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Critiques de Jean-Blaise Djian (729)
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Au Nom du fils : Dans l'enfer de la prison ..

J'ai bien aimé ce titre malgré de gros défauts à commencer par un scénario qui n’apparaît pas très crédible pour un sou. Il est question d'une célèbre prison située à savoir San Pedro dans une ville de Bolivie et qui est administré par les prisonniers eux-mêmes ce qui peut présenter des avantages pour les mâtons qui ne risquent plus leurs vies.



Il est surtout question d'un fils qui a été sauvagement assassiné loin de la France et surtout loin de son père qui a toujours été absent de sa vie. Il faut dire que ce dernier était cadre dans une entreprise à laquelle il a tout donné avant de se faire lourder, passé la cinquantaine en guise de remerciement. Ce dernier s'est mis en tête de le venger et pour cela, il doit intégrer cette prison bolivienne. Il va commettre un délit pour pouvoir y entrer. On y croit vraiment !



Certes, on a l'impression que cette prison est le thème central de ce récit et que tout est orchestré tout autour. En effet, c'est une prison pas comme une autre où tout s'achète (même les armes ou la drogue). Mais bon, il faut travailler également pour payer sa pitance.



Par ailleurs, on sera vite gagné par ce récit qui entretient un bon suspens car on s'attache à ce père de famille qui cherche une forme de rédemption en accomplissant un acte de vengeance. Il y a différentes étapes qui sont respectées marquant une tension qui ira en s'accentuant. Du coup, on sympathise assez rapidement avec ce personnage plutôt charismatique qui essaye de redonner un sens à son existence.



Bref, j'ai beaucoup aimé cette histoire rythmée même si la conclusion peut paraître un peu exagéré dans une surenchère de bons sentiments. Au moins, la moralité sera sauve. Au nom du fils va nous changer d'un « Prison Break », c'est certain !
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Les Quatre de Baker Street, tome 10 : Le Mu..

Fin XIXeme à Londres, Black Tom est coincé : Puck a été enlevé sous l'ordre de Patch, le roi de la cour des miracles de Londres. Il souhaite récupérer le jeune monte en l'air qui fait des prouesses pour escalader n'importe quel mur. Il doit donc aller dérober une lettre - la seule qui ait été authentifié de Jack l'éventreur - au sein même de Scotland Yard. Il cache le kidnapping de Puck à Sherlock, et décide de réaliser la mission. Charlie est contre évidemment car elle se doute que le but de Patch est d'embaucher définitivement le jeune homme. Alors de son coté, elle va rechercher son jeune ami.

Une aventure virevoltante , agrémentée d'une intrigue dédiée à Jack l'éventreur, dessinée avec talent par Etien.
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Au Nom du fils : Dans l'enfer de la prison ..

Au chômage et divorcé, Stéphane reçoit un appel de Bolivie lui annonçant le décès de son fils Max dans la prison de San Pedro. Perturbé par cette perte et par le fait que son fils, avec qui il n'avait plus de contact, l'ait fait prévenir lui.

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Très apprenant car largement inspiré par la véritable prison San pedro sur de nombreux détails comme le fonctionnement semblable à une société, le nom des sections, la possibilité d'y vivre avec sa famille, le travail ou encore le tourisme.

Les dessins sont superbes avec une belle réalisation des émotions. Les yeux sont très expressifs.

J'aime beaucoup le design des personnages notamment Stéphane, Juanita et Miguel.

C'est une histoire à la fois triste belle et émouvante. Très bonne lecture !
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Au Nom du fils : Dans l'enfer de la prison ..

Stephane est un homme d une cinquantaine d'années qui vit à Paris et après un licenciement, il se met à boire, il est assez morose. Un soir il reçoit un appel de Bolivie où il apprend que son fils Max, après avoir intégré dans la prison de San Pedro, a perdu la vie. Stephane se rend compte d être passé à côté de quelque chose quand il se remémore les relations qu il entretenait avec son fils.

Ce roman graphique est plutôt bien mené et on sent bien l ambiance de la Bolivie, la crainte de tous les moments. Le scénario dynamique permet d évoluer dans le récit sans en être lassé.

Graphiquement la colorisation dans des tons sépia nous plonge dans un univers glauque.
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Les derniers Argonautes, tome 2 : La mer du..

Les derniers Argonautes

Jean-Blaise Djian & Olivier Legrand (scénario)

Nicolas Ryser (dessin & couleurs)

B.D.

