Quand j'ai lu le résumé de ce livre, j'ai eu immédiatement envie de le lire. Pourtant je ne suis pas trop adepte des romans fantastiques et étant plutôt terre à terre, j'ai toujours une peu de mal avec les fantômes, les esprits et autres créatures. En tout cas, j'ai eu raison de ne pas repousser ma lecture et de le commencer sitôt arriver dans ma boite aux lettres car c'est une très bonne surprise.
Il faut dire que l'auteur combine avec brio tout les bons éléments au départ pour que "la séance" soit un bon roman : l'époque victorienne, la campagne anglaise, un manoir ,avec dans son histoire, beaucoup d'événements mystérieux. Le décor est donc planté et tout au long des pages une ambiance inquiétante et une tension permanente ne nous quittera plus.
Pour tenir en haleine ses lecteurs, John Harwood alterne les narrateurs et ainsi donc se succède Constance, John et Eleanor et avec chacun d'eux nous changeons aussi d'époque ce qui m'a pas mal dérouté au début du roman. Chaque fois que nous pensons apprendre un nouvel élément de l'intrigue on change de personnage. Maintenant après lecture, je me rends compte que ce procédé est drôlement habile car le suspense est à son comble et puis cela permet de nous donner que les révélations par bride quand les pièces du puzzle s'assemblent les unes aux autres. Ces trois personnages se confient a nous sous la forme de journal ce qui fait que l'on s'y attache très vite et chacun mène sa propre enquête pour lever le voile sur les secrets qui entoure Wraxfort Hall. J'ai aimé que parfois l'on puisse revive une scène plusieurs fois mais toujours d'un point de vue différent.
L'écriture de l'auteur épouse parfaitement le roman : fluide et pas trop moderne au point qu'on pourrait croire qu'il a été écrit a l'époque ou se déroule l'action.
C'est pour moi une première rencontre avec l'auteur et je me suis empressée d'aller emprunter a la bibliothèque un autre de ses romans pour découvrir un peu plus son univers que j'ai beaucoup aimé avec "la séance".
En tout cas, ce roman est magistral et envoutant et je le recommande vivement.
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Un roman contemporain situé au 19ème siècle par l'auteur.
Gothique à souhait : vieux manoir hanté dans la campagne anglaise, expériences de spiritisme, mesmérisme, vieille armure maléfique, passages secrets, tonnerres, éclairs, sarcophage dans la cheminée et disparitions et/ou morts à gogo ...
L'histoire est contée par plusieurs narrateurs et à des époques différentes mais toutes les versions convergent vers la peur et le mystère.
Ce qui est surtout un mystère pour moi, c'est que je n'ai pas trop apprécié sans savoir pourquoi. Je n'ai pas vraiment réussi à "entrer dans l'histoire" qui m'a parue assez longue.
Bref, un roman qui avait tout pour me plaire et qui m'a déçue sans que je sache m'expliquer pourquoi. Curieux !!!
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Ce roman nous emmène au coeur d'un manoir dans une ambiance gothique à souhait. Tous les éléments habituels de ce type de roman y figurent : un manoir lugubre, des disparitions mystérieuses, des personnages emblématiques qui s'intéressent à des domaines comme le spiritisme, le mesmérisme, l'alchimie etc....Plusieurs femmes tiennent la vedette de cette histoire qui s'étale sur des années, et bien que fortes et intelligentes, elles ont toutefois les défauts caractéristiques des femmes du 19e siècle : elles s'évanouissent au moindre bruit, ce qui m'a quelque peu agacée, je le reconnais.
L'histoire nous est livrée par le biais de plusieurs témoignages, cela a donc entraîné quelques répétitions mais j'ai toutefois beaucoup aimé ce roman où l'atmosphère de secrets flirte avec le monde des esprits.
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Après un début de lecture (les deux premieres parties) répondant à mes attentes (époque, atmosphère, mystère), d'où mes appréciations à certaines critiques élogieuses, mon enthousiasme s'est peu à peu délité pour finalement faire place à un certain désintérêt quant au dénouement ; celui-ci survient avec tant d'infos tant d'explications en rafale que le mystère s'en est presque épaissi par moments. Pas complètement décevant mais inégal à mes yeux ; je referme ce livre avec une petite frustration.
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Après deux lectures magnifiques mais d'un réalisme brut, âpre, j'ai eu envie de changer de cap et de me tourner vers un roman qui m'apporterait son lot d'évasion, de romanesque... Sans trop savoir pourquoi, j'avais des désirs dix-neuvièmistes et victoriens, des envies de manoirs hantés et de siècles passés. "Le Séance" m'attendant depuis quelques temps dans la pile de livre qui orne (et désordonne) le plancher de ma chambre, c'est sur elle que j'ai -naturellement- jeté mon dévolu.
