Jacques Lamontagne

La vie de Calamity Jane avant qu'elle ne devienne une des figures importantes de la conquête de l'Ouest, quand elle n'était que Martha Jane Cannary.



J'aime beaucoup l'histoire très sombre, certainement la plus proche de la réalité et je trouve le dessin superbe.

La couverture est magnifique et maintenant que 4 albums sont déjà sortis, je trouve que l'idée de mettre le visage du personnage principal en gros plan est géniale

C’était dans ce bon vieux mensuel de Lanfeust Mag que j’avais fait la connaissance des détectives de l’étrange de l’agence Aspic. Dans ma mémoire, il me semblait que la mèche de cheveux de Hugo Beyle était plus folle…



Le dessinateur ayant changé en cours de route, c’était peut-être un album avec lui aux dessins que j’avais lus… C’est flou et lointain dans ma mémoire.



Puisque je n’avais jamais lu cette série, j’ai eu envie de découvrir comment tout avait commencé pour l’agence ASPIC (il était temps, j’ai du retard).



Aspic est une bande dessinée avec une grosse louche de fantastique, en plus des investigations, donc, ne vous étonnez pas de tomber sur des ectoplasmes.



Aspic, c’est une sorte de Chapeau melon et bottes de cuir en version belle époque et fantastique, où l’enquêtrice Flora Vernet, assistante d’Auguste Dupin, n’a pas laissé son cerveau à une autre. Elle voudrait enquêter aux côtés de Dupin, mais ce dernier ne veut pas, lui interdisant de le suivre. Heureusement que Hugo Beyle va arriver avec un mystère pour elle : on lui a volé sa montre !



Ce que j’ai aimé, dans cette bédé, c’est l’humour, un peu pince-sans-rire, ainsi que les personnages, bien typés, pas crétins, sans oublier l’aura de mystère qui entoure Hugo et le vol de sa montre. Comme j’avais tout oublié de l’époque où j’avais découvert cette série, je suis tombée de haut en apprenant les détails sur le personnage.



C’est enlevé, c’est amusant, on ne s’ennuie pas, c’est rythmé, plein de surprises et les duos marchent du tonnerre, que ce soit entre Dupin le phallocrate et miss Vernet, la presque suffragette ou entre Dupin et l’inspecteur Nimber, ou entre Hugo et Beyle et miss Vernet.



Les dessins sont précis, notamment avec les décors d’un Paris de la belle époque (XIXᵉ siècle) et les tons de l’album oscillent entre coloris sépia ou de couleurs plus vives. Quant au scénario, il n’a pas été oublié, il est bien conçu et on se laisse emporter par le récit et ses personnages.



Les dernières cases du deuxième album m’ont fait pousser un cri de surprise, pourtant, si j’avais été attentive, j’aurais dû capter… En fait, j’avais associé un nom avec un ancêtre bien connu d’une vieille connaissance, mais je n’avais pas poussé la réflexion plus loin, pensant à un hommage ou juste un truc comme ça… Bien vu de la part de l’auteur.



Une bédé ou le polar se mélange avec grâce avec le fantastique et qui vous offrira quelques surprises inattendues.



Attention, cette histoire se déroule sur deux albums, donc, pour éviter l’attente, il vaut mieux avoir les deux albums sous la main.



Maintenant, je ne reporte plus à la Saint-Glinglin et je lis toute la série (8 albums).


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Je suis tombé sur cette bande dessinée au hasard des rayonnages d’une bibliothèque. Le mélange d’enquêtes policières, de fantasy et de Belle époque à Paris m’a évoqué Pevel que j’ai tant apprécié. J’ai donc emprunté l’album : la lecture m’a laissé sur ma faim. Je lirai sans doute le suivant pour connaître le fin mot de l’enquête.

Aux origines, Calamity Jane était en fait une adolescente fragile et timide. Deux traits de caractère vite gommés à coups de ceintures ou à coups de bottes. Au rythme des passes et des bagarres, Calamity fait sa vie et tente d'échapper au destin funeste qui lui tend les bras.

Bien que l'album porte son nom, elle est presque un personnage secondaire tant elle semble effacée devant les hommes qui envahissent son existence.

