Tout cela est doux comme un voyage en train. Un trajet en TGV, sans retard ni remords, passé à rigoler entre deux wagons. Les gens honnêtes vous le diront : la vie est une succession de péripéties drôles et tristes, que l’on regarde parfois depuis son épaule, tournant la tête… et voilà le chemin qui se termine.
Permettez au chroniqueur harassé de donner une légère nostalgie à son papier. Il n’arrive pas tous les jours que l’on tourne la dernière page avec émotion, en se disant que l’on a tout à la fois soif, envie d’ouvrir un livre et d’une coupe de cheveux en se faisant lire du Baudelaire.
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