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3.76/5 (sur 97 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : 04/06/1950
Biographie :

Jacques Pessis est un journaliste, écrivain, scénariste, comédien et réalisateur français.

Il a d’abord poursuivi de hautes études scientifiques avant d’être rattrapé par le démon du journalisme. À l’issue d’années de préparation aux Grandes Écoles d’Ingénieurs, il intègre RTL où il devient l’un des assistants de Philippe Bouvard pour RTL. Il collabore ensuite et en même temps à la télévision pour Samedi Soir et à France Soir. Il profite de ses rares moments de loisirs pour obtenir une licence de Gestion. Il finit par voler de ses propres ailes et devient successivement Chef des Informations à RTL (RTL et Vous) puis animateur à RMC. Pendant onze ans, il va créer et présenter des émissions à succès parmi lesquelles "Enquête sur une vedette" et "Le salon extraordinaire".

Parallèlement, il va poursuivre une carrière de chroniqueur, successivement au Point, à VSD, au Parisien et au Figaro. Il va également assumer à la télévision, toutes sortes de chroniques dans des émissions de variétés et des magazines d’information.

Avec sa maison de production (P6 Production), il produit et réalise pour La Cinquième, puis pour France 5 des séries de documentaires sur les chanteurs et artistes du music-hall. Il participe en tant que spécialiste de la variété française à l'émission "Chabada", produite par Degel Prod, diffusée sur France 3. Il est le créateur de nombreux spectacles au théâtre et au music-hall et directeur de collection chez Dargaud.

Il est l'auteur de plusieurs biographies et spectacles, en particulier dans l'univers de la chanson française (Édith Piaf, Charles Trenet, Joséphine Baker, Pierre Dac, etc.). En 2007, il est le commissaire de l'exposition Dalida, à l'hôtel de ville de Paris.

Légataire universel de l'humoriste Pierre Dac, il a écrit sa biographie. Il a écrit aussi plusieurs livres en collaboration avec Pierre Dac ou des anthologies de Pierre Dac. Il a aussi publié des ouvrages sur l'histoire de la vie parisienne au XXe siècle.

Jacques Pessis est également le président du Club des croqueurs de chocolat.

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Vidéo de

Radio Londres. La guerre en direct de Jacques Pessis.


Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Jacques Pessis
Si Hergé et E.P. Jacobs demeurent présent au journal Tintin – un peu trop irrégulièrement au goût des lecteurs -, de nouvelles signature apparaissent au fil des semaines. Parmi elles figure celle du duo Tibet et Duchâteau, avec "Ric Hochet", mais aussi d'un jeune scénariste plein d'humour, René Goscinny. Avec son complice, le dessinateur Albert Uderzo, il a crée, entre autres, "Oumpah-Pah le Peau-Rouge". On entre dans ce qu'on appellera plus tard « l'âge d'or de la BD belge ».
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Quand on a rêvé sa vie, il faut vivre son rêve. La vie est un rêve traversée par un cauchemar. On le digère, et le rêve reprend.
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... oui, vous, là ! j'ai dit : achetez ce journal ! Tout de suite ! Hop ...
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L'homme des voeux court encore ... il a mystifié la France entière ...
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-Y a pas plus à tortiller du cuir chevelu pour friser droit que de tourner autour du pot pour onduler à froid, mais, faut dire ce qui est, y a plus de saisons.
-Non, en effet, y en a plus et la faute en est aux marchands,
-Quels marchands?
-Les marchands des quatre saisons, naturellement.
-Vous croyez?
-J'en suis sûr, vu qu'à force de les vendre, il finit par ne plus en rester.
-C'est la seule explication.
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J'étais l'idole sauvage dont Paris avait besoin. Après quatre années de violence, j'ai symbolisé la liberté retrouvée, la découverte de l'art nègre, du jazz. J'ai représenté la liberté de me couper les cheveux, de me promener nue, d'envoyer tous les carcans au diable, y compris le corset.
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LE SAR RABINDRANATH DUVAL

(écrit avec Francis Blanche)


