Si l’URSS pouvait difficilement faire la démonstration de sa maîtrise du nucléaire au moment de la catastrophe, le pays s’est ensuite employé à mettre en valeur la gestion sociale et politique exemplaire des aléas qui s’ensuivirent. Le discours officiel se voulait rassurant et les moindres avancées scientifiques effectuées sur les décombres de l’accident étaient applaudies par le pouvoir.