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Critiques de Jacques-Olivier Durand (16)
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Dictionnaire désamoureux des mots peu aimables

Je commence cette "critique" (un mot qui m'insupporte, vous voyez cher Monsieur Jacques-Olivier Duand, vous n'êtes pas le seul à trouver des mots disgracieux) par remercier l'auteur pour l'envoi de ce "dictionnaire désamoureux des mots peu aimables", surtout lorsque le mot "critique" s'emploie pour qualifier une oeuvre, quelle quelle soit, que l'on a beaucoup aime), je commence donc ce commentaire, cela est mieux par remercier chaleureusement Jacques Olivier Durand pour l'envoi de son dernier ouvrage.



Je n'ai pas voulu le lire d'une traite (vous lisez souvent, vous, un dictionnaire, comme cela, sans faire de pause, au point parfois d'oublier la définition du mot que vous venez de lire pour passer à la définition suivante ? Pas moi et pourtant, je trouve quand même que le l'ai trop vite lu à mon gôut mais l'avantage d'un tel ouvrage est que l'on peut le relire sans cesse et surtout, dans l'ordre que l'on veut et encore même n'en relire qu'une page de temps à autre pour se mettre, contre notre gré parfois (sur ce pont-là, je rejoins entièrement l'avis de l'auteur) sur l'apparition de nouveaux mots dans notre dictionnaire et dont on se serait bien tous passés (notamment il va sans dire tous les mots liés à la covid et à tout ce qui, de près ou de loin, y sont liés).



Parmi les trois-cents mots répertoriés ici, l'auteur, avec un bel esprit d'humour, revient sur certains mots qu'il horripilent (bon, peut-être pas à ce point, quoique sur certains, même si je ne les connaissais pas tous, loin de là et je n'ai pas honte d'avouer mon ignorance à ce sujet, je suis une nouvelle fois entièrement d'accord avec lui), qui le fond sortir de ses gongs (j'aime bien l'expression, non ?), alors que celle que nous appelons toujours la langue de Molière est déjà si belle et si riche. Pourquoi toujours vouloir plus ? Certes, je suis d'accord, notre monde évolue et donc, nécessairement, notre langue avec mais il y a des fois, c'est un peu être pointilleux pour pas grand chose, vous ne trouvez pas ? Et là, je dis TROP, c'est TROP !



Une lecture pleine d'humour, avec ses coups de gueule (parfois bien mérités) et que je ne peux que vous inciter à découvrir ! Un ouvrage qui me fait me réconcilier avec le fait que je n'ai plus acheter de dictionnaire depuis quelques années et je m'en félicite car même si je ne suis pas au courants des derniers mots rentrés dans le dico, au moins puis-je me consoler en me disant que je n'ai pas raté grand chose...et tant pis si je ne suis plus "in" ((aïe) ou préférerais-je dire "dans le coup" (quoique) et que je suis parfois dépassée, l'essentiel est que je comprenne lorsque l'on me parle et que je me fasse comprendre en retour et cela me sied à merveille ! A lire et à relire et à re re lire !
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Écoutez-les quand ils se taisent

Dans cet ouvrage, le lecteur découvre vingt nouvelles. Toutes ont un point en commun : elles traitent de gens seuls, oubliés de la vie ou auxquels les autres ne pensent pas. Vous allez me dire : c'est bien loin d'être gai encore cette histoire-là...eh bien oui car Jacques Olivier Durand a fait en sorte que chacun ou chacune d'entre elle retrouve, par un moyen quelconque, une petite lueur d'espoir, quelque chose qui le relie à cette terre et lui donne enfin un sens en expliquant sa raison d'être ici. Nous ne nus rendons pas toujours compte mais parfois un simple regard, une parole échangée, un sourire peuvent permettre à l'autre de se sentir pleinement en vie.



