Comme dans ces stages linguistiques où l'on n'apprend pas la langue du pays si l'on est accompagné de compatriotes, il me semblait impossible de s'acclimater vraiment au pèlerinage si on ne vivait pas jusqu'à l'extrême le silence, la rumination, l'abandon à la crasse auquel nul voisinage familier n'impose de borne.