Jean-Louis Mourier

Pour moi, ce tome se place clairement en hors-série. On sort du cadre habituel pour découvrir une intrigue tournant autour de l'art. Les personnages sont pour la plupart des peintres connus et reconnus. La fin de l'ouvrage sous forme de mini-encyclopédie de l'art troll est particulièrement divertissante. Un tome très visuel, avec une histoire bien menée. Un coup de coeur !

Quelle pépite ! Clairement l'un des meilleurs tomes de la saga. Tout est parfait du scénario à la colorisation des dessins, en passant par les références, l'humour et la mignonnerie des petits trolls. On renoue (enfin) avec les ingrédients qui ont fait les succès de cette série. Du grand Arleston, du grand Mourier, j'en redemande.

Une série de bandes dessinées bien sympathique ! Trolls de Troy nous entraîne dans un univers fantasy complètement déjanté, peuplé de trolls belliqueux, de magiciens farfelus et de créatures insolites. L'histoire se passe dans le monde de Troy, où des trolls vivant dans le village de Phalompe voient leur tranquillité perturbée régulièrement par des aventures rocambolesques.



Ces BDs se caractérisent principalement par leur humour décapant et leurs jeux de mots innombrables. Les situations sont souvent absurdes ce qui les rend très drôles, et chaque album (ou presque) offre une nouvelle quête avec une nouvelle intrigue, alors on ne s'ennuie pas !



Par ailleurs les personnages sont hauts en couleur, on s'attache rapidement aux trolls principaux Waha, Teträm ou Pröfy, et puis pour les autres, on prend le temps de trouver chaque jeu de mots ou chaque référence culturelle se cachant derrière leurs noms.



Christophe Arleston a réussi à créer un univers fantasy très détaillé notamment avec ses différents peuples, cultures et créatures. Et le dessin de Jean-Louis Mourier donne parfaitement vie à cet univers avec ses dessins dynamiques et expressifs !



Je passe toujours un bon moment en lisant ces BDs, les décors et les personnages sont supers et l'univers me convient parfaitement. Pour les amateurs d'humour et d'aventures ces BDs sont pour vous !

[critique pour toute la série]

Au rang des plaisirs de Fantasy adolescents qui fonctionnent bien.

Nous sommes dans l'univers de Lanfeust, une génération avant. Et c'est à la société trollienne, trollarde, trollâne... que l'on s'intéresse.

On retrouve la famille Simpson version troll, leurs appétits, leur imagination et leur humour corrosif et caricaturale des sociétés humaines. D'ailleurs, on a même une humaine adopté, la plus trolle des trolls au final.

Ça se lit très bien et c'est très drôle. chaque tome a sa propre histoire, pas comme les sagas du rouquin, de son compagnon Hébus et sa belle Cixi.

Après, ce n'est pas aussi mémorable et marquant c'est sur. Mais on passe un bon moment.

Un tome divertissant même si ce n'est pas le plus drôle de la saga. Il est agréable à lire mais il ne me laissera pas un souvenir impérissable. On note tout de même le génie de l'auteur pour toujours trouver des jeux de mots dignes de Devos. Les traits des personnages ont changé, je trouve le visage de Waha plus dur. J'étais plus fan de l'ancien style des dessins.

Toutes les séries ont leur épisode de Noël, "Trolls de Troy" n'y déroge pas. Avec son humour toujours aussi caustique, elle revisite la légende du Père Noël. On rencontre le fameux prince Shärmand, personnage haut en couleur et hilarant.

Un tome original mais qui, à mon sens, est un peu en deçà des précédents.

J'ai aussi trouvé les illustrations un peu trop "lisses" par rapport à d'habitude.

Traditionnellement, les trolls sont des antagonistes de choix : costauds et dangereux, mais à l’intelligence limitée, ils sont les cibles parfaites pour des aventuriers en quête de gloire et d’honneur. Le parti pris de cette bande dessinée, d’en faire les vrais héros de l’histoire, est assez rafraîchissant.



