Ce qui m'a plongée dans une indignation et un dégoût extrêmes, c'est cet entrefilet sarcastique à propos de la limousine de l'Arhat, de ses montres-bracelets serties de diamants, de ses chaussures commandées par douzaines à un célèbre chausseur de Londres, et autres trucs du même genre. En réalité, l'Arhat est sans le sous - tout l'argent va au Trésor de la Vraie Sagesse pour être incorporé ou placé sous forme de trust, lui n'a pas la moindre idée des rentrées ni des sorties.