Je crois que la nouvelle que j'ai préférée est celle qui se trouve en tête de ce volume et qui est intitulée "La mobylette jaune". Cela ne vous fait penser à rien si je vous dis qu'il y a un logo bleu dessus ? Bien évidemment à celle du facteur et vous auriez raison de croire que sa simple venue peut parfois modifier le cours d'une existence, changer la vie des gens qui attendent ou au contraire n'attendent et n'espèrent désormais plus rien au courrier, apporté par la main-même du facteur ou déposé directement par la boîte aux lettres, objet de torture lorsque celle-ci reste désespérément vide mais je ne vous en dirais pas plus afin, je l'espère avoir éveillé votre curiosité !



Un ouvrage à l'écriture fluide et limpide et qui se lit extrêmement vite, l'avantage des nouvelles est que celles-ci étant courtes, le lecteur peut y glaner de temps à autre et y revenir par la suite sans avoir perdu le dil de l'histoire !



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La joie d'avoir vécu

La sentence est tombée : la maladie dont est atteint Paul est incurable et il ne lui reste que quelques mois à vivre. Si certains, voire même la plupart d'entre nous auraient utilisé ces mois de répit pour accomplir tout ce qu'ils n'avaient pas eu le tempes d'accomplir ou encore vivre au jour le jour et profiter de chaque instant, Paul, au contraire, préfère revivre dans le passé. Il a envie de remercier toutes celles et ceux qui lui ont procuré cette joie de vivre, que ce soit les personnes les plus importantes mais aussi, et surtout, les petits plaisirs de la vie et que l'on ne prend pas assez le temps d'apprécier lorsqu'ils se présentent à nous ainsi que les personnes qu'il n'a croisé qu'une seule fois mais qui, d'une manière ou d'une autre, lui ont laissé une empreinte précieuse au cours de son existence. Cela peut aller d'un chauffeur de taxi à une ancienne relation amoureuse ou encore à des restaurants dans lesquels il a pris part à déjeuner mais dans tout cela, ne néglige-t-il pas le plus important, à savoir sa femme Léa et ses trois enfants. Certes, il pense que cela est une évidence mais pour sa femme, celle qui l'accompagne au jour le jour et voit son état se dégrader petit à petit, cela ne l'est pas : il y a parfois des mots que l'on a besoin d'entendre et ce, encore et encore.



L'état physique de Paul ne lui permettant plus de se déplacer dans les derniers temps, et aussi, parce qu'il y aurait trop à faire, il prend la décision d'écrire à tous ceux et celles qu'il n'a pas eu l'occasion de remercier plus tôt. Il n'est jamais trop tard pour dire merci : cela ne coûte rien mais cela rapporte beaucoup à celui qui sait le recevoir comme un cadeau.



Ouvrage coup de poing, extrêmement bien écrit mais pour lequel il faut avoir le coeur bien accroché et les glandes lacrymales pas trop fragiles ! Un ouvrage sur l'amour de la vie et qui nous donne une sacrée leçon de morale ! A découvrir et à faire découvrir ! Enfin, merci Jacques Olivier Durand car grâce à vous, je peux dire cette "joie" de l'avoir lu. Merci !
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Rien n'est jamais fini

On croît se connaître et en fait on découvre souvent que c'est un leurre, on croit que les gens que l'on côtoie savent qui nous sommes mais il n'en est rien non plus. Souvent, c'est la rencontre avec l'autre, un individu croisé au hasard (mais là encore, le hasard existe-t-il vraiment), celui qui ne sait rien de nous ou presque, qui va savoir poser les bonnes questions pour éventuellement que l'on y trouve les bonnes réponses , quoique ces dernières importent peu en réalité. Une fois que les questions sont étalées carte sur table, le reste importe peu.