Glénat, 2012-15-18





Agréable surprise que cette trilogie d'heroic fantasy. Les dessins sont très beaux, le texte aussi, épique et poétique, les personnages attachants. Mythe et fantastique sont liés.

On retrouve de grands héros comme Jason, vieillissant et obsédé par le crime de Médée qui a tué ses deux fils. Il est servi par un satyre. Un jeune prince déshérité en raison de son infirmité s'invite à l'expédition périlleuse que déclinent les lâches guerriers du roi. Il accompagnera l'aède en mal d'inspiration. Une amazone, prisonnière et esclave à la cour du roi, demande à en être également.

Voici une belle occasion pour un jeune lectorat d'entrer avec plaisir dans la mythologie grecque avec ses harpies, ses Stryges, centaures et autre Minotaure et sur le bateau parlant Argo à destination de l'île des Cyclopes. Il connaîtra aussi une gentille sorcière qui a les vents comme alliés et le fils d'une Néréide, qui nage avec les dauphins.

Il est question d'action, d'aventures et de courage, d'amour.

L'entreprise a pour point de départ le silence des dieux de l'Olympe, et les hommes sont désespérés. Il s'agit d'une quête, celle de Jason, puis celle de l'Argo avec laquelle ils traverseront la mer du destin.
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Les derniers Argonautes, tome 1 : Le silenc..

Les derniers Argonautes

Jean-Blaise Djian & Olivier Legrand (scénario)

Nicolas Ryser (dessin & couleurs)

B.D.

Glénat, 2012-15-18





Agréable surprise que cette trilogie d’heroic fantasy. Les dessins sont très beaux, le texte aussi, épique et poétique, les personnages attachants. Mythe et fantastique sont liés.

On retrouve de grands héros comme Jason, vieillissant et obsédé par le crime de Médée qui a tué ses deux fils. Il est servi par un satyre. Un jeune prince déshérité en raison de son infirmité s’invite à l’expédition périlleuse que déclinent les lâches guerriers du roi. Il accompagnera l’aède en mal d’inspiration. Une amazone, prisonnière et esclave à la cour du roi, demande à en être également.

Voici une belle occasion pour un jeune lectorat d’entrer avec plaisir dans la mythologie grecque avec ses harpies, ses Stryges, centaures et autre Minotaure et sur le bateau parlant Argo à destination de l’île des Cyclopes. Il connaîtra aussi une gentille sorcière qui a les vents comme alliés et le fils d’une Néréide, qui nage avec les dauphins.

Il est question d’action, d’aventures et de courage, d’amour.

L’entreprise a pour point de départ le silence des dieux de l’Olympe, et les hommes sont désespérés.



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Au Nom du fils : Dans l'enfer de la prison ..

• Au Nom du Fils : Dans l'enfer de la prison de San Pedro

• Jean Blaise Djian & Pauline Djian (Scénario) & Sébastien Corbet (Dessin)

• Rue de Sèvres



Après avoir appris la mort de son fils qu’il n’a pas revu depuis des années, un père va tout quitter pour se rendre à la prison de San Pedro, où son fils a perdu la vie, afin d’enquêter sur les raisons de sa mort, mais aussi et surtout pour le venger.

Bien entendu, une fois arrivé à San Pedro, une prison unique au monde où les prisonniers s’auto gèrent, de nouveaux objectifs vont s’imposer au père de famille.

Un récit assez touchant où l’on ne peut que comprendre un père qui après avoir été absent de la vie de son fils pendant des années, veuillent se rapprocher de ce dernier bien qu’il soit trop tard.

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Au Nom du fils : Dans l'enfer de la prison ..

C’est une histoire peu crédible que celle offerte par Pauline et Jean-Blaise Djian mais on se laisse prendre par le rythme du scénario, le côté attachant des personnages principaux et l’atmosphère sombre soutenue par un dessin particulièrement adapté de Stéphane Corbet.



Au début de cette fiction, Stéphane père au chômage et divorcé, apprend que son fils dont il n’a plus de nouvelle depuis des années, vient de se faire assassiner dans une prison bolivienne.

N’ayant plus rien à perdre et se demandant pourquoi son fils a voulu qu’il soit prévenu en cas de malheur, Stéphane part pour La Paz décidé à se venger.

Seul hic…. il va lui falloir entrer dans San Pedro, un enfer unique en son genre, une prison aux mains des détenus et des pires criminels.

