À trois heures du matin, Davout, situé à une quinzaine de kilomètres d'Eylau, a donné à ses soldats le signal du départ. Il sait que tout à l'heure le combat sera sans merci. "Les braves mourront ici, les lâches iront périr en Sibérie", tel est, avant de lever le camp, le rude viatique que les soldats reçoivent de leur chef.