Dans ce recueil de sept nouvelles, les personnages que le lecteur y croise n'ont apparemment rien en commun et ne sont pas forcément faits pour se croiser un jour. Pourtant, un point les relier : la librairie le Gré des mots tenue par un libraire de qualité. Même si ces personnages ne s'y sont pas croises, c'est en quelque sorte le fil conducteur de cet ouvrage car il est rare qu'il ne soit pas mentionné dans l'une de ces nouvelles. Tout débute avec un autre personnage clé : Ambroise. Au cours d'un dîner et d'une altercation avec l'un des convives, celui-ci va décider, sur un coup-de-tête (enfin, cela reste à voir, peut-être cela a-t-il été longuement et mûrement réfléchi) de disparaître et ce, durant de longs mois, voire des années, sans laisser ni adresse ni explication. C'est parfois dans ces moments-là d'ailleurs que l'on se retrouve, lorsque l'on est confronté seul avec soi-même, coupé du monde et de toute technologie afin de ne pas être tenté de renouer avec le monde que l'on connaissait avant. il en va de même lorsque l'on a exercé un métier à risque durant de longues années (que ce soit celui de reporter de guerre ou de torero, la différence n'étant pas loin car il y a toujours cette notion d'empathie, que ce soit auprès des cadavres dans des pays ravagés ou lorsque l'on aperçoit une larme dans l'oeil du taureau que l'on est sur le point d'achever). En va-t-il de même lorsqu'une jeune femme s'apprête à renoncer à sa future vie de mère et tant d'autres exemples encore. Je ne vais pas tous vous les énumérer afin de vous inciter à lire ce recueil qui ne peut que vous attendrir et à vous amener, comme ce fut le cas avec moi, à vous remettre en question et à réfléchir sur le véritable sens que vous aimeriez donner à votre vie. Pour ceux et celles qui l'ont déjà trouvé, je ne peux que les envier mais cela ne m'empêche pas de leur recommander néanmoins cette lecture qui se lit très vite et qui est de plus, très agréable !



Avec des passages très forts, Jacques Olivier Durand a trouvé l'art et la manière de faire vivre ses nouvelles tout en les reliant entre elles par une sorte d'alchimie qui fonctionne à merveille. A découvrir et à faire découvrir !
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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

La première question que je me suis posé en commençant le livre c'est s'il allait falloir sortir les mouchoirs. En fait, il y a de beaux moments d'émotion, le début en particulier, mais aussi tout au long du récit, émotion que chacun ressentira probablement plus ou moins intensément selon sa propre expérience. Le narrateur nous donne de très jolies leçons de vie au travers des remerciements qu'il exprime, les rencontres avec de belles personnes , les souvenirs de lieux qui ont marqué sa vie, la chanson, le théâtre et bien sur ses proches, famille et amis.

Sans doute ai-je été particulièrement sensible à ce récit étant d'une génération proche de celle du narrateur avec beaucoup de références culturelles communes, mais avant tout c'est l'idée de ce retour positif sur le passé qui m'a beaucoup touché.

Le style est clair, simple, agréable. Un très beau livre.

Merci à babelio et aux éditions "Au diable vauvert" pour ce livre numérique reçu dans le cadre de l'opération masses critiques.


Lien : http://allectures.blogspot.f..
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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

Le narrateur apprend qu'il est atteint d'une maladie incurable et ses jours sont comptés. Il se décide alors à remercier tout ce qui lui a plus dans sa vie.

Le narrateur voir sa santé se dégrader et cela jusqu'à ce qu'il ne plus capable d'écrire. Heureusement cela arrive très tardivement.

Il prend plutôt bien l'annonce de sa mort prochaine. Cela pourrit-il arriver à d'autre personnes? J'ai un peu de mal à croire à un tel stoïcisme.

Pour remplir les derniers mois de sa vie, il va passer en revue tout ce qui a pu lui lui apporter quelque chose dans sa vie. Ça permet de découvrir un passionné de bonne nourriture, de vie simple. Mais le problème c'est qu'au bout de 80 pages, j'ai eu l'impression de me retrouver dans un catalogue. Surtout lorsqu'est faite l'énumération des œuvres théâtrales qui l'ont touché, là ça ne m'évoquait rien du tout.

Cet élément m'a laissé un sentiment un peu mitigé. Le roman aurait pu avoir un caractère universel de par son thème (la mort) mais en se focalisant sur des choses très personnelles le récit m'a fait me détacher de lui.
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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

Un petit roman plaisant à lire, rempli de tendresse, d'amour mais parfois aussi, un peu moralisateur sur les bords et quelque peu répétitif aussi.

