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3.85/5 (sur 159 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Julie Cohen est une actrice, compositrice, chanteuse et directrice de casting.

Diplômée à l'Université Brown, Julie Cohen a poursuivi ses études à l'Université de Cambridge.

En 1992, elle obtient son diplômé de troisième cycle en littérature anglaise à l'Université de Reading.

Elle a donné des cours de littérature avant de se consacré à pleins temps à l'écriture.

Son premier roman publié a été finaliste de la Romance Writers of America’s 2004 Golden Heart.

Julie Cohen vit dans le Berkshire avec son mari et son fils.

site de l'auteure:
http://www.julie-cohen.com/

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Bibliographie de Julie Cohen   (12)Voir plus

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LA CHRONIQUE DE GERARD COLLARD - LES INSEPARABLES


Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Je pense souvent à la première fois qu'on s'est rencontrés.
On ne reconnaît pas toujours les moments qui seront importants pour nous, pas avant d'y repenser et d'y réfléchir, longtemps après. mais quand je t'ai vu la première fois, j'ai su même si je ne le voulais pas, que ma vie avait changé.
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Julie Cohen
Emilie éclata de rire. Elle sentait le vent dans son corps. La mer, immense, infinie, n'était que possibliités illimitées et liberté. Elle surprit le regard de Robbie. Il riait lui aussi.
C'est à ce moment-là qu'elle tomba amoureuse.
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Il avait quatre-vingts-ans, et, hormis sa cuisse qui l'élançait par temps de pluie à cause d'une ancienne blessure, il était plutôt en forme physiquement. Il se reconnaissait plus ou moins dans le miroir...Son corps possédait probablement encore dix années en lui, voire quinze. Préservées par le sel : c'est ce qu'on dit des vieux marins.
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Même à neuf heures du matin, il faisait trop chaud et trop humide pour sortir. Dès que l'on mettait le pied dehors, on transpirait : sous les aisselles, entre les seins, au-dessus de la lèvre supérieure. (...). Un oiseau blanc aux longues pattes se tenait, immobile, à côté du basin. On aurait dit une grue, et Emily se demanda ce qu'elle pouvait bien surveiller dans l'eau claire et stérile. L'oiseau pencha légèrement la tête quand son père passa à sa hauteur.
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« Louis et Louise sentent l’un comme l’autre la dernière ombre de vie qui fuit le corps de leur mère. À l’instant, il n’est plus ni passé, ni genre sexué, ni il ni elle. Ni peine ni trahison. Ni secrets ni espoirs émoussés. Seulement une mère et un enfant, l’enfant qui a grandi en elle, qui a tété son lait, l’enfant dont elle a soigné les petits chagrins, caressé les bonnes joues, qui s’est endormi, pelotonné dans ses bras. Les leçons apprises au fil du temps, les jouets achetés et délaissés, les vêtements roses, bleus, jaunes ou rouges, les choses qui façonnent une vie dans un sens ou dans l’autre, tout cela ne signifie rien à présent. Seul ceci a un sens. »
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« Ils ne parlèrent pas pendant la première heure ; ils naviguèrent ensemble, tendaient des bouts, hissaient des voiles, tiraient un bord, communiquant avec les yeux et l’expérience, ne mettant le cap sur aucune destination précise, mais laissant le vent les guider. Le bruit du bateau fendant les vagues et le souffle de l’air dans les voiles remplissaient le silence entre eux et faisaient partie de leur communication (…). »
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« Si quelqu’un entrait dans le jardin et lui demandait ce qu’il faisait là, à une heure du matin, dans cette petite location en stuc rose du quartier de Coconut Grove, à Miami, en Floride, pieds nus dans son jean, et buvant une Michelob, il ne saurait pas quoi répondre. Il pourrait raconter les faits, mais il n’y aurait aucun fil directeur pour relier ses propos, aucun moyen de leur donner du sens. Il serait incapable d’expliquer ces quelques dernières années, son fils qui dormait à l’intérieur et qu’il aimait, sa femme qui dormait à l’intérieur et qu’il n’aimait pas. »
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« Tu es mon commencement et ma fin, Emily, et tous les jours entre les deux. »
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[...] Mais à la naissance, leur sexe biologique est la première chose qu'on voit. La première question que tout le monde pose. Il détermine chaque choix auquel on procédera pour cette jeune personne, bien avant qu'elle puisse faire les siens.
A cet instant aussi, avant son premier souffle et son premier cri, Lou Alder concrétise tous les rêves de ses parents.
Pourtant ces rêves varient selon qu'il s'agit d'un fils ou d'une fille.
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« Ils faisaient du mal aux autres. Ils se faisaient du mal à eux-mêmes. Robbie se tenait suffisamment près d’elle pour n’être qu’une masse confuse d’ombre et de lumière, pour n’être que cheveux, yeux et peau, goût salé et parfum de tabac. Il avait la même odeur et le même grain que dix ans auparavant, quand ils n’avaient fait de mal à personne, quand toute la douleur n’était liée qu’à leur avenir. »
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