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4.38/5 (sur 320 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : 4 avril 1988
Biographie :

Elle vit dans la région Chartraine avec son mari et ses deux chiens adorés.

Passionnée de romance historique, bit-lit et new adult, elle dévore les livres par centaines.

En 2015, elle décide de se lancer elle-même dans l'écriture avec son premier livre "Un secret à travers le temps" (1er tome d'une trilogie sur les frères MacKintosh)

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Citations et extraits (56) Voir plus Ajouter une citation
Alors frérot, on se fait botter les fesses par une jolie donzelle ? Ah ! Non, c'est vrai qu'elle a plutôt préféré s'occuper du côté face !
– Laisse-le au moins reprendre ses esprits, Duncan, intervint Graig.
Alors que Darren commençait à se dire que finalement au moins un de ses frères était rattrapable, Graig ajouta :
– Avec le coup qu'il s'est pris, il faut le temps pour que le cerveau qu’il utilise le plus souvent, se remette du coup de genou qu'il a reçu !
N'ayant pas la force de répondre pour le moment à ces piques, Darren se contenta de grogner. Mais le son ne devait pas être bien impressionnant, s'il se fiait aux ricanements de ces deux idiots.
A ce moment-là, il vit le chef de sa garde qui s'approchait d'eux ;
– Ravi de voir que tu te remets de ta charmante rencontre, lança Broderick. J'avoue que c'est tout de même assez troublant de voir son chef mis KO par une si petite créature.
Après une pause, il ajouta en marmonnant dans sa barbe.
– Je dirais même vexant, si on tient compte du fait qu'aucun de nous n'a jamais réussi ce miracle.
– Depuis le temps que je vous dis que vous vous battez comme des fillettes de 10 ans, répliqua Darren, heureux de pouvoir inverser un peu les rôles.
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Quand il se retrouva avec la jeune femme -Lilou l'avait appelée Elise - dans les bras, Graig eut l'impression que tout était enfin à sa place. Elle lui avait paru petite de loin, mais de pres elle etait en fait minuscule.
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Il y avait un seul point noir dans ce tableau idyllique – enfin sans tenir compte de ce problème de renégats – si Élise lui avait ouvert son cœur, lui, n’avait pas eu le courage de lui expliquer qu’il était la cause de sa venue dans son époque. Il avait été tenté de lui dire la vérité à plusieurs reprises, durant leur discussion, mais il avait tellement peur de sa réaction. Alors, en bon égoïste qu’il était, il avait gardé ses mots pour lui afin d’avoir quelques instants supplémentaires à ses côtés. Il avait bien conscience qu’il allait bientôt devoir passer aux aveux. Mais il était terrifié par sa réaction. Bien sûr, il pourrait tout aussi bien ne jamais lui avouer sa part de responsabilité. Après tout, seul comptait le fait qu’elle soit là, peu importait comment elle y était arrivée. D’autant qu’elle n’avait jamais laissé penser qu’elle regrettait sa venue dans cette époque. Au contraire, elle semblait heureuse d’avoir retrouvé son amie.
Seulement, voilà, il ne voulait pas que leur relation soit basée sur un mensonge. Il se promit donc à lui-même qu’il n’irait pas plus loin avec elle, tant qu’il ne lui aurait pas dit la vérité.
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Mes yeux bleu-vert, que l’on disait saisissants, n’étaient plus pétillants de malice et prêts à charmer le premier garçon digne d’intérêt qu’ils croisaient. Ils étaient maintenant ternes et tristes. Combien de fois ma mère m’avait-elle dit : Arrête de faire tes yeux de Droopy. Je n’en avais aucune idée, mais cela faisait un moment que j’avais arrêté de compter. À l’époque, j’étais fière de mes formes en devenir. Elles avaient désormais dépassé mes espérances d’adolescente. Pourtant, aujourd’hui, je serais prête à payer tout l’or du monde pour échanger ce corps pour un autre. Je répondais certainement au canon de beauté, mais personnellement, je me sentais mal dans ma peau. Mais bon, l’heure n’était pas à l’apitoiement sur soi-même. Je devais me forcer à laisser toutes ces idées noires de côté.
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« Megan me mettait le cerveau complètement à l’envers. Or, plus je la côtoyais et plus je me disais que cette volonté de rester loin de moi n’était pas une lubie de sa part ou une tentative pour se faire désirer ou même parce qu’elle ne pouvait pas me saquer. Non, je commençais à me dire qu’elle avait vraiment besoin de limiter nos échanges et cela me faisait chier.
Pourquoi ? Parce que de mon côté, je voulais être aussi souvent que possible avec elle ‒ et je ne voulais pas réfléchir au pourquoi du comment de ce besoin. Cependant, je ne voulais pas pour autant la mettre dans une situation inconfortable. Bref, j’étais déchiré entre mes désirs et les siens qui, du coup, devenaient les miens. Autrement dit, c’était le vrai bazar dans ma tête. »