Bref, on suit gentiment le chemin de remerciements de Paul, accompagné de sa femme Léa et de ces enfants, on sent bien la passion du rugby et les qualités que ce sport a pu faire transmettre à Paul mais aussi à son fils, l'attrait de l'écriture et du théâtre par le biais de sa femme entre autres, la gourmandise au travers des divers restaurants et autres petites( et grandes) "bouffes" qu'il a faite. Mais il manque un petit quelque chose, que j'avoue ne pas arriver à vraiment déterminer, un petit quelque chose qui ferait basculer ce roman vers une magnifique histoire. Là, on est attendri, on apprécie, mais on ne s'envole pas (d'où mes 3 étoiles seulement).

En tout cas, merci au Diable Vauvert et à Babelio pour cette masse critique numérique car c'est un petit moment sympathique de lecture que j'ai tout de même passé.
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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

Demain, la veille ou la Joie d’avoir vécu… Une vie soudainement qui bascule dans l’incertitude des jours à venir. Plus que quelques mois de sursis lui annoncera-t-on à ce narrateur qui évoque avec émotion et nostalgie sa vie d’avant, sa vie de maintenant, sa vie d’après. Cet après qu’il n’ose pas trop brusquer.



Il va alors remercier. Remercier ses souvenirs : ces gens, ces endroits, ces lieux, ces mets, ces anecdotes qui ont fait de lui ce qu’il est devenu. Qui l’ont à un moment donné de son existence amené à se remettre en question, à réorienter ses pensées sur l’Essentiel.



A travers ses pages de remerciements et de souvenirs, il nous raconte également ses proches, ses amis… La façon dont ceux-ci vivent son sursis. La peine qui les traverse. L’amour qu’ils lui portent. Ces larmes cachées aux traces indélébiles dans les cœurs de sa femme et de ses filles… Ces étreintes pourtant fugaces mais qui veulent tant dire…



Le récit dépérit tout autant que son narrateur. Fidèles, les mots rendent ici hommage à leur maître, à sa douleur et sa maladie qui sont en train de l’emporter. Sur un ton léger et parfois plein d’humour, la mort traverse les pages à grands pas… On la sent qu’elle arrive. Inévitable, elle lui laisse tout de même le temps de vivre ses derniers moments comme il l’entend.

Le temps d’accueillir la mort…



Il y manque le charme et l’odeur des pages… Ce petit « truc » qui fait la différence. Toutefois, le format numérique ne laisse pas sans émotion et prend les tripes aussi rapidement qu’il les laisse mollassonnes avec le départ « précipité » du narrateur vers d’autres horizons…



Merci pour ce récit.

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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

Livre découvert par le site Babelio. C’est un petit livre (une centaine de pages), rapide à lire et plaisant.

Un homme, apprenant qu’il ne lui reste que quelques semaines à vivre, décide de mettre à profit le temps qu’il lui reste à vivre en allant voir les personnes qui ont compté dans sa vie ou en leur écrivant pour les remercier. On suit les choix de cet homme et ses réflexions sur sa vie, sur ce qu’il trouve important à la veille de sa mort. Il nous fait aussi part de ses « coups de gueule » sur ce qui l’insupporte.

Dans l’ensemble, j’ai bien aimé le rythme soutenu du roman, la variété des sujets abordés, le fait que l’auteur ne tombe pas dans le « pathos » à outrance.

Au final, je suis assez partagée, ayant trouvé certains passages très intéressants, intelligents et d’autres trop moralisateurs : l’auteur profite parfois de la situation extrême qu’il a installée pour « régler ses comptes » et donner des leçons de morale au lecteur.

L’ensemble reste agréable à lire et assez original.

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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

Je remercie Babelio pour m'avoir fait découvrir ce livre que j'ai dévoré très rapidement.

J'ai beaucoup aimé le style d'écriture : les chapitres consacrés au présent qui se mélangent aux chapitres consacrés au passé ; les derniers chapitres où tout s'accélère jusqu'à l'arrêt brutal.

J'ai également apprécié l'idée de vouloir dire merci aux gens qui ont compté et pas seulement la famille mais les individus qui en général par les valeurs qu'il véhiculent nous touchent .Cette question, je me la suis posée. La réponse n'a pas est si aisée que ça.