Et tudieu, quel plaisir que ce roman! Dévoré en moins de deux soirées, je ne suis pas parvenue à lâcher, au prix de ma vie sociale (qui me pardonnera) et de mon sommeil (qui se rattrapera!) cet merveille de roman dans lequel l'auteur, John Harwood, reprend patiemment et avec brio tous les codes du roman gothique voire du roman victorien pour les faire siens.
C'est ainsi que ce roman contemporain (paru, je crois, en 2010) m'a fait voyager au cœur du XIX° siècle en parvenant me faire croire qu'il avait été écrit à cette même époque et ce, grâce à des procédés narratifs caractéristiques et que n'auraient pas dédaigné un Wilkie Collins, un Dickens voire une Brontë. Je pense notamment aux narrateurs multiples, aux nombreux récits enchâssés qui émaillent le texte ainsi qu'à l'usage de journaux intimes ou de confessions. Un régal de maîtrise et d'imagination, tout comme la langue que j'ai trouvé très écrite, très soignée et élégante, parfois délicieusement (et volontairement sans doute) désuète.
Outre la manière qu'a John Harwood de conduire sa narration, il y a également l'histoire, l'intrigue qu'il nous conte. Elle est diabolique, haletante , très intelligemment menée et fleure bon le roman noir, voire gothique puisqu'il y est question d'un vieux manoir Tudor enclot dans une forêt ténébreuse et des fantômes qui s'y épanouissent à l'ombre d'un domaine laissé à l'abandon; de spiritisme et de mesmérisme; de la disparition mystérieuse d'une jeune femme à la santé mentale vacillante; d'alchimie et d'orages foudroyants; d'amours contrariées; de perversion et de secrets enfouis; d'une orpheline...
Pour Constance Langton, l'hiver 1889 est bien cruel. Outre son froid qui enserre tout Londres de son étreinte glaciale, elle se retrouve orpheline (ou c'est tout comme...) et ne peut compter que sur la générosité d'un oncle inconnu pour l'héberger. C'est alors qu'elle est contacté par un avocat qui semble l'avoir longtemps cherché et qui lui annonce au coin du feu que des parents éloignés lui ont légué un héritage inattendu: le manoir de Wraxford Hall, de sinistre mémoire puisqu'on le dit hanté, puisqu'on raconte qu'il porte malheur à tous ses occupants. L'homme de loi lui-même enjoint la jeune fille de ne pas accepter ce leg...
Constance, pourtant, ne s'en laisse pas conter et va lever le voile de mystères qui nimbe Wraxton Hall au fil de ses rencontres et des nombreuses lectures qu'elle fera.
Même si "La Séance" n'est pas exempt des défauts qu'on peut habituellement reprocher aux ouvrages de ce genre (ainsi les jeunes femmes qui hantent le récit sont toutes sujettes aux évanouissements dès lors que la situation implique un frisson, comme toutes héroïnes qui, supposément, se respectent, surtout au XIX°siècle, alors qu'elles sont toutes par ailleurs fortes, indépendantes et diablement malines!) et qu'il aligne les clichés (la jeune héroïne, donc, et orpheline de surcroît; le personnage masculin aussi séduisant qu'inquiétant avec son charme irrésistible et franchement méphistophélique voire sardonique; les orages et le manoirs aux mille tours...), il n'en demeure pas moins que c'est une lecture délicieuse, qui fonctionne et qui fait mouche, justement parce qu'elle assume les clichés, que -soyons honnêtes- on attend tous, et qu'elle les traite avec intelligence, les dosant savamment, parce qu'elle est très bien écrite aussi. Ainsi, l'atmosphère qui nimbe le roman est une réussite: oppressante, ténébreuse, angoissante et le suspense, la tension distillés au fil des différents récits enchâssés sont presque intenables. De leur côté, la plupart des personnages sont bien construits et attachants (de mon côté, j'ai eu un faible pour John Montague). Quant à l'intrigue, enfin, elle se révèle extrêmement bien ficelée et je m'y suis laissée prendre comme une débutante.
Thriller, roman gothique, pastiche... "La Séance " est un ensorcelant moment de lecture qui abolit le temps et le sommeil et qui, en creux, dit aussi tout le pouvoir de l'écrit et de ses jeux, une subtilité qui le rend plus profond qu'il ne pourrait en avoir l'air.
Un délice.
