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Citations de Jennifer Probst (32)


Elle était amoureuse de Nick.

Totalement. Elle aimait tout en lui, le bon comme le mauvais, son ami, son amant, son associé et son rival. Elle souhaitait passer le restant de sa vie avec lui, s'abandonner entièrement à lui, même si, elle le savait, il ne voulait pas d'elle. Elle enfouit cette réalité tout au fond d'elle-même. Et décida de prendre tout ce qu'il lui offrirait. Tant pis si ce n'était pas, et ne serait jamais, assez
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— Je t'aime, Alexa. Je veux vivre avec toi et notre enfant. Avec ce chien ridicule aussi, qui est devenu mon ami. Je sais également ce que je ne veux plus.

Je ne veux plus vivre sans toi. Je ne veux plus être seul. Je ne veux plus continuer à croire que je ne suis pas assez bien pour toi. Et si tu acceptes de revenir, je m'engage devant Dieu à tout faire pour que tu te félicites chaque jour de ton choix
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Les hommes ne veulent pas vieillir. C’est pour ça qu’ils préfèrent les jeunes.
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Son amour n'était pas une récompense, mais un trésor qu'elle avait en elle et partageait sans compter. Chaque nuit, elle l'accueillait en elle, puis le laissait s'éloigner sans même essayer de le retenir. La femme qu'il avait épousée était un être fier qui faisait voler sa cuirasse en éclats et le rendait humble, et dans la lumière dansante des flammes, il se rendit compte qu'il l'aimait.

Il était amoureux de sa femme.
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— Je ne suis pas poète, annonça-t-il. Mais ma femme l'est. Elle m'a appris à voir l'extraordinaire derrière l'apparente banalité. Elle m'a appris la beauté de l'émotion, de la vérité et du pardon. Avant elle, je n'avais jamais imaginé que quelqu'un pouvait tout donner sans rien attendre en retour. Alexa, tu as transformé ma vie, mais j'étais trop effrayé pour suivre cette nouvelle direction. Je pensais ne pas en être digne. Je le comprends aujourd'hui.
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— Je t'ai toujours aimée. Tu es la seule avec qui je me sens complet, déclara-t-il.

Puis, il se mit à genoux devant elle et plaça ses mains sur son ventre.

— Mon enfant, murmura-t-il, j'avais peur de ne rien pouvoir t'offrir. Mais je me trompais. Je suis prêt à tout donner pour toi.

Le mur trembla de plus en plus, puis s'effondra autour d'elle.

Alexa avait fait son choix
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Le ventre de Morgan se noua tandis que ses lèvres incurvées se refermaient sur le rebord du verre. Les muscles puissants de son cou se contractèrent tandis qu’il avalait. Pour une raison étrange, Morgan était fascinée par les images presque pornographiques que la vision d’une telle bouche et de ce qu’elle pourrait accomplir provoquait son esprit. Ses cheveux formaient une masse épaisse et légèrement humide de mèches noisette qui semblait ne jamais avoir vu de peigne. Son regard suivait la ligne de son dos impressionnant jusqu’à ses fesses, et elle sentit une chaleur l’envahir.

Nom de dieu.

Il avait un cul superbe. Plein, bien dessiné et remplissant son jean à la perfection. Morgan lutta pour résorber le rouge qui lui montait naturellement aux joues, décida que son moment de voyeurisme était officiellement terminé et toussa légèrement.

L’homme se retourna brusquement.

Nom de dieu.