FRANCIS BLANCHE : Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, j’ai le grand plaisir honorifique de présenter à vous ce soir, n’est-ce pas, tout à fait exceptionnellement, dans le plus simple appareil, une beauté qu’on vient d’arracher on ne sait pas quoi d’ailleurs ! De vous présenter le Sâr Rabindranath Duval, qui est le descendant authentique des grands Sârs, des grands visionnaires de l’Inde, n’est-ce pas ! Votre Sérénité…
PIERRE DAC : Hum ! Hum !
FRANCIS BLANCHE : Vous avez bien dîné déjà ? Bon ! Vous descendez des grands Sârs de l’Inde, n’est-ce pas ?
PIERRE DAC : Oui
FRANCIS BLANCHE : Vous êtes né dans l’Inde ?
PIERRE DAC : Je suis né dans l’Inde.
FRANCIS BLANCHE : A quel endroit de l’Inde ?
PIERRE DAC : Châteauroux.
FRANCIS BLANCHE : A Châteauroux ! Extraordinaire ! Vraiment ! D’ailleurs, je crois savoir de source sûre que votre père était Hindou !
PIERRE DAC : Hindou, oui.
FRANCIS BLANCHE : Votre grand-père ?
PIERRE DAC : Hindou.
FRANCIS BLANCHE : Et votre arrière-grand-père ?
PIERRE DAC : C’était un dur.
FRANCIS BLANCHE : Voilà donc par conséquent, n’est-ce pas, il a depuis de longues années la pratique de la vision hindoue. Dites-moi, votre Sérénité, vous avez le don de double vue ?
PIERRE DAC : Oui, je vois double.
FRANCIS BLANCHE : Il voit double ! Je m’en doutais un peu d’ailleurs, vous voyez donc, mais c’est héréditaire ?
PIERRE DAC : Héréditaire.
FRANCIS BLANCHE : C’est atavique
PIERRE DAC : Non, c’est à moi.
FRANCIS BLANCHE : Je veux dire, c’est congénital ?
PIERRE DAC : Non c’est quand j’ai trop bu.
FRANCIS BLANCHE : Il faut dire, n’est-ce pas, je tiens absolument à préciser que sa Sérénité fait de grands exercices tous les jours, quotidiennement presque, pour conserver son don de double vue. Il fait le yoga, n’est-ce pas. Vous faites le yoga ?
PIERRE DAC : Oui, oui.
FRANCIS BLANCHE : C’est le yoga de…
PIERRE DAC : De la marine !
FRANCIS BLANCHE : Et il surveille également de très près son alimentation… Quelle est votre alimentation ? Qu’est-ce que vous prenez pour votre dîner ?
PIERRE DAC : Uniquement de la cuisine à l’huile !
FRANCIS BLANCHE : La cuisine des Sârs ?
PIERRE DAC : La cuisine des Sârs, oui.
FRANCIS BLANCHE : Oui, mais pourquoi ?
PIERRE DAC : Parce que les Sârs dînent à l’huile !
FRANCIS BLANCHE : Les Sârs dînent à l’huile ! Vraiment, ce n’est pas trop tiré par les cheveux du tout parce qu’il n’en a plus ! Alors si vous permettez, nous allons nous livrer sur quelques personnes de l’assistance publique, çà des expériences tout à fait extraordinaires. Votre Sérénité, je vais vous demander de vous concentrer soigneusement.. Voilà ! Vous êtes concentré ?
PIERRE DAC : Je suis concentré.
FRANCIS BLANCHE : Il est concentré, comme on dit chez Nestlé… parfait ! Votre Sérénité, concentrez-vous bien, vous êtes en transe ?
PIERRE DAC : Oui, je suis en transe napolitaine.
FRANCIS BLANCHE : En transe napolitaine, n’est-ce pas ? Votre Sérénité, concentrez-vous bien, et dites-moi, je vous prie, quel est le signe zodiacal de Monsieur ?
PIERRE DAC : Monsieur est placé sous le double signe du Lion et du Fox à poil dur.
FRANCIS BLANCHE : Oui, dites-moi quel est son caractère ?
PIERRE DAC : Impulsif, parallèle et simultané.
FRANCIS BLANCHE : Quel est son avenir ?
PIERRE DAC : Monsieur a son avenir devant lui, mais il l’aura dans le dos chaque fois qu’il fera demi-tour.
