AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Jean-Luc Masbou (70)


LE BARON : Il m'arrive, dans ces repas, de me sentir sot ! De n'avoir rien à dire... De ne pas me sentir à ma place.
FRIEDHOLD : Cela m'arrive aussi, monsieur le baron !
LE BARON : Croyez-vous que dans ces cas-là, nous soyons tous les deux sots ?
FRIEDHOLD : J'y réfléchis parfois, monsieur le baron ! Le sot est celui qui ne s'en rend pas compte et assomme les autres avec ses histoires sans se demander si ça les intéresse !"
Commenter  J’apprécie          10
JACOBINE : Vous devez être heureux ?! Quand vous ne serez plus, ce livre sera toujours là, lui, pour rapporter toutes vos fanfaronnades !

LE BARON : Heureux ?! Qu'un livre prenne ma place ?! Vous ne savez rien du plaisir qu'il y a à émerveiller les gens. À voir leurs yeux écarquillés, briller en imaginant les cités de la lune et le fond des océans ! Leurs rires ! Leurs « Oooh ! » Leurs « Aaah ! »
Commenter  J’apprécie          10
Le Maraudeur noir est une nouvelle fascinante et complexe dès qu’on s’intéresse un tant soit peu à la personnalité de Howard, car c’est une histoire dense, riche d’allusions autobiographiques, conscientes ou non, et don la trame est essentiellement souterraine. Le cadre de la nouvelle est, peu ou prou, l’équivalent hyborien des États-Unis, à une époque qui ressemblerait à notre XVIIe siècle. Les protagonistes y sont des colons hyboriens, qui se retrouvent confrontés à ce que les Américains appellent la Wilderness ; les étendues sauvages peuplées de créatures – animales et humaines – féroces dans une nature hostile. Les tribus indigènes de la nouvelle, les Pictes, font irrésistiblement penser aux peuplades amérindiennes, tant dans leur description que dans la situation qui est la leur. – Patrice Louinet
Commenter  J’apprécie          82
Je sais ce que c’est de ne pas avoir d’argent dans un pays hyborien. Chez moi, les gens partagent la nourriture. Et à moins d’une famine, personne ne meurt de faim. Mais dans les pays civilisés, j’ai vu des échoppes débordant de victuailles et des hommes vomissant d’avoir trop mangé, tandis que d’autres à côté d’eux mouraient de faim !
Commenter  J’apprécie          22
Qu’ont-ils donc tous à venir se jeter sur ma lame ?! Depuis des années, je le hurle à la face du monde ! Je suis né sur un champ de bataille !
Commenter  J’apprécie          72
Les deux plus grandes fripouilles de l’océan de l’ouest s’étripant devant une aussi noble assemblée ?! Ne serait-ce que prendre les paris ferait de moi un homme riche !
Commenter  J’apprécie          30
Avez-vous entendu parler de Tranicos le sanguinaire ? C’est lui qui prit d’assaut de la forteresse du prince Tothmekri, lors de son exil, et il s’empara de ses richesses avant de passer la population au fil de son épée ! Mais un tel butin attire les convoitises. Tranicos partit donc vers le nord sur un seul anvire et jeta l’ancre dans une baie isolée. Puis, accompagné de onze de ses plus fidèles lieutenants, il descendit à terre pour y cacher le trésor. Le navire avait pour ordre d’appareiller et de revenir chercher Tranicos et ses hommes une semaine plus tard. Mais au bout de sept jours, Tranicos ne parut pas. Les marins ne trouvèrent aucune trace de leur capitaine, des onze hommes qui l’accompagnaient ou du trésor ! Attaqués par les Pictes, ils durent s’enfuir et lever l’ancre. Malheureusement pour eux, une tempête fit sombrer leur navire. Un seul pirate survécut qui fut repêché et fait prisonnier par un vaisseau zingaréen. Il raconta son histoire et dessina une carte avec son sang avant d’être perdu. S’arrangeant comme il put pour faire sortir la carte hors des murs de sa prison. Voilà ce qui s’est passé il y a bientôt un siècle. J’ai vu cette carte !
Commenter  J’apprécie          30
Je me dois d’être honnête avec vous, car je sais reconnaître un menteur et vous n’en êtes pas un !
Commenter  J’apprécie          132
Devant qui fuirait donc un loup, si ce n’est devant un loup plus féroce encore !
Commenter  J’apprécie          52
Le dernier de la file est toujours le plus inexpérimenté. Un jeune guerrier fougueux en mal de gloire. Les deux suivants… C’est une autre histoire ! le deuxième est habitué à combattre des fauves qui pourraient attaquer le premier. Il est rapide, mais la surprise l’a rendu moins rapide. Et le premier, vu sa coiffure, est un chef. Ched de quoi ?! On se le demande. Je croyais que ces trois-là étaient les derniers. Mais combien sont-ils donc à me poursuivre ? Et cette brise qui porte avec elle l’odeur de la mer ! Suis-je donc allé si loin depuis qu’ils me traquent ? Mais je ne mourrai pas seul ! Qu’un rocher me barre la route, et j’emporterai une cinquantaine des leurs en Enfer… Une centaine… Un millier !
Commenter  J’apprécie          62
Ceux qui te mettent dans la merde ne le font pas toujours pour ton malheur… et ceux qui t’en sortent ne le font pas toujours pour ton bonheur. – Jack Beauregard, dans Mon nom est Personne
Commenter  J’apprécie          20
Chez moi, les gens partagent la nourriture, personne ne meurt de faim. Mais dans les pays civilisés, j'ai vu des échoppes débordant de victuailles et des hommes vomissant d'avoir trop mangé, tandis que d'autres à côté d'eux mouraient de faim!
Commenter  J’apprécie          90
Accourez donc, et venez mourir !
Commenter  J’apprécie          50
[Conan] Voilà un bon endroit pour donner la mort ! Ou la recevoir !
Commenter  J’apprécie          130
Au début d’un combat, tout semble suspendu. Tu jauges ton ennemi en sentant sur ta nuque le souffle de la mort ! Puis vient un moment où, dans le fracas des premiers coups, tu ressens la peur de mourir, car c’est là que la puissance de l’autre s’exprime vraiment ! Et enfin, l’ivresse de la bataille te submerge. La peur est tellement là qu’elle disparaît ! Là, plus rien ne compte ! Tu te moques de tout… Tu es libre !
Commenter  J’apprécie          120
- Ils sont des milliers ! Toutes les tribus de la côte ! Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir faire contre… ça ?!
- Prier vos dieux !
- Prier nos… ! Et pourquoi faire une chose aussi stupide ?!
- Parce que vos dieux vous regarderont vous battre tandis que les leurs les regarderont mourir !
Commenter  J’apprécie          140
- Et c’est qui le grand costaud qui parle au capitaine ?
- C’est une danseuse de Shadizar !
- C’est Conan, bande d’abrutis ! Le pirate de la Côte Noire.
- Ah ! Alors, non ! C’est pas une danseuse de Shadizar !
Commenter  J’apprécie          230
- Je suis né dans les bas quartiers de Kordava ! Si à cinq ans, tu ne sais pas te servir d’une lame, tu es mort !
- Moi, j’ai grandi à Messantia et mon père était tueur pour la guilde du chien jaune. J’ai tué mon premier homme à huit ans !
- Et toi, Conan ?! Tu es né où ?
- Sur un champ de bataille !
Commenter  J’apprécie          181
« Ceux qui te mettent dans la merde ne le font pas toujours pour ton malheur… et ceux qui t’en sortent ne le font pas toujours pour ton bonheur » Jack Beauregard ("Mon nom est personne")
Commenter  J’apprécie          190
- Je te croyais mort ! Ton navire avait coulé !
- Il faudrait un océan plus grand pour m'avaler !
Commenter  J’apprécie          270



