Ton sexe pénètre le mien, je sens tes ondulations et ma chatte brûle de plaisir. Tu me fais tourner doucement pour que je te fasse face. Sans te retirer de moi, tu m’assois sur ton bureau et m’enlaces tendrement en m’embrassant. Mes jambes se nouent autour de ta taille et tu accélères le mouvement. Je vais jouir, oui, je vais jouir. Oui... plus vite῀! J’atteins un splendide orgasme et tu éjacules en moi au même moment.
Que c’est délicieux῀!
Je ressens une confiance, un abandon tout naturel. Sur le pont, des gens vont et viennent tout en bavardant. Nous passons probablement pour un couple d’amoureux. Ses mains caressent à présent mes épaules frêles. Tranquillement, il baisse une bretelle toute délicate de ma robe. Sa bouche donne de petits baisers ici et là dans mon cou et sur mon épaule. Je soupire d’aise, ma tête se renverse vers l’arrière. Le plaisir est devenu ma priorité du moment. Me sentant en confiance, il accélère ce qui semble être des préliminaires. Ses mains empoignent mes seins par-dessus ma robe. Je sens qu’on nous regarde. J’éprouve même une excitation à ce qu’on me regarde.
Il se releva, me tourna sans mot dire, puis m’enfonça son membre dans la fente. Je le sentais bien dur et chaud en moi῀; je sentais le va-et-vient fougueux de sa queue dans ma chatte humide. Le plaisir était si fort que je geignais et gémissais dans l’oreiller pour ne pas être entendue des autres patients.
Dans une déferlante vague de jouissance, je sentais son sexe à l’intérieur de moi qui s’accélérait de plus en plus, et tandis que dans un râle de plaisir incontrôlé mon mari déversait son sperme par saccades sur ma matrice, de mes yeux coulèrent des larmes de joie que je ne pus retenir.
L’attrait. Le désir. L’envie.
La fièvre.
Courir après l’ombre de la jouissance.
L’attraper et s’en délecter. Comme on mange le fruit mûr῀! Il était mûr. J’étais affamée. Une rencontre comme il s’en fait peu, sans mots.