Je songe aux murs de la maison de la vieille plantation, toujours debout, avec de la mousse dessus. C’était ça le jardin : une pièce en ruine pour les roses, une pour les orchidées, une pour les fougères arborescentes. Et du chèvrefeuille tout le long de l’escalier raide qui descendait vers la pièce où l’intendant rangeait ses livres de comptes.