FRANCIS BLANCHE : Il est vraiment extraordinaire ! Voulez-vous me dire, à présent, quel est le signe zodiacal de Mademoiselle ?
PIERRE DAC : Mademoiselle est placée sous le triple signe bénéfique de la Vierge, du Taureau et du Sagittaire avant de s’en servir.
FRANCIS BLANCHE : Ah ! C’est ça. Il a raison ! Il a mis dans le mille, comme disait Jean-Jacques Rousseau. Votre Sérénité, au lieu de vous marrer comme une baleine… Excusez-nous, sa Sérénité est en proie aux divinités contraires de l’Inde : Brahma et Vishnou. Brahma la guerre et Vishnou la paix ! Voulez-vous me dire, votre Sérénité, quel l’avenir de Mademoiselle ?
PIERRE DAC : L’avenir de Mademoiselle est conjugal et prolifique.
FRANCIS BLANCHE FRANCIS BLANCHE : Ah ! Prolifique ?
PIERRE DAC : Oui.
FRANCIS BLANCHE : Qu’est-ce que ça veut dire ? Elle aura des enfants ?
PIERRE DAC : Oui.
FRANCIS BLANCHE : Des enfants ?
PIERRE DAC : Des jumelles.
FRANCIS BLANCHE : Des jumelles ! Combien ?
PIERRE DAC : Une paire ! Avec la courroie et l’étui !
FRANCIS BLANCHE : Voulez-vous, à présent, je vous prie, me dire quel est le signe zodiacal de Monsieur ?
PIERRE DAC : Ce monsieur est placé sous le signe de Neptune, Mercurochrome.
FRANCIS BLANCHE : Quels sont ses goûts ?
PIERRE DAC : Monsieur a des goûts sportifs. Son sport préféré, le sport cycliste.
FRANCIS BLANCHE : Bien. Qu’il peut pratiquer sans inconvénients ?
PIERRE DAC : Oui, mais à condition toutefois de se méfier.
FRANCIS BLANCHE : Se méfier. De qui ? De quoi ?
PIERRE DAC : De certaines personnes de son entourage qui prétendent que sa compétence dans le domaine de la pédale exerce une fâcheuse influence sur son comportement sentimental.
FRANCIS BLANCHE : Ah ! Encore une fois vous avez mis dans le mille. Mais, dites-moi, qu’est-ce que vous lui conseillez municipal ?
PIERRE DAC : Je lui conseille vivement de ne pas changer de braquet et de surveiller son guidon.
FRANCIS BLANCHE : Votre Sérénité, tout à fait autre chose à présent. Pouvez-vous me dire quel est le sexe de Monsieur ?
PIERRE DAC : Masculin.
FRANCIS BLANCHE : Oui. Vous êtes certain ?
PIERRE DAC : Oui. Vous pouvez vérifier.
FRANCIS BLANCHE : Non, non, on vous croit sur parole ! Et dites-moi, quelle est sa taille ?
PIERRE DAC : Un mètre soixante-seize debout, un mètre cinquante-six assis, zéro mètre quatre-vingt-trois roulé en boule.
FRANCIS BLANCHE : Et dites-moi, il pèse combien ?
PIERRE DAC : Oh !... deux fois par mois !
FRANCIS BLANCHE : Non, non ! Excusez-le Sâr, n’est-ce pas, il ne comprend pas bien le français. Je vous demande quel est son poids P.O.I.X. ?
PIERRE DAC : Soixante-douze kilos cinq cents. Sans eau sans gaz et sans électricité.
FRANCIS BLANCHE : Oui. Dites-moi quel est le degré d’instruction de Monsieur ?
PIERRE DAC : Secondaire.
FRANCIS BLANCHE : Oui. Est-ce que Monsieur a des diploums ?
PIERRE DAC : Oui, Monsieur est licencié. Licencié G.L.
FRANCIS BLANCHE : Licencié G.L. ? Qu’est-ce que ça veut dire ?
PIERRE DAC : ça veut dire qu’il travaillait aux Galeries Lafayette et qu’on l’a foutu à la porte.
FRANCIS BLANCHE : S’il vous plaît, votre Sérénité, concentrez-vous bien, combien Monsieur a-t-il de dents ?
PIERRE DAC : Trente dedans et deux dehors !
FRANCIS BLANCHE : Voilà ! Très bien ! Monsieur a-t-il des complexes ?