Elle fixait une paire d’yeux gris métalliques qui auraient dû être froids et durs. Au lieu de cela, ils semblaient renfermer des quantités de sensualité et de confiance qu’aucun homme ne devrait posséder…
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"- Je m'appelle Maggie, annonça-t-elle. C'est moi, la femme de votre frère. Et pour répondre à votre question, non, il ne m'a pas conquise avec des flatteries. Il m'accrochée par une méthode bien plus ancienne et plus efficace : le sexe."
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" - J'ai une proposition à te faire.
A ces mots, elle rejeta la tête en arrière en s'esclaffant. Son rire rauque résonna à ses oreilles comme le chant des sirènes.
- Tu ne t'es pas adressé à la bonne personne. C'est non.
Réprimant un juron, il opta pour une approche plus directe.
- J'ai besoin d'une femme qui se fasse passer pour mon épouse.
Elle cilla.
- Pardon ?
- Tu as bien compris. (Malgré le sentiment de ridicule qui le tenaillait, il poursuivit :) Des difficultés familières m'obligent à faire croire que je suis marié. Il me faut une épouse pour une semaine, le temps de m'accompagner en Italie et passer du temps avec moi dans ma famille. C'est tout.
- C'est tout ! Je rêve ou je suis tombée au beau milieu d'un épisode de Mistress ?"
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"- Chercherais-tu à me dire quelque chose, Maggie ? demanda-t-il d'une voix de velours. J'avais gardé de notre dîner en tête à tête l'impression que tu étais plus directe.
Comment osait-il mentionner ce fiasco ? S'efforçant de rester impassible, elle répliqua du tac au tac :
- Et moi, celle que tu étais plus franc.
Il se redressa.
- Oui. Peut-être avons-nous fait tous les deux une erreur, ce soir-là."
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" Maggie se leva. Elle enfila un peignoir en soie rouge et ses chaussons assortis avec des cornes de diable sur le dessus. Même si personne n'aurait pu le déceler, elle était passablement éméchée. Peut-être que l'exercice la calmerait...
Elle prit une feuille sur la table et commença à lister toutes les qualités qu'elle recherchait chez un homme.
Elle alluma un feu.
Récita le mantra.
Des ricanements moqueurs résonnaient dans son crâne devant tant de sottises, mais elle étouffa sous une autre gorgée de tequila et regarda le papier brûler.
Après tout, elle n'avait rien à perdre."
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Elle m’a appris à voir l’extraordinaire derrière l’apparente banalité. Elle m’a appris la beauté de l’émotion, de la vérité et du pardon
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Arilyn était pompette, mais pas suffisamment pour ignorer qu’il l’avait prise au mot et fait grimper les enjeux.

Cet homme était le dieu du sexe incarné.

En sa présence, son corps était entièrement attiré par lui, bourdonnant et faiblissant comme s’il identifiait son maître. Son regard brûlant exigeait d’elle des jeux sexuels auxquels elle aspirait. Ses cheveux noirs en bataille soulignaient son visage sculpté, son bouc aguichant et ses lèvres pleines. Son aura luisait d’un unique mantra – celui du mâle bestial.

Mais en uniforme, il ne faisait plus seulement saliver : il composait à lui seul un succulent menu complet.

Il portait une chemise bleu marine et une veste rembourrée avec son nom cousu sur la poitrine. En sweat-shirt et en jean, il était déjà intimidant. Mais avec sa ceinture en cuir qui tombait sur ses hanches, garnie de différents accessoires, il lui coupait le souffle tandis que ses mains picotaient du besoin de le toucher. Elle observa l’étui du revolver, les menottes pendant sur sa cuisse, et la matraque. Il était comme un fantasme érotique qui se serait réalisé. Le tissu fin révélait sa musculature, se tendant au maximum sur sa poitrine. Stone Petty constituait un paquet-cadeau que toute femme rêverait de déballer.

Il la dominait, sans détacher son regard d’elle un seul instant. Porté par le martèlement de la musique, il effleura le premier bouton de sa chemise. Il écouta les hourras de la foule, puis l’ouvrit d’un geste rapide.

Son ventre se liquéfia.

Il répéta son geste avec le second bouton. Son immobilité attisait l’exaltation générale. Les billets de banque se mirent à voler et l’assemblée bramait « enlève tout ! » Il les ignora toutes, se concentrant intensément sur elle.

Elle n’avait jamais rien vécu d’aussi érotique.

Dans cette salle bondée, il se déshabillait pour elle. Une bande de peau apparut entre les pans de la chemise. Arilyn entraperçut sa peau légèrement hâlée, ses poils sombres sur ses muscles bien dessinés. Son regard enfiévré parcourut cette bande affriolante jusqu’à ce que sa chemise s’ouvre plus largement, lui offrant une image saisissante.

Elle s’interrogea sur sa saveur, se demanda ce que ça ferait de passer la langue sur cette intrigante ligne de poils plongeant vers sa taille.