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1889. Constance Langton apprend qu’elle vient d’hériter d’un manoir dans la campagne anglaise. Ce manoir, désormais à l’abandon, a une histoire bien étrange, ce que Constance va découvrir au fil de ses rencontres (réelles ou par la lecture de récits à son sujet) et de ses visites du manoir…
Ce roman nous mène dans les sphères du roman gothique ou roman noir anglais du XIXème siècle avec délices : l’intrigue est bien ficelée, avec une constante hésitation entre surnaturel et réalité, même si l’on se doute rapidement de la tournure que vont prendre les évènements à la fin du récit. Bien qu’assez simple, elle n’en est pas moins passionnante, autant grâce à l’atmosphère de la fin du XIXème siècle respectée (on a l’impression de plonger à nouveau dans cette époque, comme si l’auteur y avait lui-même vécu) que grâce au sujet qui est choisi (la place des sciences occultes dans une société ancrée vers le réalisme). Le style d’écriture du roman, bien que moderne, est lui aussi un bel hommage aux romans anglais du XIXème siècle, autant par le choix d’un vocabulaire et d’une écriture respectant au maximum l’esprit de ce siècle (sans pour autant n’en être qu’une pâle copie) que par le choix de composer le roman en différents extraits de lettres ou de journaux intimes, à la manière de Mary Shelley ou de Bram Stoker. On entre de plus assez bien dans l’esprit des différents personnages qui s’expriment, notamment par la mise en avant assez fine de leurs pensées et de leurs questionnements quant à l’affaire de cette famille et de ce manoir très étranges.
Etant une lectrice assidue des romans anglais du XIXème siècle, je dois dire que je me suis vraiment fait plaisir à la lecture de ce roman, autant par l’hommage rendu que par la touche originale et personnelle que donne John Harwood à son récit. On a beaucoup de mal à s’arrêter de lire, et même si le roman se termine avec une réponse à toutes les questions qu’il posait, on aimerait qu’il dure encore plus longtemps…
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Roman gothique, "La Séance" met en scène une intrigue sombre dans un cadre glauque, interprétée par des personnages étranges... Tout pour me plaire!
Pourtant, si le début m'a captivée, j'ai ralenti le rythme au milieu du roman. J'ai trouvé que le rythme s'essoufflait: moins d'aventures, l'impression de tourner en rond, je me suis demandée à plusieurs reprises où tout cela allait mener...
Puis finalement, heureuse surprise, la dernière partie m'a à nouveau envoûtée, les explications arrivent enfin et tout fait sens...
Un bon roman au final, gothique à souhait!
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Après avoir adoré "la séance", je me suis empressée d'emprunter un autre roman de John Harwood à la bibliothèque. Mon bilan est plutôt partagé et je suis loin du coup de cœur.
Dans ce roman, on découvre Gérard, un jeune garçon qui grandit en Australie au milieu d'un père absent et d'une mère autoritaire et sans cesse sur le dos de son fils. Le jeune garçon n'a bien sur pas d'ami mais va vite se lier d'amitié avec une jeune anglais avec qui il échangera des lettres pendant de nombreuses années.
La première scène dans le livre , Gérard fouille la chambre de sa mère et y découvre le portrait d'une femme. On n'en sait très peu sur la mère du garçon mais on devine très vite qu'elle nous cache des choses, notamment pourquoi elle a précipitamment quitté l’Angleterre pour venir vivre en Australie.
Ce roman est l'exemple même du roman qui commence bien, avec une famille paisible et puis au fil des pages tout tourne mal et l'on va de révélations en révélations. Tout comme dans la séance, quelques pages donnent des frissons et nous font froid dans le dos mais de manière générale "the ghost writer" est moins abouti que la séance. Le rythme de la narration est très lent et la fin est décevante et prévisible.
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Ce livre est assez inégal.
Tout d'abord un réel plaisir de retrouver une ambiance victorienne, sombre et classique, quelques attitudes féminines dignes d'Oscar Wilde.
Puis une intrigue étonnante où le fantastique gratte à la porte de ses doigts blafards, ou , en tous les cas, le mystère semble suffisamment épais pour que l'on n'y voie goutte.
Se suivent ensuite 4 témoignages, soit 5 récits indépendants si ce n'est qu'ils sont tous en rapport avec cette histoire. Ce sont des protagonistes différents, parfois des époques différentes.
Et là arrive une certaine lassitude. Chacun de ces récits est autonome, et l'on a un peu l'impression de relire 5 fois la même nouvelle. Les dates se mélangent, les personnages se ressemblent, les situations se confondent.
Une pause s'impose donc ( j'ai tenu jusqu'à la 4ième version avant que de reposer l'ouvrage une semaine).
A la lecture de la dernière partie , tout s'éclaire (s'obscurcit en fait mais ce n'est que pour mieux vous surprendre mon enfant). Les morceaux finissent par appartenir au même puzzle et même pour certains à s'assembler.
