Citations de Jean-Luc Masbou (70)
- Je te croyais mort ! Ton navire avait coulé !
- Il faudrait un océan plus grand pour m'avaler !
Méfiez-vous du mal qui anime les hommes, mais méfiez-vous surtout de vous ! La vanité et la peur sont vos pires ennemies ! (…) La douleur n'est rien face à ce que l'on ressent en découvrant la cruauté du monde !
- Et c’est qui le grand costaud qui parle au capitaine ?
- C’est une danseuse de Shadizar !
- C’est Conan, bande d’abrutis ! Le pirate de la Côte Noire.
- Ah ! Alors, non ! C’est pas une danseuse de Shadizar !
« Ceux qui te mettent dans la merde ne le font pas toujours pour ton malheur… et ceux qui t’en sortent ne le font pas toujours pour ton bonheur » Jack Beauregard ("Mon nom est personne")
« Qui reconnaît son ignorance n'est pas vraiment ignorant! Qui reconnaît son égarement n'est pas vraiment égaré! »
L'orgueilleux est comme le vase : trop plein, il se renverse !
- Je suis né dans les bas quartiers de Kordava ! Si à cinq ans, tu ne sais pas te servir d’une lame, tu es mort !
- Moi, j’ai grandi à Messantia et mon père était tueur pour la guilde du chien jaune. J’ai tué mon premier homme à huit ans !
- Et toi, Conan ?! Tu es né où ?
- Sur un champ de bataille !
- Que font trois moines si loin de tout monastère ? Et qu'avez-vous fait à ces soldats ?
- Ces cinq hommes se sont comportés de façon très agressive ! Nous venons simplement rencontrer le gouverneur pour parler de paix !
- Vous allez le rencontrer, mais pour être jugés ! Sergent! Arrêtez ces hommes !
- Avec plaisir, général Liu !
- Qu'est-ce qu'on fait, maintenant ? On se bat ?
- On garde le calme et la sagesse du dragon ! Et avec la rapidité du tigre !...
- On les dérouille !
- Oh non ! Ce sont... des moines combattants de Shaolin !
La Chine dont je rêve ne sera pas bâtie dans le sang et la douleur ! « Gouvernez à force de lois, maintenez l'ordre à coups de châtiments, le peuple se contentera d'obtempérer sans éprouver la moindre honte. Gouvernez par la vertu, harmonisez par le rite, le peuple connaîtra la honte mais, de lui-même, tendra vers le bien ».
(dixit l'empereur en citant Confucius).
- Ils sont des milliers ! Toutes les tribus de la côte ! Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir faire contre… ça ?!
- Prier vos dieux !
- Prier nos… ! Et pourquoi faire une chose aussi stupide ?!
- Parce que vos dieux vous regarderont vous battre tandis que les leurs les regarderont mourir !
La peur est à la fois ta pire ennemie et ta plus grande alliée! Maîtrise-la mais ne la chasse pas de ton cœur, car elle peut te prendre la vie mais elle peut aussi te la sauver.
- J'imaginais les dieux et les esprits sages et féconds de conseils utiles!... Mais vous, vous semblez n'avoir aucune notion de bien ou de mal!
- « Si ce que vous dites est louable et n'est contredit par personne, ne serait-ce pas le bien? »
Je me dois d’être honnête avec vous, car je sais reconnaître un menteur et vous n’en êtes pas un !
[Conan] Voilà un bon endroit pour donner la mort ! Ou la recevoir !
Au début d’un combat, tout semble suspendu. Tu jauges ton ennemi en sentant sur ta nuque le souffle de la mort ! Puis vient un moment où, dans le fracas des premiers coups, tu ressens la peur de mourir, car c’est là que la puissance de l’autre s’exprime vraiment ! Et enfin, l’ivresse de la bataille te submerge. La peur est tellement là qu’elle disparaît ! Là, plus rien ne compte ! Tu te moques de tout… Tu es libre !
-Par saint Jude, Mac Godish! Qu'est ce que c'est que ça!!
-Une devise. Je trouvais que notre navire avait besoin d'une devise.
-Et la première qui vous soit venu à l'esprit, c'est "tam profunde quam putero"?! Aussi profond que possible? Et rien ne vous choque ?
- Tout ennemi peut être vaincu d'une façon ou d'une autre! Néanmoins, il en est un plus dangereux que les autres ! Il s'attaque à ton cœur et à ton esprit jusqu'à te conduire presque à la folie! Il t'écartes, sans que tu t'en aperçoives, du chemin que tu avais choisi, et quand tu t'en rends compte, il est trop tard! Tu devras, si un jour tu sors d'ici, t'en méfier comme d'un adversaire prêt à te frapper à tout instant!
- Mais qui?! Qui est cet ennemi si terrible, maître?
- C'est l'amour, jeune idiot! L'amour!
Chez moi, les gens partagent la nourriture, personne ne meurt de faim. Mais dans les pays civilisés, j'ai vu des échoppes débordant de victuailles et des hommes vomissant d'avoir trop mangé, tandis que d'autres à côté d'eux mouraient de faim!
- L'empereur, dans sa grande sagesse, veut rétablir la paix dans le pays ! Pour ce faire, il a besoin d'ambassadeurs pour rallier à sa cause les provinces dissidentes !
- Des moines shaolins ?!
- Ce sont des hommes de paix, mais capables s'il le faut de se défendre. Ils inspirent respect et crainte !
- La sagesse de l'empereur est en effet très grande !
Le Maraudeur noir est une nouvelle fascinante et complexe dès qu’on s’intéresse un tant soit peu à la personnalité de Howard, car c’est une histoire dense, riche d’allusions autobiographiques, conscientes ou non, et don la trame est essentiellement souterraine. Le cadre de la nouvelle est, peu ou prou, l’équivalent hyborien des États-Unis, à une époque qui ressemblerait à notre XVIIe siècle. Les protagonistes y sont des colons hyboriens, qui se retrouvent confrontés à ce que les Américains appellent la Wilderness ; les étendues sauvages peuplées de créatures – animales et humaines – féroces dans une nature hostile. Les tribus indigènes de la nouvelle, les Pictes, font irrésistiblement penser aux peuplades amérindiennes, tant dans leur description que dans la situation qui est la leur. – Patrice Louinet