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« — Figurez-vous que oui. Je voudrais avoir le plus d’informations possibles sur la fille qui vient de quitter votre bureau.
Avec un claquement de langue, madame Findlay me répondit :
— Tsss, il n’est pas question que je te donne la moindre information sur cette fille. Si tu en veux, tu es un grand garçon, je suis certaine que tu peux aller le lui demander.
Ouais, sauf que je risquais d’y laisser mes couilles en cours de route. Or j’avais beau être intrigué par cette fille, je tenais trop à mon service trois pièces pour le mettre en danger.
Faisant ma tête d’enfant de cœur, je la suppliai :
— Allez, madame Findlay, s’il vous plaiiiiiiiiiit.
— Non, non et non.
Voyant mon air misérable, elle eut un soupir et je sus que je venais de gagner la partie.
— Il se peut que j’aie besoin d’un nouveau stylo et que je doive m’absenter durant deux minutes ‒ pas une de plus ‒ en oubliant de verrouiller mon ordinateur qui est resté sur le dossier de la personne précédente.
Comprenant où elle voulait en venir, je lui répondis avec un sourire éblouissant :
— Je pense en effet que le stylo que vous avez là est vraiment défaillant et qu’il vous en faut absolument un nouveau.
Avec un clin d’œil, elle s’éloigna. »
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« Seigneur, c’était un vrai bazar dans ma tête. Moi qui étais si fier de ma capacité à être détaché de tout, j’échouais misérablement dès que le paramètre « Scott » entrait dans l’équation. Il était ma kryptonite. Quand il était dans les parages, mon bon sens et mon self-control disparaissaient. Quoique la comparaison n’était pas tout à fait exacte, car Superman ne cherche pas à être en contact avec la fameuse pierre verte qui l’affaiblit et qui peut lui être fatal. En fait, j’étais plutôt comme un stupide papillon de nuit qui est attiré par une flamme et qui s’en approche, quitte à y laisser la vie. Je me suis toujours demandé si une part de lui avait conscience du danger qu’il prenait, mais qu’une autre plus grande lui soufflait de s’en approcher toujours plus près, jusqu’à lui être fatal.
Au bout de quelques instants, ce fut plus fort que moi. Tel ce stupide papillon, je me tournai dans la direction de celui qui m’obsédait. Officiellement, c’était pour vérifier qu’il n’avait pas besoin d’aide. Officieusement, bah, je vous laisse trouver la réponse comme des grands. »
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Il s’approcha donc d’elle, dans le but de la recouvrir. Il essaya de chasser son excitation de son regard, mais étant donné le regard qu’elle lui retourna, il supposa qu’il avait lamentablement échoué. Alors qu’il était quasiment collé à elle, il leva la main avec l’intention de lui caresser la joue pour la rassurer. Broderick lui lança au même moment :
— Attention, Darren, c’est elle qui…
Avant qu’il n’ait pu finir sa phrase, la jeune femme se transforma en une seconde en furie. Elle parvint, par il ne sait quel miracle, à lui décocher un coup de genou entre les jambes qui lui coupa net le souffle. Il n’avait jamais ressenti une telle douleur. Il eut l’impression que ses bijoux de famille remontaient jusque dans sa gorge pour se protéger de cette terrible créature. Une réaction instinctive le fit se pencher en avant. Grave erreur ! La diablesse en profita alors pour lui asséner… un magistral coup de boule en pleine tête.
Juste avant de perdre connaissance, il entendit Broderick terminer sa phrase dans un murmure.
— … a cassé le nez de Ian.
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L’amour, j’y crois, c’est simplement que je n’en veux pas pour moi. Il peut être la meilleure chose qui vous arrive s’il est pur et sincère. Mais il peut également faire votre plus grand malheur s’il n’est qu’une gigantesque arnaque. Je suis bien placée pour le savoir. L’amour peut vous anéantir et laisser des marques indélébiles, visibles ou non.
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— Où est-elle ?
Erwan, le plus téméraire des deux lui répondit :
— Nous pensions qu’elle était peut-être avec vous, laird.
— Comment ça, vous pensiez ? Vous étiez censés ne pas la quitter des yeux. Ce n’est pourtant pas compliqué comme ordre !
— Nous savons bien, mais elle nous a fait du chantage. Elle nous a affirmé qu’elle verrait avec vous pour régler le problème.
Angus, le deuxième homme chargé de protéger sa femme, renchérit :
— Alors, en ne la voyant pas revenir, nous avons pensé qu’elle était venue vous voir pour vous expliquer la situation.
— Mais êtes-vous complètement inconscients, bon sang ?! Si je vous demande de la suivre, ce n’est pas pour vous occuper ! Il ne vous est pas venu à l’esprit qu’elle pourrait être en danger, et que c’était justement pour cela que je lui ai assigné une garde rapprochée ?!
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