Avec le temps, elle finit par juger presque beau cet état qui la contraignait à ne rien attendre, enfin, du dehors. Elle se sentait délivrée du besoin de possession qui l'avait conduite à vouloir se donner toute. Sortie de cette prison mentale, il lui restait l'amour, l'amour pur, celui que l'on offre et qui n' attend rien.