Les desseins et les dialoguent sont au service d'un scénario riche et crédible.

En dire plus sur cette histoire serait criminel.

Bonne lecture.

Une suite en demi teinte par rapport au premier tome, car le rythme n'est pas aussi haletant. Heureusement qu'il m'a semblé être plus long - plus de pages ? - que le Tome 1, ce qui compense.

Sans doute le scénariste a t il voulu approfondir l'histoire et certains points...



Il en reste une bande dessinée magistrale, intrigante et sombre.

Une bande dessinée que j'avais gardée spécialement pour la période d'Halloween.

Les planches sont magnifiques, les dessins, les couleurs, les dialogues, c'était vraiment agréable et j'ai passé un bon moment.



Sombre et glauque, l'ambiance y était.

J'ai ressenti quelque incohérence ou alors c'est peut-être le manque d'information qu'on aura probablement par la suite.

C'est une duologie donc j'espère que ça sera suffisant pour tout mettre en place.

Nous sommes sur un pacte avec le diable pour trouver une vie d'immortelle ou à l'inverse retrouver un amour perdu.



Il y a une scène qui m'a mise mal à l'aise concernant le consentement qui m'a beaucoup dérangée.

D'ailleurs, je me demande si elle était vraiment nécessaire à cette histoire, car ça n'apporte rien.

J'ai vraiment passé un super moment de lecture avec ces deux BD.

Les dessins étaient très beaux, ainsi que les couleurs choisies, l'ambiance et l'univers créés. C'est sombre, mystérieux et gothique, un parfait mélange qui fonctionne très bien dans ce monde ésotérique.

L'intrigue est bien ficelée, efficace et bien trouvée. On en redemande.

Le dénouement n'est pas "facile", il est, je trouve, au contraire bien travaillé.

En résumé, une très bonne BD, qui a su me charmer autant par le fond que par la forme.

J'ai vraiment passé un super moment de lecture avec ces deux BD.

Les dessins étaient très beaux, ainsi que les couleurs choisies, l'ambiance et l'univers créés. C'est sombre, mystérieux et gothique, un parfait mélange qui fonctionne très bien dans ce monde ésotérique.

L'intrigue est bien ficelée, efficace et bien trouvée. On en redemande.

Le dénouement n'est pas "facile", il est, je trouve, au contraire bien travaillé.

En résumé, une très bonne BD, qui a su me charmer autant par le fond que par la forme.

Quel plaisir de retrouver le duo d’enquêteurs de choc, composé d’Isaac Shelton, un ex-boxeur, et de Thomas Felter, libraire misanthrope qui aime ses chats et qui possède un esprit analytique hors du commun.



L’histoire se passe à Boston, dans les années 20 (1924 ou 1925) et elle commence par un cambriolage qui se passe mal : le corps du propriétaire, le riche et célèbre Rockfellow, est sur le sol, poignardé.



Le cambrioleur prend peur, surtout que les flics arrivent déjà.



Cette nouvelle enquête va mettre, une fois de plus, notre duo sur des charbons ardents, car ils doivent prouver que le meurtre n’a pas été commis par Nicole, la cambrioleuse. Problème : tout accable cette jeune fille et il est si facile pour les policiers de l’inculper.



À qui profite le crime ? Aux enfants de l’assassiné et à sa veuve. Autre problème : ils ont tous et toutes des alibis ! Et puis, il y a tout de même des trucs bizarres, dans cette affaire, et les morts vont se succéder. Mais qu’est-ce qui se passe, doudou dis donc ?



Le duo entre le costaud Shelton et le frêle Felter marche toujours aussi bien. Ils sont différents en tout point, mais tout aussi complémentaire.



Les dessins sont dans le style des bédés franco-belges et le côté gros nez va bien à cette série. On est dans du policier, certes, mais avec de l’humour.



Pourtant, il ne faut pas s’y tromper : ce n’est pas parce que nous sommes dans le registre de l’humour qu’il faut croire que son auteur va négliger le scénario !