Et là, tout le chemin parcouru avec ses différents points de vue, s'éclaire des petites bougies , vacillantes, semées tout au long du roman.
Un roman bien écrit, avec des phrases construites, un rythme assez lent et bien mesuré, des personnages fugaces mais intéressants, et un final à la mesure de l'attente.
Un réel plaisir donc mais à ne pas gâcher par une lecture trop rapide ou d'une seule traite.
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Une vraie découverte, une ambiance gothique au 19ème siècle, un roman plein d'énigme et de suspense qui finalement aborde beaucoup de sujets comme le désir de liberté de ses deux personnages principaux féminins, de certains hommes perdus ou machiavéliques, de mystères et boules de gomme :)
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Ce genre ne figure pas parmi mes préférés mais la quatrième de couverture m’a alléchée. Certains commentaires en ligne établissaient également un parallèle entre ce livre et les romans gothiques auxquels Jane Austen fait allusion dans Northanger Abbey. Cela a suffi pour inscrire La Séance dans ma PAL de cet été.
Que dire : le style basé, entre autres, sur l'alternance des points de vues et des époques de chaque personnage principal est, à mon sens, un plus agréable. Cependant les enchaînements entre ces différentes parties me laissent dubitative. L'ensemble du récit est cohérent mais les articulations ou plutôt l'absence d'articulation nuit un peu à l'ensemble. Dommage.
L'époque victorienne ainsi que l'engouement du mesmérisme, alors en vogue, sont vraiment bien décrits. L'auteur a également parfaitement su distiller une atmosphère pesante et sombre, très présente et très prenante tout au long du roman. Les caractères bien dessinés des différents protagonistes participent, eux aussi, à la mise en place de ce climat glauque.
Le tout est agréable à lire mais autant les deux premiers tiers du livre sont prenants et addictifs, autant la fin est beaucoup plus décevante. L'écriture ne me semble pas du même tonneau que dans les parties précédentes, moins de punch, moins de style pour arriver à une conclusion qui, à défaut d'être efficace, est expéditive et me laisse un peu sur ma faim.
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un beau coup de cœur pour ce roman, qui, bien que fort différent, m'a rappelé à plusieurs reprises "les hauts de Hurlevent" pour son ambiance gothique, ses amours impossibles et torturés, ses personnages solitaires, parfois fous ou terribles, cette femme perdue,... Les pages s'enchainent et on ne peut lâcher cette intrigue qui nous est révélée, bouchée par bouchée, au fil des pages et des différents narrateurs qui se confient, un vrai régal. Coup de cœur supplémentaire pour la superbe couverture, recherchée et gothique-romantique à souhait
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Très bonne surprise. On croirait lire un roman du XIX°, quoique les pures jeunes filles -qui s'évanouissent souvent- y prennent beaucoup d'initiatives, et des plus hardies. L'entremêlement des voix narratives est très bien fait et le dévoilement intervient en plusieurs étapes ce qui évite l'écueil du pavé explicatif. La science permet à l'histoire de se dénouer sans intervention surnaturelle; ne reste plus alors que le mystère de l'amour, exclusif et névrotique, qui rend les épouses frigides et les mères cruelles.
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Une ambiance à l'anglaise: manoir elisabethain regorgeant de secrets et cachettes, entouré de mystères.
Des disparitions sur deux générations, dont les personnages se croisent et donnent à tour de rôles, dans chaque chapitre, leur vision des faits.
Constance et Eleonor, qu'une vingtaine d'années séparent, ont toutes vécues au manoir. Constance en tant qu'héritière, Eleonor en tant qu'épouse du mystérieux Magnus Wraxford, personnage au centre des secrets du manoir.
L'auteur nous transporte au coeur de secrets de famille, avec en décor un sombre manoir, une armure aux allures de passage secret, des personnages qui se dévoilent au fur et à mesure de la lecture.
La fin est une réussite. Rien ne reste sans réponse, les secrets et les vérités sont dévoilés. Tous les bons ingrédients sont réunis dans ce livre: un brin de spiritisme inquiétant, des disparitions , des complots, des mensonges, des rencontres, des personnages et des émotions subtilement décrits et à lapsychologie travaillée. Un bon moment passé avec ce roman. Je le recommande
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J'ai été assez déçue par ce récit décrit comme "victorien". On est bien loin ici d'Emily Bronte ou de mouvances romantiques ou même fémoinistes. C'est un récit peu cohérent, mal documenté (en particulier sur le spiritisme à cette époque) et terriblement long. L'intrigue est décousue, en particulier le dernier tiers du livre.
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