Le suspens est là.

Un album qui vaut le détour.
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Les Quatre de Baker Street, tome 4 : Les or..

Les journaux londoniens relaient une terrible nouvelle : le célèbre détective Sherlock Holmes, lors d’une confrontation avec son ennemi le professeur Moriaty, aurait trouvé la mort dans les Chutes de Reichenbach. Nos trois francs-tireurs sont désespérés et lors d’une dispute, le trio vole en éclats, chacun partant, plein de rancoeur, de son côté. Las, les trois enfants se retrouvent bien vite dans les ennuis jusqu’au cou sans compter qu’un autre danger rôde : leur pire ennemi, Bloody Percy, est à leurs trousses. Comment pourront-ils s’en tirer ? Le Docteur Watson saura-t-il protéger les protégés de Sherlock ?



Ce quatrième tome fait la part belle aux francs-tireurs qui m’ont entraînée dans les pires quartiers londoniens et surtout dévoile les conditions de vie précaires, sordides et dangereuses pour les orphelins à l’époque victorienne. Charlie se retrouve dans une maison de redressement tenue par des religieux suite au vol d’un pain. Watson, son matou, doit se défendre seul après l’arrestation de sa jeune maîtresse. Tom est retourné auprès de son oncle et reprend ses activités de monte-en-l’air tandis que Billy est pris à partie par les jeunes sbires à la solde de Percy et parvient à échapper à un funeste sort en l’envoyant, tête la première, dans un brasero de fortune, la douleur intense de la brûlure décuplant sa haine envers les protégés de Sherlock. Il devient urgent, pour Billy, de retrouver ses amis afin de leur éviter une mauvaise rencontre et de trouver aide et conseil auprès du Dr Watson.



L’album met l’accent sur le sort réservé à certains orphelins, à Londres : Charlie est prisonnière d’une institution soi-disant de bienfaisance, institution qui profite, honteusement, de la faiblesse des recrues pour les asservir à des tâches exténuantes, dégradantes dans une ambiance délétère et dangereuse pour la santé. Les fillettes et jeunes filles sont exploitées au point de mourir de mauvais traitements et de manque de soins. Tout cela au nom d’une morale bien galvaudée par la manière dont la société utilise les déshérités. Charlie, au caractère bien trempé, tiendra tête au sévère duo d’éducateurs et parviendra à leur fausser compagnie.



La vie aurait pu continuer ainsi, rapines pour survivre, confrontation aux multiples dangers des bas-fonds de Londres. Mais, notre trio, après bien des péripéties, se retrouvera pour porter un dernier coup d’estoc à Percy. L’intrigue est, encore une fois, très bien menée et parfaitement rythmée, les fils distincts des trajectoires individuelles des francs-tireurs amenant ces derniers à retrouver un autre orphelin londonien, John Watson sur qui ils pourront compter. Ne pas oublier, l’art de persuasion de la discrète Mme Watson. J’ai apprécié les scènes de bagarre, toujours très bien traitées, le graphisme des personnages et les couleurs judicieusement utilisées (elles apportent beaucoup aux atmosphères des scènes).



Et Sherlock dans tout ça ? La dernière case de l’album apporte une note d’espoir pour nos jeunes amis.



« Les orphelins de Londres » est un album intelligent, virevoltant, imbriquant tendresse, amitié, douleur, courage, révolte, ruse, astuce à toute la gamme des émotions humaines.
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Le Grand Mort, tome 1 : Larmes d'abeille

Après avoir lu ce premier tome on ne sait pas grand-chose. Courte présentation des personnages, rencontre avec l’autre monde mais à peine de quoi piquer notre curiosité.

On est en Bretagne, ça c’est une certitude, pas pour la météo mais pour tous ses mystères autour du petit peuple.

Excellent début, j’aime beaucoup.

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Au Nom du fils : Dans l'enfer de la prison ..

Club N°54 : BD sélectionnée

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Beau récit qui nous plonge dans un milieu carcéral inédit puisqu'il est géré par les prisonniers eux-mêmes.



Le personnage principal est donc plongé dans cette prison pour retrouver l'assassin de son fils dont il est sans nouvelle.



C'est très fort et bien accompagné par le dessin de Sébastien Corbet (co-auteur de Fanch Karadec).