-Voulez-vous que j’ouvre entièrement ma chemise, Arilyn ?
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Chapitre 4 :
" – Bon sang, vous avez du culot. Vous vous êtes bien amusée avec vos activités criminelles ?
Elle battit des paupières.
– Quoi ?
– Vous savez. Le chantage. Voler mon boulot, pour lequel j’ai travaillé dur, juste pour que vous puissiez jouer au jeu Je suis plus importante que vous. C’est comme ça que vous fonctionnez ?
Le rouge lui monta aux joues. Oh ! elle le détestait vraiment. Il allait droit au but à chaque occasion. Il avait besoin d’une bonne leçon en termes de manières et de civilités.
– C’est drôle, si j’étais un homme, en ce moment même, vous seriez sans doute ravi d’avoir à disputer ce genre de partie virile. Est-ce que c’est parce que je suis une femme que vous n’acceptez pas que, parfois, dans le business, on soit obligé de contourner les règles ?
Il laissa échapper un rire sec.
– Je n’ai aucun problème avec les femmes volontaires. Juste avec celles qui mentent. J’ai le même problème avec les hommes qui mentent, d’ailleurs.
Elle saisit son verre pour avoir quelque chose à quoi s’accrocher et leva son menton.
– Ne sommes-nous pas un brin dramatique ? Un peu dans l’exagération ? Je vous offre un boulot tout à fait honnête, et votre client dispose de ce que l’on appelle son libre-arbitre. Comment d’un seul coup tout serait ma faute ?
Il secoua la tête et passa ses doigts dans ses cheveux. Elle regarda les mèches noisette se dresser, puis retomber en un désordre charmant. Il y avait toutefois une zone dans ses cheveux qui semblait plus aplatie. Peut-être parce qu’il portait souvent une casquette de base-ball ? C’était amusant ; elle n’avait jamais été si obsédée par la chevelure d’un homme auparavant. Peut-être parce qu’ils étaient striés de mèches blondes et très épais, descendant bas sur son col. Mais il avait des cheveux aplatis par sa casquette ! Comment cela pouvait-il avoir l’air si désirable ?
Son dernier commentaire avait dû l’énerver encore un peu plus, parce qu’il se mit à déambuler comme un animal en cage.
– Incroyable. Vous avez pris des leçons sur la meilleure manière de n’assumer aucune responsabilité ? Qu’est-ce que vous avez dû promettre à Jet McCarthy pour le convaincre de me virer ?
Elle tapa d’un ongle sur le bord de son verre et le regarda sans ciller.
– Pas grand-chose. Ce qui me fait dire qu’il avait des doutes sur vous pour ce projet. Je lui ai juste offert une nouvelle source de financement, rien qui aurait fait une grande différence s’il avait vraiment voulu travailler avec vous.
Sa bouche s’ouvrit largement face à ce coup direct.
– Madame, avec vous dans les environs, je n’ai pas besoin d’avoir d’ennemis. La prochaine fois que vous aurez à ce point besoin de quelqu’un pour construire votre maison, j’ai une bonne idée : soyez gentille.
– Je l’ai été. Ça n’a pas marché.
Ils se fixèrent intensément, mais Morgan refusa de battre en retraite."
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Chapitre 1 :
" – Malheureusement, ce ne sera pas possible. Il y a de nouveaux termes à l’accord selon lequel Caleb conserverait Pierce Brothers.
Le picotement gagna en amplitude. Il changea de position sur sa chaise.
– Qu’est-ce que cet enfoiré a encore fait ?
Dyken grimaça.
– Il a changé les termes du testament il y a un an. L’entreprise aurait originairement été divisée entre vous trois avec une option pour acheter les parts des autres. Cette option n’existe plus.
Dalton se pencha en avant en poussant un soupir impatient.
– Quelles sont les nouvelles options ?
– L’entreprise ne peut plus être séparée entre vous trois. Pour que vous puissiez hériter de Pierce Brothers, vous devez la gérer ensemble en tant que cogérants.
Caleb entendit les mots, mais son cerveau fut incapable de les analyser. Probablement pour l’empêcher de perdre son sang-froid et de descendre directement en enfer pour botter le cul de son père. Ce devait être une erreur. Ses frères regardaient Dyken la bouche grande ouverte, ce qui leur donnait un air comique. Ouais, ils étaient partis depuis longtemps. Ils n’étaient plus habitués aux tours de leur père ou à ses méchancetés de vipère, même après sa mort.
– Quels sont les termes exacts ? demanda-t-il vivement. Et comment fait-on pour se sortir de ce merdier ?
Dyken tendit ses mains devant lui, paumes en l’air.
– Les termes stipulent que vous devez vivre tous les trois dans la maison ensemble et faire tourner Pierce Brothers pendant un an. Si l’entreprise fait des profits – j’ai des critères précis pour estimer ce qu’il appellerait un succès –, vous pouvez tous décider de vendre vos parts et de partir. Si elle ne fait pas de profits, elle sera dissoute sans recours possible.
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Slade s’assit sur l’élégant canapé couleur d’étain dans le bureau de Kennedy et tenta de ne pas avoir l’air renfrogné.

