair et efficace pour une histoire un peu kitsch. Des chevaliers en armure vivent dans un empire cosmique situé lui-même dans un improbable futur. Il y a eu entretemps les anciens dont on peut supposer qu'ils ont été ce que nous serons dans un avenir tellement éloigné que cela donne le vertige. Mais, curieusement, à l'autre bout de cette abime du temps, la hiérarchie féodale est encore utilisée. Alors, on se bat avec des épées mais on saute d'un monde à l'autre en vaisseau spatial ultra rapide. On pourrait débarquer directement dans une forteresse par les airs mais on en fait le siège et on la prend d'assaut à pieds à la masse d'arme et à la hache avec des béliers "laser" (!!), des tours mobiles, presque avec des échelles sous une pluie d'acide atomique (?).



C'est un peu les rois des étoiles (coucou Edmond Hamilton ) revisités mais sans témoin prélevé dans notre temps et réinjecté dans 200000 ans au milieu d'une guerre totale contre un ennemi technologiquement invincible (cela va de soi, en dessous d'invincible où serait l'intérêt ?).



C'est truffé de stéréotypes - nana surdouée et fourbe (qui se prend une pâté mémorable quand même), l'ambitieux traitre que personne ne soupçonne : les ennemis surclassent infiniment les héros mais il faut au moins un traitre. Et, bien sûr, le découpage de cet épisode fait qu'il s'achève au moment où tout commence à devenir suffisamment tragique pour attirer l'attention. A lire, histoire de rigoler un bon coup. La suite ? Oui, certainement. Si je la trouve à la médiathèque... Dans le même genre, j'avais nettement préféré Le Fléau des Dieux.
Commenter  J’apprécie          137
Olympus, tome 1 : La boîte de Pandore

Lors d'un voyage en Grèce, un groupe de jeunes Américains étudiants en archéologie découvre dans la Mer Égée une urne qui pourrait bien se révéler être la légendaire boîte de Pandore ! A peine s'émerveillent-ils de leur découverte qu'ils sont assaillis par un groupe de pirates mercenaires. Au même moment, une terrible tempête éclate. Pris dans la tourmente, les deux groupes qui s'affrontent se retrouvent projetés sur le rivage d'une île, aussi isolée que mystérieuse, qui abrite le mythique Mont Olympe. Etudiants et mercenaires vont alors devoir s'allier pour faire face à des créatures de légende surgissant sur leur chemin. Leur seul espoir : survivre assez longtemps pour gagner le sommet de l'île et son temple afin d'y déposer l'urne et apaiser la colère des dieux.



On passera sur la 1ère partie du pitch, dont le caractère aussi hollywoodien que capillotracté fleure bon le risible, pour s’attarder sur tout le reste de ce diptyque : un bon revival des pepla mythologiques d’antan mis en valeur par les bons dessins de Butch Guice.

Tout le bestiaire fantastique y passe et on s’amusera à reconnaître toutes les créations du magicien des FX pré informatiques Ray Harryhausen. Le scénario est finalement assez sympa avec les mercenaires, leurs muscles et leurs pétoires, qui doivent compter sur les cerveaux des universitaires et leurs connaissances pour faire face aux monstres de l’Antiquité : la tête et les jambes quoi ! Certains reconnaîtront le chouette humour de Geoff Johns, qui depuis lors a réalisé une belle carrière en gravissant tous les échelons de l’écurie Detective Comics.

Cette association entre films de genre classiques et récits d’action modernes se prêterait merveilleusement à une chouette… Oui, mais non Hollywood préfère pondre à répétition des remakes qui respirent la paresse scénaristique.
Commenter  J’apprécie          170
La Mort de Superman, tome 1 : Un monde sans..

Cet ouvrage est le premier volume d'un recueil compilant les différents épisodes narrant la mort de Superman, à l'origine parus aux Etats-Unis tout au long de l'année 1993. A l'époque, cette idée avait fait sensation et avait été largement relayée par les média (bien sur, essentiellement aux Etats-Unis, nous sommes encore dans une période pré-adaptation cinématographique en série). Les auteurs avaient été les premiers surpris d'avoir l'aval de DC pour mettre en oeuvre un projet qui consistait à tuer l'emblème par excellence de l'éditeur, et plus largement du super-héros. D'autant plus surpris que leur idée première était de marier Clark Kent et Lois Lane, ce qui leur avait été refusé car ce n'était pas le cas dans la série TV du même nom. De dépit ils avaient alors lancé "eh bien tuons le alors".



