Toutes les richesses de la terre étaient rassemblées là, tirées des forêts de Sibérie comme des déserts de l’Afrique. Le savoir-faire des artisans de Damas était représenté comme l’habileté des tisserands flamands […] Le centre du monde était là. Et il n’était pas acquis par la conquête ou le pillage mais par l’échange, la liberté des hommes et le talent de leur industrie. L’énergie arrachée enfin à la guerre se répandait dans toutes les œuvres de la paix.