Il était de mauvais poil.

Après le yoga bikram, il s’était dit qu’il en avait fini avec les tortures de Kinnections. Apparemment, il s’était aussi engagé à participer à une séance obligatoire de relooking, et ce dont, en dehors du fait que cela titillait sa fibre masculine, il n’avait pas besoin. Pour un avocat, l’apparence était cruciale, et il s’assurait que les jurés et ses clients avaient toujours une image de lui nette et propre. Il s’efforça de demeurer patient et observa avec humeur Kate, qui se tenait à côté de Kennedy et paraissait aussi pitoyable qu’il se sentait.

Leur baiser le hantait.

Absorbé par leur badinage à la salle de sport, Slade avait décidé de tâter le terrain. Rien qu’une fois. Il brûlait de l’embrasser, de voir si ses lèvres avaient vraiment le goût de la barbe à papa qu’il adorait, et d’apaiser une partie de la tension sexuelle crépitante.

Au lieu de quoi, il avait été électrocuté et déchiqueté par une envie dévorante de la prendre. De s’unir à elle, la revendiquer, la posséder. On aurait dit que l’homme de Cro-Magnon en lui s’était manifesté et qu’il s’était abaissé à ses instinct animaux. Elle était tout sucre et, après avoir goûté un échantillon, il craignait d’être accro. Il s’attendait à une étreinte taquine, chaleureuse et satisfaisante. Il avait obtenu du sexe brûlant et un désir à l’état brut.
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cerclées d’or.
— Cela ne vous concerne pas, articula-t-il. Appelezmoi
votre responsable, je vous prie.
Elle croisa les bras et l’étudia d’un air songeur.
— Si c’est en rapport avec un client, nous ne serons
pas en mesure de vous fournir la moindre information.
Nous avons des accords de confidentialité.
Il renifla.
— Une façon pratique d’éviter les poursuites judiciaires,
hein ?
— Vous vous êtes levé du pied gauche, monsieur ?
Se gaussait-elle de lui ? Il se redressa de toute sa
hauteur avant de se pencher vers le bureau. Au tribunal,
sa présence avait la réputation d’être mortelle,
mais ce petit bout de femme osait se moquer de lui ?
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— Des ambitions élevées ne rendent pas acceptable
le fait de retourner le cerveau des gens. Il n’y a qu’une
seule façon de vérifier votre théorie et votre mode de
fonctionnement.
— Et c’est… ?
— Inscrivez-moi comme client.
Elle eut un mouvement de recul. Il fut parcouru
d’un élan de satisfaction. Enfin. Il avait de nouveau
le contrôle, exactement comme il l’aimait.
— Je vous demande pardon ? C’est impossible.
— Non, ça ne l’est pas. Si vous réussissez à me
trouver l’amour, vous gagnez. Je céderai et deviendrai
votre plus grand défenseur. Je pourrais faire appel
à votre agence pour aider mes propres clients, et
Kinnections croulerait sous les demandes
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I was afraid I had nothing to give. But I do. And I want to give it all to you.
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Peu à peu, Nick sentit quelque chose remuer en lui. Le mur qu'il avait édifié autour de ses émotions commençait à se fissurer. Jim ne lui parlait pas comme à un beau fils, mais comme à son propre fils.
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