Il y a ceux - bienheureux - qui peuvent vivre leur vie dans éprouver le moindre besoin d'y ajouter quoi que ce soit - un effort "créatif" quelconque ; et il y a ceux - maudits ? - pour qui l'activité de leur cerveau et de leur imagination est primordiale. Pour ceux-là, le monde peut être infiniment riche, gratifiant et séduisant - mais il n'est pas primordial. Le monde peut être interprété comme un présent, que l'on ne mérite qu'à condition d'avoir créé quelque chose qui le dépasse.