Même si cette question est au coeur de l'histoire, cet ouvrage n'est pas un livre philosophique mais bien un roman dans lequel les personnages sont attachants,

Enfin même si la mort est omniprésente dans l'histoire, la vie l'est également à travers les bonheurs qu'elle apporte et qui des fois sont simples comme les plaisirs de la table.

Encore merci pour cette lecture.

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Dictionnaire désamoureux des mots peu aimables

Je savais Jacques Olivier Durand homme de lettres. Avec cet ouvrage, il montre qu'il est aussi un fin analyste de nos suffisances langagières et de notre vocabulaire surtout lorsque celui-ci est patibulaire. Avec lui le mot décortiqué, trituré, désalambiqué révèle des maux qui en disent plus longs sur nous que des émoji. Son dictionnaire est certes désamoureux mais il est pour notre plus grand plaisir, savoureux. Il est urgent de le feuilleter.
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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

Paul va mourir. Il ne lui reste que quelques mois à vivre, il décide donc de remercier la vie, celle qui lui a amené des plaisirs, ainsi nous avons une philosophie des petits bonheurs de tous les jours : les livres, la nourriture, le Zaïre, les femmes, etc.

Même si l'on connaît la fin, ce petit recueil n’est pas morbide et l'on se surprend à rechercher nos propres petits bonheurs, une belle leçon de vie.

Merci à babelio pour ce livre pour ce livre e-pub offert.
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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

Il s'agit d'un petit livre par son format ( 116 pages) et grand par son sujet (la mort).



Le narrateur apprend de son médecin qu'il lui reste quelques semaines à vivre. Comment vivre ces semaines ?



Après avoir communiqué cette triste nouvelle à son épouse puis à ses enfants, il décide de profiter du temps qui lui reste pour remercier ceux et celles qui lui ont apporté quelque chose dans sa vie : en leur rendant visite, tant que son état de santé le lui permet, ou en leur écrivant.



Il sera très entouré non seulement par son épouse mais aussi par ses filles et ses amis ; il sera en contact par "skype" avec son fils pour parler rugby , leur passion commune.



Toutefois, Ce livre m'a un peu déconcertée avec l'alternance de passages très émouvants et d'autres assez agaçants (les listes de noms). J'ajouterai qu'en tant que lectrice et acheteuse de livres, j'ai beaucoup apprécié le passage de la lettre, prêtée à Bernard Pivot, sur l'invasion des livres dans une maison, c'est du vécu !



Lorsque je rédige une critique après avoir lu un livre, j'aime me replonger dans le texte. La lecture du livre de Jacques-Olivier Durand terminée, il n'est plus accessible sur tablette, c'est dommage !



Merci au Diable Vauvert et Babélio de m'avoir sélectionner pour la lecture de ce livre.



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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

La critique n'est pas facile...

Le sujet choisi non plus ...

Un livre très court, que j'ai pourtant mis plusieurs jours à finir.

De belles idées, de jolies images et de jolis hommages.

Et pourtant ... Un je ne sais quoi dans le ton qui ne m'a pas touchée suffisamment et qui m'a laissée sur ma faim

Mais le thème est si personnel que fatalement, le ressenti l'est aussi...

Merci aux éditions le Diable Vauvert et à babelio pour cette lecture qui malgré tout m'a laissé quelques belles évocations

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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

C'est une lecture atypique.

Le narrateur annonce dès les premières lignes sa mort imminente. S'ensuit alors un récit de vie, d'amour, de souvenirs. Une énumération de remerciements aux éléments et aux personnes qui ont jalonnés cette belle vie qui fût la sienne.

Les mots sont beaux et choisis, mais le rythme est inégal et les inventaires parfois bien long ... Dommage, car Jacques-Olivier Durand offre ici une histoire intelligente et d'une belle sensibilité.
Lien : http://bibliobleu.blogspot.fr
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Demain la veille: Ou La joie d'avoir vécu

Je vous invite a decouvrir cet ouvrage et a faire part de vos retours
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