Nos trolls raffolent donc la viande d’humain, dont ils traquent les convois pour garnir leur garde-manger. La civilisation trolle est tout de même évoluée : il y a des écoles pour apprendre la vie et les bonnes manières (même si celles-ci paraissent barbares aux yeux d’un humain). Un troll a même recueilli une petite humaine orpheline et l’a élevé comme son propre enfant, et la tribu la considère comme un membre comme les autres, bien que moins poilue que la moyenne.



Dans cet univers, chaque humain a un pouvoir magique un peu misérable (multiplier les puces, faire pousser les cheveux, …) dont il devra se servir intelligemment pour lutter contre les trolls. La lutte sera donc féroce entre le clan humain qui ne supporte plus l’humiliation de se faire attaquer en permanence, et le clan troll qui attend vivre de la chasse comme il l’a toujours fait.



Dès les premières planches, on sent que la bande dessinée ne se prend pas trop au sérieux : les situations loufoques s’enchaînent, les jeux de mot aussi ; le tout servi par une intrigue somme toute classique de heroic fantasy, mais qui fonctionne très bien dans le contexte. Une belle découverte pour des moments de détente et de rire !

On sent une évolution dans le style de la BD, qui commençait à s'enliser dans des gags un peu répétitifs. Je trouve que c'est une bonne idée de mettre en avant un personnage secondaire. En apprenant son histoire cela le rend encore plus attachant. En plus d'être drôle, cet ouvrage est une belle satire de notre société. Les dessins sont toujours de grande qualité.

Quel plaisir de retrouver les trolls de Troy. De belles couleurs, de beaux dessins et une intrigue sympa nous enchantent pendant cette lecture. On ne compte plus les colis d œil à l esclavagisme, le dérèglement climatique et les films de pirates.

Un bien bon moment passé avec des amis de 25 ans !!!

Le graphisme m'a accroché dès la couverture et cela s'est confirmé dans la BD !



Une belle brute trolle et sa fille adoptive, humaine, sont attachants à souhait, maladroits aussi mais aussi idiots que les humains. L'humour est totalement décalé, voire déphasé et ça j'adore.



Il faut prendre le temps de regarder les détails ils participent pleinement à l'histoire et j'ai gloussé et même ri tout le temps de la lecture !



Je n'ai jamais lu Lanfeust donc ces ancêtres sont pour moi une bonne découverte ! Je recommande chaudement.



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Une fois encore Profy s'est lancé dans la construction d'une cabane pour son union avec Waha. Mais piqué par une drôle de bestiole, il retombe en enfance. Alors qu'il démolissait son toit, Waha utilise son pouvoir aléatoire qui conduit Profy sur une ile tropicale. A sa place est apparu un indigène prêt à passer au grill un pirate rondouillard. Il ne reste plus qu'à Waha de réunir une équipe pour aller sauver son amoureux...

On ne change pas grand chose et on recommence. Bon c'est clair qu'en terme de renouvellement, ce n'est pas la bonne série : quelques bon mots, le dessin de Mourier (toujours bon et rehaussé par des couleurs éclatantes), cela suffit à faire un album agréable sans plus.

Coup de coeur pour la fin de cette aventure en deux volumes. Un réel plaisir de retrouver un personnage secondaire côtoyé par nos trolls préférés au début de la saga.

Je préfère les histoires en deux tomes car je les trouve plus profondes et intéressantes. Du coup, la fin n'est pas bâclée, ce qui est fortement appréciable. Cette aventure est l'une de mes préférées.

La première partie d'une aventure épique et rocambolesque où l'on retrouve tous nos trolls préférés. Roken est mis en avant, ce qui est assez rare pour le souligner. Les dessins sont d'une grande qualité et les détails réalisés avec soin. Le récit est rythmé, les pages défilent à grande vitesse. On rit, mais on s'attache aussi à ses créatures aux mœurs particulières

Quel plaisir de retrouver nos trolls préférés, et d'enfin découvrir la mystérieuse histoire qui se cache derrière l'adoption de Waha. Ce tome renoue avec les gags des débuts du Gottferdom Studio. Un gros coup de coeur pour ce tome de la saga "Trolls de Troy".