PIERRE DAC : Oui ! Monsieur fait un complexe… A certains moments, il prend sa vessie pour une lanterne.
FRANCIS BLANCHE : Et alors ?
PIERRE DAC : Et alors, il se brûle !
FRANCIS BLANCHE : Dites-moi, Votre Sérénité, mon petit bonhomme, dites-moi de quelle nationalité est Madame ?
PIERRE DAC : Française.
FRANCIS BLANCHE : Oui. Et son père ?
PIERRE DAC : Esquimau !
FRANCIS BLANCHE : Et sa mère ?
PIERRE DAC : Pochette surprise !
FRANCIS BLANCHE : Très bien !... Et ta sœur ?
PIERRE DAC : Ma sœur, elle bat le beurre, et quand elle battra…
FRANCIS BLANCHE : Bon, bon, oui, ça va…
PIERRE DAC : Escroc, voleur !
FRANCIS BLANCHE : Espèce de mal élevé, mauvaise éducation excusez-le, il n’y a pas longtemps… Il en a une touche là-dessus ! Tiens encore il y a trois ans, il n’avait même pas un plateau, il avait directement le pied de la table… Mais enfin, ça c’est autre chose… Votre Sérénité, pouvez-vous me dire, s’il vous plaît…
PIERRE DAC : Oui ?
FRANCIS BLANCHE : Euh !...
PIERRE DAC : Quoi ?
FRANCIS BLANCHE : Qu’est-ce que vous pouvez me dire ?
PIERRE DAC : Je peux vous dire que vous ne savez plus votre texte.
FRANCIS BLANCHE : Si vous êtes si intelligent, dites-moi donc qu’est-ce que je dois vous demander à présent ? Votre Sérénité, pouvez-vous me dire, c’est très important, concentrez-vous, pouvez-vous me dire quel est le numéro du compte en banque de Monsieur ?
PIERRE DAC : Oui.
FRANCIS BLANCHE : Vous pouvez le dire ?
PIERRE DAC : Oui !!
FRANCIS BLANCHE : Vous pouvez le dire ??
PIERRE DAC : Oui !!!
FRANCIS BLANCHE : Il peut le dire !!! Bravo ! Il est extraordinaire, il est vraiment sensationnel. Votre Sérénité, quelle est la nature du sous-vêtement de Monsieur ?
PIERRE DAC : Monsieur porte un slip.
FRANCIS BLANCHE : Oui. De quelle teinte ?
PIERRE DAC : Saumon fumé.
FRANCIS BLANCHE : Tiens, tiens, en quoi est-il ?
PIERRE DAC : En chachlick mercerisé.
FRANCIS BLANCHE : Ah ! Il a un signe particulier ?
PIERRE DAC : Oui. Il y a quelque chose d’écrit dessus.
FRANCIS BLANCHE : Quoi donc ?
PIERRE DAC : Suivez la flèche.
FRANCIS BLANCHE : C’est merveilleux. Tout à fait extraordinaire !!! Votre Sérénité, Monsieur que voici que voilà a-t-il un signe particulier ?
PIERRE DAC : Oui. Un tatouage.
FRANCIS BLANCHE : Ah ! Un tatouage ! Très intéressant ! C’est bien exact, n’est-ce pas ? Je ne le lui fais pas dire ! C’est bien exact ! Et où se trouve situé le tatouage de Monsieur ?
PIERRE DAC : Je suis extrêmement fatigué, je m’excuse…
FRANCIS BLANCHE : Allons, allons… Monsieur Schumacker…
PIERRE DAC : C’est très délicat et je suis fatigué…
FRANCIS BLANCHE : Il est dans un état épouvantable, excusez-le. Votre Sérénité, je vous demande où se trouve situé le tatouage de Monsieur.
PIERRE DAC : Le tatouage de Monsieur est situé à un endroit que l’honnêteté et la décence m’interdisent de préciser davantage.
FRANCIS BLANCHE : Ah bon ! Mais qu’est-ce que vous entendez par là ?
PIERRE DAC : Oh ! Par là j’entends pas grand-chose !
FRANCIS BLANCHE : Je vous prie de vous concentrer davantage, espèce de malotrou ! Alors, que représente le tatovage de Monsieur, s’il vous plaît ?
PIERRE DAC : Bon ; Le tatouage de Monsieur représente… enfin, lorsque Monsieur est en de bonnes dispositions… le tatouage rep
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PENSEES MEDICALES, CHIRURGICALES ET PHARMACEUTIQUES


