Je traverse tout Jumainville, au milieu d’une troupe d’Allemands plus bruyants que tout un charroi de betteraves. Et qui puent. (...) Ca pue le cuir, la chaussette, le drap militaire, le suint. J’avance dans l’odeur solide de la patrouille. On dirait un bateau. Ca fait refluer la fraîcheur de la nuit comme une onde, de chaque côté.