David

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Si le titre de l'album ne brille pas par son originalité, le scénariste de Loisel et le dessinateur de FANCH CARADEC s'associent encore pour nous livrer un récit émouvant.



Le dessin apparait plutôt bien adapté à l'histoire, le cadrage dynamique nous plonge dans les bas-fonds d'une prison bolivienne dont on ne sort pas indemne.



Un vrai bon moment de lecture.



Benoit

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Les auteurs nous offrent une plongé effarante dans l'univers des prisons auto-gérés de Bolivie.



Une histoire intéressante et bien illustrée.



Sam

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Plutôt bien écrit, l'histoire d'un homme qui, à la poursuite de sa vengeance, se révèle à lui-même et s'offre une nouvelle chance.



Vincent

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Les quatre de Baker Street, tome 1 : L'affa..

Encore une fois, j'ai lu cette BD pour achever un défi et une fois encore, cela m'a bien plu.

C'est une BD jeunesse et j'aurais adoré suivre ces trois là (le quatrième larron arrive dans les dernières pages) à 12/13 ans.

Ils sont courageux, malins et généreux. Ils sont aussi copains avec Sherlock Holmes et çà, ce n'est pas rien.

Les dessins sont agréables et rendent parfaitement les bas fond londoniens.

Clairement je ne suis pas la cible mais dès que je dois valider un thème qui le nécessite, je me jette sur le deuxième tome.
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Les Quatre de Baker Street, tome 3 : Le ros..

L’hiver s’achève, il faut bien le fêter avec des bulles hivernales. J’ai choisi de décliner le thème hivernal avec le troisième tome de la série « Les quatre de Baker Street ». J’ai retrouvé, avec plaisir, les petites mains de Sherlock Holmes, découvertes au fil des aventures du grand détective. La série créée par Jean-Blaise Djian, Olivier Legrand et le dessinateur David Etien met bien en valeur les gamins des rues, les trois francs-tireurs, que Sherlock utilise comme yeux et oreilles discrètes, qui apparaissent dans les romans de Conan Doyle.



Les jeunes héros, Billy, Black Tom et Charlie (ne pas oublier le chat Watson, toujours utile lors des bagarres), enfants livrés à eux-mêmes dans l’East End londonien, se voient confier une mission, secondaire, par leur mentor. L’enquête les emmène dans les bas-fonds de l’East End où règne une pègre cruelle et dangereuse. Ils doivent suivre les faits et gestes d’un jeune lord en vue qui passe ses soirées dans un cabaret de troisième zone. Il vient écouter une jeune fille à la voix de rossignol. Dans un Londres sous la neige, l’enquête s’avère être des plus ardues ce qui met nos quatre loustics dans des situations bien inconfortables qui virent rapidement au cauchemar car ils sont aux prises avec le cruel et sanguinaire Bloody Percy.

Entre racket, incendie, enlèvements, chantage et expédition dans un asile d’aliénés de Bedlam (les illustrations montrant la mère de Charlie la tête enfermée dans une cage sont glaçantes),les Quatre de Baker Street doivent solliciter le soutien du Docteur Watson, chroniqueur officiel des aventures de Sherlock Holmes. Nos héros possèdent plus d’un tour dans leur sac et useront d’ingéniosité pour sortir leurs deux protégés du mauvais pas dans lequel ils se sont mis.



« Le rossignol de Stepney » permet d’entrer un peu plus dans l’histoire personnelle des enfants et les liens qui les unissent, je me suis encore plus attachée à eux. C’est aussi une porte ouverte sur les relations sociales dans un Londres victorien, sur le monde sordide de la pègre londonienne, sur les complots ourdis par des aristocrates bien pensants (l’oncle du jeune Lord est en relation avec des truants). L’intrigue est intéressante et réserve quelques surprises. Quant aux illustrations, elles sont très colorées, agréables à l’oeil et surtout offrent des points de vue intéressants dans le déroulé de l’histoire. L’ambiance hivernale rajoute à l’atmosphère froide et glaçante du récit. Sous l’ouate neigeuse, la violence peut exploser à tout moment. La cruauté de Bloody Percy, le dandy du crime, est palpable dans chaque illustration où il apparaît.

Une troisième aventure des Quatre trépidante dans laquelle je me suis plongée avec bonheur.
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Au Nom du fils : Dans l'enfer de la prison ..

Un père décide de partir venger son fils mort dans une prison bolivienne.