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jean-Luc Masbou Voir plus

Quiz Voir plus

Normandie : 1870

"Pendant plusieurs jours de suite des lambeaux d’armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n’était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avançaient d’une allure molle, sans drapeau, sans régiment. […] Les Prussiens allaient entrer dans Rouen, disait-on." [...] Il y avait cependant quelque chose dans l'air, quelque chose de subtil et d'inconnu, une atmosphère étrangère intolérable, comme une odeur répandue, l'odeur de l'invasion. Elle emplissait les demeures et les places publiques, changeait le goût des aliments, donnait l'impression d'être en voyage, très loin, chez des tribus barbares et dangereuses." La débandade de l'armée française, l'occupation prussienne en Normandie, le cortège des horreurs de la guerre de 1870 servent de motif à de nombreux contes et nouvelles de Maupassant où sa férocité s'exerce avec maestria dans la plus connue et réussie de toutes dont le titre est le sobriquet de l'héroïne principale : "Boule de Suif". Mais quel est l'état-civil de Boule de suif dans le récit ? 👩‍🦰👩‍🦰👩‍🦰

Jeanne Vallin
Élisabeth Rousset
Charlotte Tuvache

10 questions
1 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , Guerre franco-allemande (1870-1871) , littérature , nouvelles réalistes , contesCréer un quiz sur cet auteur

{* *}