A titre de renseignement pharmaceutique utile, il est signalé que c'est la pharmacie Lopez qui sera de garde dimanche prochain à Santiago-du-Chili.

Le pire qui puisse arriver à un dermatologue malchanceux, c'est le manque de peau.

Certaines voies urinaires sont encore plus impénétrables que les voies du Seigneur.

En médecine empirique un bon guéri vaut mieux que deux qui ne le sont pas.

Contrairement à ce qui a été précédemment signalé, ce n'est pas la pharmacie Lopez, mais la pharmacie Gomez qui sera de garde dimanche prochain à Santiago-du-Chili.

L'aphorisme de Glockenspiehl qui dit qu'un client mort est un client perdu est compensé par l'apophtegme de Spatzmuller qui dit qu'un nouveau-né est un client trouvé en puissance de le devenir.

L'hystérectomie est une opération qui, pour n'être pas du Saint-Esprit, n'en donne pas moins la possibilité de pécher sans concevoir.

Une bonne intervention parlementaire vaut mieux qu'une bonne intervention chirurgicale, ce qui, pour autant, ne met pas un bon parlementaire à l'abri d'en subir une bonne.

En raison du décès subit du pharmacien Gomez qui devait remplacer le pharmacien Lopez, il n'y aura pas de pharmacie de garde dimanche prochain à Santiago-du-Chili.

L'appendice, c'est le post-scriptum de l'organisme.

A la faculté de médecine et de pharmacie, il est communément admis que les comprimés ne sont pas systématiquement des imbéciles diplômés.

Les suppositoires à la nitroglycérine sont beaucoup plus efficaces que ceux à la glycérine pure, mais se révèlent beaucoup plus bruyants.

A la suite du subit décès du pharmacien Gomez et afin de ne pas laisser la population de la capitale chilienne privée de ravitaillement pharmaceutique dominical, c'est tout de même la pharmacie Lopez qui, de gré ou de force, sera de garde dimanche prochain à Santiago-du-Chili.

Il est plus facile d'attraper les oreillons par contagion qu'un moustique au lasso par occasion et par surprise.

Je me suis souvent demandé, et me le demande souvent encore, ce qui peut bien différencier une mauvaise bronchite d'une bonne.

La plus grave erreur et la plus lourde faute que puisse commettre un chirurgien distrait est de remplacer, au cours d'une greffe organique, le duodénum d'un client par le quatuor de Rigoletto de Verdi.

A la suite du service de garde ordonné contre le gré de son propriétaire, la pharmacie Lopez est en vente depuis dimanche dernier à Santiago-du-Chili.
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Au premier abord, Nicky Larson semble bien sous tous rapports. Séduisant, malin et redoutable tireur, ce détective privé est certes un véritable bon Samaritain, prêt à se sacrifier pour secourir la veuve et l'orphelin, mais c'est aussi un dragueur invétéré. Pire, un véritable obsédé sexuel et ça, Laura, la sœur de son ancien coéquipier, ne le supporte absolument pas. Du coup, elle n'hésite pas à l'assommer avec une énorme massue à la moindre incartade...
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Punky Brewster : la vie en rose
Abandonnée par ses parents, Punky Brewster, 7 ans, et son chien Bandit se réfugient dans un appartement vide où ils sont découverts par le gérant de l'immeuble, Henry Warnimont. Au lieu d'appeler la police, ce vieil homme célibataire va se laisser attendrir par la fillette et lui ouvrir les portes de sa maison. Grâce à elle, il retrouvera la joie de vivre.
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