On découvre une prison bolivienne auto gérée, c'est un village ou des repris de justice vivent là avec femme et enfants.

La BD se base sur des faits réels, la prison existe vraiment et un trafic de cocaïne a vraiment été démantelé dans cette prison.

Je n'ai pas plus accroché, il manquait un peu de stress dans ce polar et les remords du père ne m'ont pas touché.
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Hector le boucher

J'ai été intéressée par le sujet mis en BD.

Le monde rural ou les métiers sont souvent tirés soit des animaux soit des cultures.

Et puis je découvre le monde de la boucherie avec la mise en lumière de l'élevage intensif, la cruauté envers les animaux.

C'est intéressant et ça fait réfléchir sur sa façon de consommer de la viande.

Découverte sympa merci
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Le Grand Mort, tome 1 : Larmes d'abeille

Je plonge dans cette série ! Ce premier tome permet de poser l’histoire ! Et je dois dire que les choses se mettent en place ! En tant que lecteur on se demande ce qui va se passer pour Pauline et Erwann !!! Ils arrivent dans un monde parallèle qui va être la base de cette nouvelle série … à suivre
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Les Quatre de Baker Street, Tome 2 : Le dos..

J'avais bien aimé le premier tome de cette série. Celui-ci perdra une étoile. J'ai trouvé l'intrigue plus confuse, avec un faux Jack l'éventreur, des espions tsaristes, des révolutionnaires russes et de nombreux personnages secondaires.



Ici, les gamins sont peut-être aussi débrouillards que dans le premier tome, mais ils sont surtout plus chanceux et sont au bon endroit au bon moment.



Il y a beaucoup de mouvement, mais qui m'a semblé désordonné. Et ce tohu-bohu est finalement apaisé par un deus-ex-machina : le frère de Sherlock Holmes, ayant des accointances à l'ambassade de Russie. Bof !



On aurait pu approfondir le passé de Billy, dont on entrevoit un élément lors de son deuil, mais cela n'est pas du tout développé.



J'ai été donc un peu déçue par le scénario. En revanche, le dessin est toujours aussi beau, à la fois sombre et lumineux, et j'ai admiré cette double page de début d'album, qui nous fait plonger dans une rue de Londres avec un superbe dessin au trait.
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Au Nom du fils : Dans l'enfer de la prison ..

Très bonne BD, on est plongé dans la vie d’un père qui veut venger la mort de son fils tué en prison.

Un peu moins fan des dessins dans sa globalité mais avec certaines planches très réussies !

Je reste un tout petit peu sur ma faim mais je recommande !
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Le Grand Mort, tome 8 : Renaissance

Un huitième et ultime tome plus dense que les précédents qui clôt cette chouette saga du « Grand mort » du duo Loisel et Mallié.

C’est ça que j’ai aimé : qu’il y ait une fin, et non pas quelques pages nébuleuses pour nous laisser imaginer ce qu’il advient du monde après le passage de Blanche. J’ai adoré également la référence de la couverture, qui pointe vers celle du premier tome, mais avec plus de personnages.

Bref, une belle série à apprécier et dévorer !

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Au Nom du fils : Dans l'enfer de la prison ..

C'est un appel téléphonique qui fait basculer le quotidien de Stéphane, un homme divorcé au chômage, qui a échoué lamentablement dans son rôle de père.



Un journaliste bolivien lui annonce le décès de son fils Max, avec qui il a coupé les ponts depuis plusieurs années. Ce dernier a été assassiné dans la prison de San Pedro en Bolivie. Une prison atypique puisqu'elle est entièrement autogérée par les détenus, sans aucun gardien.



Face à cet évènement, Stéphane décide de tout plaquer, de vendre son appartement et de partir en Bolivie afin de se faire incarcérer dans cette prison. Son objectif, comprendre les circonstances de la mort de son fils et le venger.



Ce qui a piqué mon intérêt avec cette bande dessinée, c'est son sujet. Un cadre original avec cette prison au mode de fonctionnement peu ordinaire. On découvre ce microcosme, cette "ville" qui n'est pas sans danger pour les détenus qui y vivent.



Un scénario rythmé avec des planches aux couleurs sombres qui nous plongent avec efficacité dans l'atmosphère sous tension de cette prison. L'histoire d'un père rongé par la culpabilité qui décide de rattraper ses erreurs du passé au péril de sa vie.



Une lecture plaisante et captivante.
Lien : https://mesechappeeslivresqu..
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