Que du contraire, il est travaillé et son enquête est soigneuse, réfléchie et pas si facile à élucider que l’on pourrait le croire. Il faudra la sagacité de Felter pour venir à bout de cet imbroglio !



Une bédé policière qui fait le job et qui le fait correctement. Toujours un plaisir de lire ce duo qui détonne.


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4ème enquête du duo atypique Shelton et Felter cette fois-ci dans la ville de Boston.



Tout commence par un cambriolage avec un monte en l'air qui découvre un cadavre et est surpris par l'arrivée des forces de l'ordre. Le monte en l'air s'avère être une monte en l'air qui trouve refuge chez Felter. La cambrioleuse en fuite s'avère être Nicole découverte dans le tome 2 des aventures des deux détectives, Nicole qui avait suscité de l'émotion chez ce brave Shelton. C'est d'ailleurs celui-ci qui va héberger Nicole pendant l'enquête, Felter étant très réticent pour déroger à ses principes et ne souhaitant pas protéger quelqu'un qui enfreint la loi.



Le mort est un riche personnage de Boston, Monsieur Rockfellow. Le notaire va devoir exposer les dispositions testamentaires aux enfants et à la veuve qui se retrouve très avantagée grâce à une assurance vie alors que la fortune du défunt a été dilapidée. On découvre aussi que Nicole a été recrutée spécialement pour ce cambriolage, ce jour-là et à cette heure.



Les morts violentes vont se succéder mais il faut trouver un facteur commun ce que Felter va s'efforcer de faire. Une nouvelle fois les deux compères vont être plus efficace que la police officielle.



L'enquête est menée avec brio et le raisonnement de Felter est toujours aussi sûr. Il y a de nombreux traits d'humour : le tacot de Felter et les remarques de Shelton à ce sujet, la "pharmacie" de Felter, la vengeance de Felter sur la chevelure de Shelton. On retrouve Audrey Hepburn sous les traits de Nicole. Petite allusion à Frankenstein et son interprète Boris Karlov en la personne du majordome de M. Rockfellow.



Bref une enquête policière sympathique, un trait graphique agréable et de plus en plus affirmé donc une lecture agréable pour les jeunes et les moins jeunes.

Troisième enquête du duo Shelton et Felter. Cette fois-ci, ils vont évoluer dans le milieu du base ball en 1919.



Bill Bowman, jeune batteur très talentueux et très prometteur, a rejoint les Red Fox de Boston et il en chaine les home run. Après une victoire, sans aucune raison, il va disparaître. Son coach va engager Shelton et Felter pour résoudre cette énigme.



Un élément perturbateur dans cette enquête : le neveu de Felter, Herbert, a obtenu une bourse pour venir poursuivre ses études à Harvard. Felter demande à Shelton de l'héberger dans l'attente qu'il trouve un logement. Shelton découvrira qu'Herbert a besoin d'être assisté et qu'il a un rythme de vie très particulier.



Le duo va pouvoir montrer ses compétences, surtout celles d'observation et de déduction de Felter. Ils vont évoluer dans le monde du bas ball, découvrir les concurrences qu'il peut y avoir au sein d'une équipe. Une nouvelle fois, Felter va pouvoir en remontrer à la police locale, un peu trop sûre de ses méthodes.



Jacques Lamontagne peut aborder le thème de la ségrégation raciale car à cette époque les joueurs noirs ne pouvaient jouer dans les ligues majeures réservées aux joueurs blancs, eux devant jouer dans des ligues mineures et donc avoir des gains et des contrats nettement moins avantageux.



Le scénario est rondement mené et le graphisme est toujours aussi précis, l'auteur ayant le souci du détail. J'ai trouvé les graphisme d'une qualité supérieure aux deux premiers tomes : il y a plus de détails, et les couleurs réhaussent le dessin. Il faut parfois revenir en arrière pour découvrir des détails dans une case, par exemple les hommes de mains de Monroe.



Lamontagne a choisi d'ouvrir plusieurs portes et de nous entraîner dans plusieurs directions qui ne seront que des pistes secondaires, ce qui crée un rythme intense et entretien l'attention du lecteur.



Le duo d'enquêteurs a trouvé son rythme, le lecteur a pris ses repères. J'attends de lire la 4ème enquête.

