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Jérôme Soligny, journaliste spécialiste des Beatles à l'occasion de la sortie de l'intégral numérique des albums du plus grand groupe de rock de l'ère moderne.
Un petit bout du "Duel au soleil" d'Etienne Daho, interprété par Lola Lafon et son compositeur original Jérôme Soligny, à l'occasion d'une rencontre à la librairie Millepages de Vincennes. Lola présentait son livre "Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s'annonce" et son disque "Une Vie de voleuse". Le roman de Jérôme "Je suis mort il y a vingt-cinq ans" est quant à lui sorti fin mars 2011.
Interview de Jérôme Soligny à la Librairie La Galerne.
Démo piano-voix d'une chanson de Jérôme Soligny enregistrée au début des années 90. "A Little Crazy" a été écrite pour l'ami qui lui a inspiré le personnage principal et narrateur de "Je suis mort il y a vingt-cinq ans", son premier roman paru le 9 mars 2011 chez Naïve (Truant Songs @ EMI Publishing).
Le premier roman de Jérôme Soligny / parution le 9 mars 2011 chez Naïve
Cette chronique des derniers mois d'un jeune dandy de province condamné par une maladie mystérieuse est aussi l'histoire singulière de ces quelques années intenses où toute une génération de « jeunes gens modernes » basculait soudain de l'insouciance des seventies dans l'inexorable folie des années 80.
Vif et tendu, avec un rien de mélancolie et beaucoup d'humour, cet instantané capture l'essence même d'une époque. Les filles portaient alors des t-shirts Alice Cooper, les garçons tombaient sous le charme de Mireille Perrier, Boy meets girl. Boys meet boys aussi.
Tous avaient du mal à croire qu'on pouvait aimer et en mourir, le rock était la vie et chacun se rêvait plus ou moins chanteur pop. C'était il y a vingt-cinq ans.
Comme de belles bulles rondes et lumineuses, ces premières années 80 sont saisies là dans leur fragilité, leur transparence pleine d'éclats bleutés juste avant qu'elles n'éclatent violemment, laissant des traces indélébiles sur le cuir de la banquette arrière d'un coupé Triumph.
Car on y apprit aussi à déchiffrer quatre lettres funestes qui fracassèrent tant de rêveurs, comme le narrateur de cette chronique.
En lui rendant sa voix, l'auteur -- lui-même personnage de ce roman -- lui rend ici un sobre et magnifique hommage : « Pas de larmes, ni d'apitoiement, pas de morale non plus. Juste le regard distancé d'un clown blanc au volant d'une TR4 » comme le souligne Kent dans sa préface.
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Featurette du musicien-journaliste Jérôme Soligny, à propos de "Bowie, Bolan et le gamin de Brooklyn”, sa traduction de l'autobiographie de Tony Visconti parue aux Editions de Tournon au printemps 2008.
Jérôme Soligny, journaliste spécialiste des Beatles à l'occasion de la sortie de l'intégral numérique des albums du plus grand groupe de rock de l'ère moderne.