Profy a enfin construit la maison qui abritera son amour avec Waha et cela sans qu'elle s'effondre ! Lors de la visite de celle-ci, le demi-troll se fait piquer par une étrange bête qui le fait rétrograder à l'âge de l'enfance. Le vieux sage conseille alors de se rendre dans les îles lointaines afin d'acquérir le fruit qui guérit tout. Ni une ni deux, Waha utilise son pouvoir aléatoire. Le groupe se trouve alors scindé en deux au bout du monde face à des trolls des îles. 



La balade de la mer qui mouille est un titre qui fait référence à un navigateur bien connu de bd, tout comme l'un des personnages présent sur la couverture évoque un pirate ayant vogué dans les caraïbes. 

Visuellement les pages sont très lumineuses puisque les trolls quittent leur forêt natale pour le soleil et l'eau qui mouille. De nombreux détails sont présents au cours de leur aventure. Les scènes sur la mer sont pleines d'humour mais aussi de sensations fortes. Attention aux estomacs sensibles ! 



Le scénario de ce vingt-sixième épisode est simple et efficace. Bref, un bon cru pour les fans de cette série dérivée de Lanfeust. 

Quel plaisir de retrouver ces chers trolls et leur mode de vie tellement sain !

Dans cette ballade de la mer qui mouille, on pouvait s'attendre à un clin d'oeil à Corto Maltese, mais c'est plutôt un pirate au surnom de moineau que l'on y croise.

Une fois de plus, Pröfy est sur le point de construire une maison pour enfin épouser Waha, qu'il aime tendrement malgré sa pilosité déficiente et son pouvoir aléatoire. Mais Pröfy n'est pas connu pour avoir inventé l'eau tiède, et puis, un troll, c'est bien connu, ça n'aime pas l'eau. Alors quand un geste malheureux l'amène à la rencontre d'une nouvelle tribu trolle aux moeurs légèrement différentes, ce ne sont pas seulement les sages enchanteurs que Waha va devoir braver pour retrouver son cher Pröfy.

Les gags et jeux de mots attendus sont bien au rendez-vous, toujours aussi subtils qu'un pétaure repu, toujours aussi agréables aux lecteurs de qualité.

L'origine de mon pseudo vient d'ailleurs de cette BD, c'est dire la force du lien entre nous !

Cette suite de bandes dessinées réveille en moi des souvenirs d’enfance qui me sont chers. Trolls de Troy me rappelle ces soirées où, enfant, j’étais assise au coin du feu avec ma mère qui me lisait les aventures de ces drôles de personnages, un peu farfelus mais toujours prêt à se lancer tête la première dans un nouveau challenge. Ma mère est une fan inconditionnelle de cette saga, et c’est elle qui m’a transmis cette passion pour la bande dessinée.



Trolls de Troy est l’une des premières bandes dessinées que j’ai lu et relu, sans jamais m’en lasser. Quel plaisir alors pour moi de replonger dans cet univers haut en couleurs pour découvrir une aventure encore plus loufoque et rocambolesque que toutes les précédentes. J’ai dégusté ce nouveau tome d’une traite, au chaud sous un plaid, avec la sensation inébranlable de voyager bien loin d’ici.



Merci à NetGalley et aux Éditions Soleil de m’avoir permis de découvrir ce petit bijou en avant-première. ❤️
Lien : http://booksnco.fr/trolls-de..

Encore plein de références "poilantes" dans cet album. La folie des grandeurs humaine n'entame toujours la naïveté courageuse et solidaire trolls , ni leur appétit...Et la dernière partie est super bien réalisée avec de célèbres œuvres d'art revisitées à la sauce trolls bien sûr.

Toujours aussi "poilant", cet album ne déroge pas à la règle : des dents, des poilus, des humains devenus des proies mais toujours aussi faibles (vénaux,couards , menteurs, tricheurs) qualités qui n'affublent pas ces chers trolls qui eux ne connaissent que courage, force pure et gros appétit.

Toujours aussi poétique et poilant . Les contrepèteries sont excellentes et pas toujours visibles du premier coup d'oeil. Une mention aux formules magiques stylisées que l'on doit lire sur le côté... Quand on y arrive. Ce tome est particulièrement drôle je trouve avec Puitepée enceinte et le vénérable Fuquatou qui veut réparer l'accident de magie dont il a fait les frais dans le tome précédent.