Après sa disparition, on a commencé à m’appeler « la veuve de »… Comme si j’avais été une possession de mon mari… Je détestais ça… Pourtant, j’ai toujours vécu comme je le souhaitais. D’ailleurs, même par rapport à lui, dire qu’il me « laissait faire ce que je voulais », ça sonne un peu bizarrement !