Julie Bray

C’est aujourd’hui une femme heureuse. Il y a peu de temps, le rêve qu’elle nourrissait depuis longtemps s’est enfin réalisé. Elle avait pourtant connu plusieurs hommes et plusieurs femmes…

Bien entendu, j'ai honte de tout ca, mais en même temps, ça me fais jouir d'être si vicieuse. Je ne sais pas ou tout ca me conduira, sinon à avoir des problèmes, mais je ne peux pas m'arrêter...

Lorsque je fais l’amour, j'aime pouvoir m’abandonner complètement, absolument ; j’aime que mon corps soit l’objet du désir de l’autre. Je ne suis pas celle qui provoque l’acte, mais celle qui suit le rythme, qui aime tant la sensualité que la douceur,l'obscénité que la brusquerie.

Même si j'ai laissé le premier rôle à ma copine, j'ai participé très activement moi aussi. Nous avons tellement excité Pierre que j'ai bien cru qu'il allait nous claquer entre les doigts. Heureusement il a le cœur aussi solide que la queue.

Une amie m'offrit un jour, pour mon anniversaire, mon premier godemiché. En arrivant chez moi, ce jour-là, elle était toute contente avec son paquet à la main. Elle me l'offrit et je le déballai. Elle se dandinait devant moi avec sa robe courte comme une enfant gênée. Elle me dit qu'il n'était pas trop gros et que je pourrais même le mettre dans mon sac à main, mais qu'il fallait que je lui trouve une autre place aussi .... Je fis quelque peu l'innocente et lui demandai de me montrer où. Je dois dire qu'elle s'empressa de le faire sans se faire prier.

On se lasse vite d’aller voir n’importe quel film au cinéma, simplement pour passer le temps, et je n’ai pas systématiquement envie de faire la tournée des bars à la recherche d’un partenaire d’une nuit. Cela m’est arrivé, mais je n’en ai pas gardé un très bon souvenir.

Il se releva, me tourna sans mot dire, puis m’enfonça son membre dans la fente. Je le sentais bien dur et chaud en moi῀; je sentais le va-et-vient fougueux de sa queue dans ma chatte humide. Le plaisir était si fort que je geignais et gémissais dans l’oreiller pour ne pas être entendue des autres patients.

Ton sexe pénètre le mien, je sens tes ondulations et ma chatte brûle de plaisir. Tu me fais tourner doucement pour que je te fasse face. Sans te retirer de moi, tu m’assois sur ton bureau et m’enlaces tendrement en m’embrassant. Mes jambes se nouent autour de ta taille et tu accélères le mouvement. Je vais jouir, oui, je vais jouir. Oui... plus vite῀! J’atteins un splendide orgasme et tu éjacules en moi au même moment.
Que c’est délicieux῀!

Étonnée, j’ai jeté un œil vers l’interstice

se trouvant entre les cloisons

qui nous séparent. ...

Il y a une sorte de perversion supplémentaire qui excite les neurones: quand tu retrouves ton amour et que tu la serres dans tes bras, tu te poses la question de savoir si, oui ou non, tu seras capable de lui donner autant ou plus de plaisir qu’elle en a pris avec ton messager.

Sur le canapé, d'abord, un couple est en train de s'embrasser goulûment et l'homme pétrit sans ménagement la poitrine de la femme. Celle-ci se laisse faire, tout en promenant ses longs doigts sur la braguette de son partenaire. Dans un coin de la pièce, une rousse aux jambes interminables est adossée contre un meuble, deux hommes en costumes à ses pieds.

Puis soudain, j'entends des pas et des rires étouffés s'approcher rapidement. Instinctivement, je me cache dans l'ombre d'un buisson. Je n'ai pas envie de bavarder.
Un couple, relativement jeune eu égard aux autres invités de la soirée, dévale le talus en courant. Arrivés en bas, le garçon et la fille se jettent dans les bras l'un de l'autre et se laissent rouler sur l'herbe. Lui se retrouve sur le dessus et embrasse son amie en lui maintenant les mains au sol. Elle rit aux éclats.

Si vous êtes lasse de vivre des expériences et des fantasmes, de courir les accessoires, je vous conseille fortement de revenir tout bonnement à la position du missionnaire qui, selon moi, reste encore la meilleure !

Ce que j’aime le plus, c’est de regarder un homme qui se masturbe. Il m’arrive parfois même de jouir en le voyant éjaculer. Peut-être est-ce le fait que lorsqu’un homme me fait l’amour, je ne peux voir de lui que son visage. J’aime pouvoir tout voir du corps de l’homme ; c’est pourquoi je demande toujours à mon partenaire de se masturber devant moi, pendant que je le regarde.

Sexuellement, je ne sentais rien, mais cérébralement, l’idée de posséder cette jeune fille si belle m’excitait incroyablement.

On peut en varier les plaisirs à l’infini tant par les positions que l’on peut prendre que par les caresses que l’on peut donner.

Je ressens une confiance, un abandon tout naturel. Sur le pont, des gens vont et viennent tout en bavardant. Nous passons probablement pour un couple d’amoureux. Ses mains caressent à présent mes épaules frêles. Tranquillement, il baisse une bretelle toute délicate de ma robe. Sa bouche donne de petits baisers ici et là dans mon cou et sur mon épaule. Je soupire d’aise, ma tête se renverse vers l’arrière. Le plaisir est devenu ma priorité du moment. Me sentant en confiance, il accélère ce qui semble être des préliminaires. Ses mains empoignent mes seins par-dessus ma robe. Je sens qu’on nous regarde. J’éprouve même une excitation à ce qu’on me regarde.

Dans une déferlante vague de jouissance, je sentais son sexe à l’intérieur de moi qui s’accélérait de plus en plus, et tandis que dans un râle de plaisir incontrôlé mon mari déversait son sperme par saccades sur ma matrice, de mes yeux coulèrent des larmes de joie que je ne pus retenir.

L’attrait. Le désir. L’envie.
La fièvre.
Courir après l’ombre de la jouissance.
L’attraper et s’en délecter. Comme on mange le fruit mûr῀! Il était mûr. J’étais affamée. Une rencontre comme il s’en fait peu, sans mots.

Cela me fait toujours sourire quand j’entends dire que les femmes sont des objets sexuels dans les films pornographiques. Parce que j’aime voir des femmes se faire prendre par tous les orifices tout au long d’un long métrage – oui, il n’y a pas que les hommes pour aimer les films pornos. Nous aussi, pas juste moi, mais aussi beaucoup de femmes, nous aimons ce genre de spectacle et ça nous excite tout autant que les garçons. Il faut en finir avec cette vaste hypocrisie.