Deuxième enquête du duo improbable Shelton et Felter, détectives privés dans le Boston des années 20. Shelton est un ancien boxeur, devenu journaliste, aux gros bras mais au cœur énorme. Felter est tout le contraire physiquement, c'est un libraire hypocondriaque mais doué d'un sens de l'observation exacerbé et d'un esprit de déduction redoutable.



Felter vient d'apprendre le décès de sa sœur et doit se rendre à Liverpool. Mais il angoisse car il souffre du mal de mer. Shelton décide de l'accompagner sur cette croisière transatlantique.



Au cours de cette croisière, ils vont devoir démêler une affaire de meurtre mais aussi un problème de vols à répétition. le tout dans le huis clos du navire au milieu de l'océan. Une fois de plus, Felter, tel l'inspecteur Columbo, va observer, prendre des notes, faire des déductions. Shelton va se promener sur le bateau, découvrir la troisième classe.



L'histoire est plaisante, bien construite. le scénario est claire et même les cases avec les explications de Felter restent agréables à regarder. Les gros plans sur les visages sont toujours aussi précis.



L'auteur nous réserve quelques surprises avec des références à Hergé (présence de tintin en appui sur la passerelle) et bel hommage à Audrey Hepburn, ravissante voleuse sous le charme de laquelle Shelton, gros nounours, a fondu.



Et vous découvrirez à la fin que dans la famille de Felter, il n'y a pas que lui qui est capable de déduction et de combinaison.



Bd très agréable à lire, l'univers des deux anti-héros se pose et on attend les prochaines aventures car les enquêtes policières dans la période de la prohibition, avant les Incorruptibles, sont très intéressantes.

J'aime beaucoup le Paris du début du 20eme siècle et dans cette BD, Flora vernet une apprentie détective et son oncle le grand inspecteur Dupin doivent chacun de leur côté travailler sur une enquête des plus déroutantes.

Alors pour ceux qui connaissent l'atmosphère des romans de Pierre Pevel avec son Paris des merveilles ou des romans historiques policier d Eric Fouassier avec son bureau des affaires occultes. Je vous incite fortement à découvrir l'univers de cette série. Les dessins sont très bien exécutés, avec des détails et des couleurs tout à fait caractéristiques. Le dessinateur travaille beaucoup sur les visages, les traits plus marqués, voir caricaturés.

Je ne connaissais pas l'auteur Jacques Lamontagne et je n'avais jamais entendu parlé de cette BD. À la médiathèque, j'ai été attiré par ce coup de cœur de la bibliothécaire et par la couverture dont le graphisme m'a séduit.



L'histoire se déroule à Boston en 1924, au temps de la prohibition. Isaac Shelton est un ancien boxeur reconverti depuis peu au journalisme et essayent d'apporter des articles sensationnels à sa rédaction. C'est un colosse. Thomas Felter est son parfait opposé physique : petit homme, a un physique banal, légèrement hypocondriaque. Il tient une librairie.



Les deux hommes se rencontrent sur une scène de crime. Shelton prend des notes pour son article et Felter fait des commentaires sur ce qu'il observe. Il s'avère qu'il a un sens de l'observation très précis. Shelton va être impressionné par ceci et va proposé une association au libraire.



Shelton et Felter se trouvent face à une suite de crimes où la mélasse a toute sa place. Sommes-nous en présence d'un sérial killer ? Sommes-nous en présence d'un justicier voulant venger les morts de la catastrophe de la citerne de mélasse s'étant répandue sur la ville et faisant plus de vingt morts ?



L'auteur nous permet de suivre les pérégrinations des deux néo enquêteurs. Shelton mise tout sur sa faconde et son assurance. Felter est tout en rondeur et subtilité. Au fil des pages et des cases, nous découvrons son sens de l'observation et sa capacité à mettre en relation différents éléments.



Felter présente des points communs avec l'inspecteur Columbo : le sens de l'observation, la capacité à émettre des déductions, une excellente mémoire (même s'il n'a pas besoin de carnet pour prendre des notes), une vieille voiture qu'il adore, un gros manteau à la place d'un imperméable fripé. Mais Felter ne fume pas le cigare et est un peu plus élégant. Shelton est plus qu'un faire valoir. C'est celui qui stimule Felter.



