Nationalité : France
Né(e) à : Strasbourg , 1969
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Né(e) à : Strasbourg , 1969
Biographie :
Poète et photographe
vit à Strasbourg
Professeur de lettres au lycée J-B Schwilgué de Sélestat
Animateur du club photo et du club théâtre du lycée.
tient un blog http://jeanyvesfick.wordpress.com
à compléter par qui pourra
Poète et photographe
vit à Strasbourg
Professeur de lettres au lycée J-B Schwilgué de Sélestat
Animateur du club photo et du club théâtre du lycée.
tient un blog http://jeanyvesfick.wordpress.com
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Citations et extraits (20)
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de chacun de nos pas
au dévers de l’instable
l’harmonique plus grave
se dévisage au gouffre.
au dévers de l’instable
l’harmonique plus grave
se dévisage au gouffre.
...
aux stèles précaires
soient la mémoire le vent
la branche le signe
le passage
http://wp.me/p5DYAB-1hy
aux stèles précaires
soient la mémoire le vent
la branche le signe
le passage
http://wp.me/p5DYAB-1hy
il demeure le souffle
même qui a cessé
http://wp.me/p5DYAB-2v8
(en tableau)
même qui a cessé
http://wp.me/p5DYAB-2v8
(en tableau)
c’est chercher encore
l’évidence claire
de ce qui se tait
l’évidence claire
de ce qui se tait
le jeu de ce qui s’écrit
dramaturgie
fluide ou plus âcre
le poème se pose
ou son refus
dramaturgie
fluide ou plus âcre
le poème se pose
ou son refus
aux murs se projettent
images que crée son rêve
le rythme toujours même
le rythme autre à jamais
systole-diastole
un ensemble bat aux tempes
le vivre
brèves formes fuguées
qu’on ne sait d’où venues
et tenues pour un temps
images que crée son rêve
le rythme toujours même
le rythme autre à jamais
systole-diastole
un ensemble bat aux tempes
le vivre
brèves formes fuguées
qu’on ne sait d’où venues
et tenues pour un temps
il n’y a pas d’aube sans
ce qui creuse la nuit crie
et finit par consteller
ce qui sans cela est vide
ce qui creuse la nuit crie
et finit par consteller
ce qui sans cela est vide
vois cet amont désert
plus rien ne sourd
si ce n’est la ténèbre
d’où tu reviens
plus rien ne sourd
si ce n’est la ténèbre
d’où tu reviens
La main s'aveugle
la fatigue te rive
à ce sol seul
qu'on ne peut éluder
la fatigue te rive
à ce sol seul
qu'on ne peut éluder
et toi qu’attends-tu
tu es étranger
la ville est la cendre.
tu es étranger
la ville est la cendre.
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Stupeur et tremblements
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C'est son septième roman.
C'est son huitième roman.
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