La première partie de ce comic est appelé Doomsday, du nom du monstre qui tue Superman. Alors disons le tout de suite il ne faut pas s'arrêter là car on passerait à côté de l'essentiel. En effet, le propos des auteurs n'est pas de savoir comment Superman a pu être tué mais bien d'explorer les conséquences d'un monde sans son protecteur numéro un. Ainsi, pas d'explication quant aux origines de Doomsday ni d'où lui vient cette force phénoménale capable de terrasser Superman. L'essentiel est qu'il meurt et que tout le monde le sache, ce qui n'est pas difficile vue la désolation que ce combat de titan laisse sur son passage. La partie la plus intéressante de l'histoire est donc l'après, baptisée "funeral for a friend". C'est ici que le récit prend tout son sens et développe une forte charge émotionnelle, pour tout un ensemble de personnages gravitant autour de Superman, et notamment pour Lois Lane, qui connait la double identité de celui qu'elle aime mais ne peut le révéler au monde, ainsi que pour les parents de Clark, Jonathan et Martha Kent. En ce qui concerne le dessin le temps a passé et il apparait un peu daté. De plus c'est une oeuvre collective et on peut passer du très bon au mauvais en quelques pages (à noter le numéro 500, c'est-à-dire la conclusion, qui contient de superbes planches de Tom Grummett). Finalement, la mort de Superman reste une oeuvre forte qui a fait date dans la continuité de Big Blue. Mais au fait, Superman est-il vraiment mort ?



Commenter  J’apprécie          100
Mandalay, tome 3 : Invasion

Eh voilà, je le savais que je serai frustrée une fois que j'aurai lu les trois premiers tomes. Bon j'ai à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne, c'est qu'actuellement, il n'y a que ces trois premiers volets qui ont été édités (ce qui explique pour la médiathèque dans laquelle de ma ville n'ait pas le suite) mais la mauvaise est que je ne sais pas quand ladite suite sera publiée (et il faudra encore attendre un moment avant que "ma" médiathèque en fasse l'acquisition).



Ici, nous sommes en 1942 en pleine Seconde Guerre mondiale mais toujours en Birmanie, et cette dernière est toujours, rappelons le une dernière fois, sous contrôle britannique. Aussi, sans l'avoir demandé, les Birmans vont se retrouver impliqués dans cette guerre, se battant au côté des anglais contre les japonnais mais espérant secrètement que ces derniers pourraient être leurs libérateurs (du moins, est-ce le point de vue des rebelles, dont se trouve à la tête Alex Waters. Tandis que ce dernier a choisi son camp (voir les deux tomes précédents), son frère, Lance, est également à la tête d'une troupe mais qui se place d'un tout autre côté. Aussi, les deux frères ne sont-ils pas fait pour s'entendre...loin de là !



Un ouvrage auquel je n'ai rien à reprocher du point de vue du graphisme tant celui-ci est extrêmement bien travaillé (parfois même un peu trop, ce qui ne fait que rendre l'horreur des événements plus réaliste que jamais), ni au point de vue de l'histoire puisque le scénario tient entièrement la route (en dépit de toutes les croyances mythologiques et actes de sorcellerie qui y sont inclus...après tout, cela fait partie des croyances des hommes)...je ne peux que reprocher à l'Histoire (mais cela, les auteurs n'y peuvent rien) d'être aussi noire et sans cesse, remplie de sang ! Eh oui, il faut que je revienne sur terre, je ne vis pas dans un comte de fées, la vie est ainsi et je ne pourrais rien y changer !

Une série (bien que celle soit soit en cours) qui reste néanmoins à découvrir !
Commenter  J’apprécie          160
Mandalay, tome 2 : La jungle de glace

Dans ce deuxième tome, nous sommes toujours au coeur de Mandalay, en Birmanie en 1941. La Birmanie, toujours sous occupation britannique à cette époque voit son lot de rebelles croître de plus en plus afin d'obtenir une chose et une seule : se libérer du joug anglais qu'ils peuvent de plus en plus difficilement supporter, d'autant plus qu'ils sont, dans leur propre pays, considérés comme des esclaves (mais par là, je ne vous apprends rien de nouveau car ce fut le cas de toutes les colonies et combien de peuples, encore à l'heure actuelle, ne sont pas "libres" de leurs actes ? Bref, passons là-dessus car je ne m'entends pas m'aventurer sur une critique qui virerait à la géopolitique ou autre, terrain assez glissant d'ailleurs !).