Ces deux nouveaux héros policiers sont attachants et rappellent certains duos de la littérature policière.



Le graphisme de Jacques Lamontagne est précis, clair, soigné. L'auteur a le sens du détail et de la précision ce qui permet une lecture facile et agréable. Les gros plans sur les visages sont très expressifs, ceci étant renforcé par la variété des angles choisis. La mise en couleurs est variée et permet d'apprécier encore plus cette BD.



J'ai découvert deux nouveaux héros policiers et j'ai hâte de lire les autres aventures du duo.



Belle découverte d'une BD qui peut convenir à des adolescents mais aussi à un public adulte.

🏚 Si vous passez les portes de ce manoir, je crains fort que vous n'en sortiez jamais...



✏ Cette bande-dessinée m'avait attirée de par sa couverture sombre et horrifique. Je n'ai pas été déçue par le contenu.



📖 Le scénario est classique : une personne recueillie suite à un accident, un manoir qui cache un secret... Et lorsque les masques tombent, notre personnage principal est obligé de se soumettre au maître des lieux pour une étrange quête.



🖌 Les illustrations sont superbes et on tourne les pages pour connaître la suite. La fin donne envie d'en découvrir toujours plus, il me semble d'ailleurs qu'il s'agit d'une duologie.



🤓 Alors si vous aimez les histoires horrifiques et les beaux dessins, c'est une bande-dessinée que je vous recommande sans hésiter !

La cité d'Is est engloutie après le vol de la lance de Lug. Accompagnés de quelques moines, Gwenc'hlan et Taran poursuivent leur enquête qui ne manque pas de dangers et de conflits notamment sur les croyances. Un joli graphisme et une lecture qui reste dynamique.

Plus de confrontations et de rencontres avec leurs ennemis, les deux protagonistes partent à la recherche du manuscrit. Sur leur route, des meurtres de moines veulent être imputés aux Saxons. Entre action, rebondissements et trahison, ce tome est dynamique.

Dans ce premier tome de Wild West on rencontre pour la première fois Miss Canary, future Calamity Jane. On comprend très vite que dans ce monde dominé par les hommes être une femme seule est quasiment suicidaire. Alors pour ce qui est de l’honneur je n’en parle même pas. Pourtant un caractère bien trempé et une rencontre avec le célèbre Will Bill va tout changer. Il suffit parfois de quelques mots et d’un flingue pour révéler la vraie nature des gens. « La force n’est rien, la volonté est tout ». Et Le moins qu’on puisse dire c’est que de la volonté elle en a à revendre.



Ainsi Martha Canari va faire ses premiers pas vers celle qui deviendra un mythe de l’ouest sauvage, laissant derrière elle une vie ne pouvant lui apporter que larmes et souffrances. En parallèle on découvre James Butler Hickok alias Will Bill. Héros de la guerre de sécession, il se comporte désormais comme un simple chasseur de prime, pourtant il semble y avoir plus que cela en jeu.



Les dessins sont très détaillés et précis, dans une palette de couleurs sombres qui joue beaucoup sur les ombres. Les visages sont durs à l’image des personnages qui sont loin d’être des enfants de chœur.



Un premier tome prometteur

Après la perte de la lance de Lug, la quête n'est pas finie,car l affaire des meurtres des moines n'est toujours pas résolue. Un autre artefact doit être sauvegardé, le chaudron druidique qui reste convoité par deux clans.

Encore un tome très bien travaillé avec des parties très sombres montrant l obscurantisme régnant à cette époque. Chacun des clans croit détenir la vérité et désire l imposer à tous.

La lance de Lug est le troisième tome de la série bd les druides où on poursuit l histoire. Un groupe essaie d imputer des meurtres sur des moines aux druides et à cette croyance. Un artefact des débuts de la religion des druides va sûrement être découvert mais qui arrivera le premier.

Le scénario et la partie graphique restent plus que correct et invitent donc à suivre cette belle série.