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Citations de Jodi Taylor (235)


Comme quoi, il suffit de baisser sa garde ne serait-ce qu’une seconde pour que le destin, le sort, l’histoire, appelez cela comme vous voulez, en profite pour venir pisser dans vos frites.
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Je me suis retrouvée à l'infirmerie. De fait, ça arrive tellement souvent que je devrais penser à faire un raccourci clavier.
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_ je ne veux pas être seulement un souvenir. Je sais que tu ne peux pas... que tu ne... ce n est pas facile pour toi, mais pour moi non plus. Je ne demande pas grand chose. Juste que tu me dises que tu m aimes parfois.
J ai soupiré.
_ Oui, mais tu vois, c est impossible.
Il a tourné la tête.
_ parce que je t aime tout le temps.
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J’aurais pu devenir démineuse ou pompière, ou encore me porter volontaire pour une mission sur mars, bref, choisir un métier sûr et sensé. Mais non, je devais devenir historienne. Je devais intégrer l’institut St Mary. En l’espace de quelques années, j’avais été pourchassée par un tyrannosaure, écrasée par la grande bibliothèque d’Alexandrie, attaquée par Jack l’éventreur Et soufflée par l’explosion d’un tas d’excréments. Voilà à quoi ressemblait mon quotidien.
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La musique s est arrêtée. J ai levé les yeux et il m a embrassée.
Le monde a cessé de tourner autour de moi. En même temps que ma respiration, mon cœur, mon processus cognitif et le temps lui même. Et des centaines de couleurs vives et de lumière se sont mis à tourbillonner autour de nous. Ah Non, pardon, c était la boule à facettes.
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Le quinzième jour est arrivé à son terme. J'ai sorti mon carnet de notes et envisagé de laisser un mot expliquant qui j'étais et ce que je faisais ici, au cas où quelqu'un trouverait un jour ma dépouille. Et puis merde. Qu'ils se débrouillent.
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Il s'agit d'une société très formelle, très rigide. Chacun connaît sa place Mesdames, ne parlez pas à moins qu'on vous adresse la parole. N'offrez pas de poignées de main. Ne croisez pas le regard d'un membre de sexe opposé. Faites une révérence lorsqu'on vous parle.
"Messieurs, soulevez votre chapeau quand vous vous adressez à une dame. vous pouvez vous contenter d'en baisser rapidement le bord si vous parlez à un membre du même sexe. Offrez votre bras à votre partenaire. Guidez-là, aidez-là à contourner les obstacles et les terrains boueux car, naturellement, elle ne sera pas capable de le faire elle-même.
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(...), je pense que nous devrions commencer par le côté sud, puis monter à l'étage, longer la galerie, redescendre, faire une petite pause pour prendre une tasse de thé, et finir par le côté nord. Qu'en dis-tu ?
- La tasse de thé arrive un peu tard, et on supprimera l'adjectif "petite", mais sinon, ça me va.
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Des vendeurs déambulaient avec des plateaux suspendus autour du cou, vantant les mérites de leurs tourtes aux cailles. Il valait mieux cela quel'inverse, je suppose.
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A cette époque, comme à toutes les autres, les hommes portaient des vêtements pratiques et confortables, tandis que les femmes expiraient sous des couvre-théières trop chargés avec des chaussures inadaptées.
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Personnellement, l'incapacité de l'humanité à apprendre de ses erreurs me déprime beaucoup.
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- Tu me files un rencard ? Maintenant ?
- Non, pas maintenant. Demain soir. Si tu es libre, bien sûr.
Bien sûr que j'étais libre. Merde, j'étais toujours libre.
-- Il faudra que je vérifie, mais normalement je le suis.
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Mais comme dit Lisa Simpson : « Il vaut mieux garder le silence et passer pour un imbécile, plutôt que de l’ouvrir et dissiper tous les doutes. » J’ai donc gardé le silence.
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- Dites, est-ce que je pourrais avoir du café ? S'est enquis Hoyle. Je n'aime pas le thé.
Le monde a cessé de tourner sur son axe tandis que dix paires d'yeux se braquaient sur lui avec une expression allant de la condamnation à la pitié en passant par l'incompréhension totale.
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[ Exposition universelle de Londres, 1851 ]

Nous avons payé plein tarif, trois guinées pour les messieurs, deux pour les dames. (...) Je suis restée en retrait, laissant M Sands payer pour moi, mon petit cerveau de femme ne me permettant pas de conclure des transactions commerciales aussi complexes.
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Tout ce que j'avais à faire, c'était sauter rapidement par dessus le muret, rejoindre la rivière et me perdre dans la foule. Sauf que j'étais pratiquement paralysée par le froid et que la probabilité que je fasse quoi que ce soit rapidement était aussi faible que celle de trouver un politicien oeuvrant de façon désintéressée pour le bien public.
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J'ai posé mon manchon sur la console, lissé mes vêtements et tapoté mes cheveux pour les remettre en place. Les historiens ne rentrent jamais débraillés. Parfois ils rentrent morts, mais même dans ces cas- là, nous faisons toujours en sorte d' être présentables.
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Non, non, non. Pas de mariage. Je pensais vraiment avoir été claire quand à mes sentiments sur le mariage. Lorsqu'on m'avait un jour demandé quelle était pour moi la plus grande qualité d'un mari, j'avais répondu : son absence. Personne ne m'avait plus jamais posé la question.
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...et j'ai enfin pu voir les traits du puissant Henry V. Le héros de son temps. Et oui, il arborait vraiment cette hideuse coupe au bol. Comme tout le monde. J'ignore si Henry était un lanceur de tendances ou si c'était simplement pratique suis leurs casques. Toujours est-il que je ne vois pas d'autres raisons pour vouloir arborer la coupe de cheveux la plus hideuse d'un monde ayant connu Donald Trump.
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Nous sommes St Mary. Nous n'abandonnons jamais les nôtres.
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