Alex Waters (bien qu'issu d'une grande riche famille anglaise et don le frère, lui, est d'ans l'armée coloniale) s'est d'ailleurs rangé au côté des maquisards. Pourquoi ? Par amour d'une part puisqu'il est épris d'une jeune birmane (amour réciproque d'ailleurs) mais aussi, et cela contre son gré, puisqu'il a reçu, en étant soigné par le sorcier Leng (voir premier tome), un étrange pouvoir...Pouvoir qui peut (comme nous l'avons vu dans le premier tome également) s'avérer extrêmement destructeur s'il n'est pas contrôlé correctement et j'ai bien peur qu'ici, une fois de plus et même si il sert une bonne cause, cela ne soit pas le cas !



Un ouvrage au graphisme très soigné mais dans lequel, beaucoup de sang coule (encore une fois) mais qui mêle à nouveau Histoire (celle de la Birmanie), légendes, mythologie et, par dessus tout, sorcellerie. Bref, tout ce que j'adore, hormis le sang versé mais bon, les guerres, le le sais parfaitement, ne se sont jamais déroulées dans un cabinet de travail avec de longs conciliabules pour arriver à un compromis et afin de se séparer à l'amiable. Si seulement...mais bon, encore une fois, là, je crois que je rêve !

Un ouvrage qui reste néanmoins à découvrir !
Commenter  J’apprécie          140
Mandalay, tome 1 : Les miroirs de l'ombre

C'est mon mari que me sélectionne le plus souvent les bandes-dessinées susceptibles de me plaire. Sachant que je suis très sensible au graphisme, il les choisit (d'abord pour lui et ensuite pour moi) selon ce premier critère et ce n'est qu'une fois après avoir lu la quatrième de couverture qu'il se décide soit à les acheter soit à les emprunter à la médiathèque. Cette dernière est un emprunt et je sens d'ores et déjà que je vais être frustrée car à la médiathèque de ma ville, ils n'ont que les trois premiers tomes. Est-ce parce que la suite (car je sais qu'il y en a ou aura une car, encore une fois, j'ai été trop curieuse et je n'ai pas pu m'empêcher de regarder la dernière page du troisième tome où j'ai pu lire la mention "A suivre") n'est pas encore sortie ou parce que la médiathèque n'en a pas encore fait l'acquisition, je ne sais pas...bref, nous verrons bien (enfin, pour être exacte, Je verrai bien) !



Pour ce qui est de ce premier tome, l'histoire se déroule en Birmanie dans les années '40 alors que le pays était encore sous domination britannique. Il y a donc un large conflit entre les autochtones qui demandent leur indépendance et le pouvoir en place. Mais, non seulement en se plaçant dans les pas de l'Histoire, les auteurs réveillent aussi de vieilles légendes où il est question de mages guérisseurs, de miroirs qui auraient le pouvoir de donner la force suprême à celui qui apprendrait à les maîtriser, de dieux birmans et bien d'autres choses encore. Cependant, le coeur de l'homme est inconstant et, lorsqu'il est affamé de pouvoir sans être jamais rassasié, il peut parfois s'avérer destructeur et faire beaucoup de mal autour de lui...



Un graphisme très bien travaillé (comme je le disais en introduction) et un scénario qui mêle à la fois Histoire, mythologie et légendes...j'ai hâte de découvrir la suite et si je n'ai mis que trois étoiles à ce dernier malgré toutes les louanges que je luis fais, c'est tout simplement parce que je ne pourrai sûrement pas lire la suite et fin (du moins dans l'immédiat) et que je serai donc incapable de juger la série dans son ensemble mais d'emblée, je pourrais dire que je porte ma note à 3,5 / 5. A découvrir !
Commenter  J’apprécie          220
La Mort de Superman, tome 1 : Un monde sans..

Ce premier tome inaugure un arc ambitieux sur la mort de Superman et ses conséquences. Un début convaincant et audacieux qui se finit par l’arrivée de quatre nouveaux Supermen dont on a hâte de lire les aventures avant, espérons-le, de revoir notre boy-scout préféré.
Lien : http://www.avoir-alire.com/l..
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jackson Guice (126)Voir plus

Quiz Voir plus

Les auteurs suicidés

Ecrivain britannique - Auteur de "Mrs Dalloway" ou encore de "La Promenade au phare " - Suicide par noyade.

Daphné Du Maurier
Virginia Woolf
D.H. Lawrence

10 questions
629 lecteurs ont répondu
Thèmes : suicide , littérature , auteur suicidé , culture généraleCréer un quiz sur cet auteur

{* *}