Jun Watanabe

Un manga d'horreur avec une malédiction ? Toujours partante ! Sept jeunes qui reviennent d'un voyage se perdent sur un chemin de forêt, ils perpécutent quelque chose... Quand ils voient qu'il s'agit d'une vache avec une tête d'homme, ils le frappent violemment. Tatsumi craint pour sa vie, il vient de voir cette vache étrange, un Kudan, une créature mythologique japonaise, lui prédire sa mort dans 7 jours...

Un peu à la manière de Re-member, une malédiction qui touche un groupe d'amis. Est-il possible de la lever ? Ils vont essayer ensemble d'arrêter ça. Les visages des jeunes gens semblent assez marqués par le trait de Jun Watanabe, mais convient bien pour ce manga d'horreur. Mais pourquoi Chizuru s'est-elle armée ? Un manga d'horreur en 6 tomes... On est vite dans le vif du sujet. Vite, le tome 2 !

Club N°54 : Manga non sélectionné

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Histoire intéressante qui nous plonge en pleine guerre entre des clans Yakuzas d'une même famille : au programme du suspense, des trahisons.



Je recommande pour les amateurs d'histoire de gangsters.



Sam

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Histoire de rivalité entre clan de Yakuza sur fond de légende de trésor caché.



Manque de profondeur et de rythme, trop lent.



Mel

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Pas mal dans le genre yakuza au grand cœur !



L'histoire est bonne !



Anthony

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Troisième tome toujours aussi haletant ! Notre petit groupe semble terrorisé mais en même temps, déterminé. Chacun a un passé douloureux derrière lui. Ici, on découvre un évenement troublant pour un des étudiants...

Il y a une tension permanente, parfois il y a un doute sur l'orientation du manga, va-t-il y avoir des réglements de compte ? Ces jeunes qui semblaient pleins de vie au début, ont l'air d'avoir chacun leur propre poids à porter. La suite va être difficile à attendre !

Série complète en 6 tomes (le tome 5 sort dans une semaine).

Chizuru a de lourds secrets, est-ce en lien avec le Kudan ? Quelques secrets sont découverts avec cette malédiction sur le groupe d'amis. Arriveront-ils à briser la malédiction ? Le professeur Tachibana, spécialiste dans le domaine des légendes, essaie d'empêcher cette condamnation mais le Kudan n'est pas une créature facile à berner. On apprend un peu plus sur les jeunes étudiants mais aussi sur la malédiction.

Un vrai page-turner, avec des frissons... Vite le troisième tome !

J'avais un peu oublié cette série dont j'attendais la disponibilité des tomes suivants mais l'histoire est très prenante ! Hikaru est au centre de cette mystérieuse affaire, pourquoi le Kudan a-t-il pris son visage ? Le passé de Hikaru est énigmatique aussi, après plusieurs morts, il y a une sorte d'enquête sur le Kudan et Hikaru, quel est le lien entre les deux ? Plus que deux tomes avant de connaitre le dénouement de ce mystère !

On atteint des sommets pour la conclusion de la série ! Ne craignez pas les scènes d'horreur pures, entre le violent accouchement et l'agression en masse, on est servis ! Hikari veut se sacrifier pour l'humanité (d'ailleurs on se désole de tant de violences...)

On s'étend un peu trop dans le violent, et sanglant à mon goût mais on arrive enfin au terme de la série. Un peu prise au dépourvu par ce changement entre une malédiction d'un groupe d'amis qui grandit en une malédiction d'un autre genre... Les visages des protagonistes arrivent à bien faire passer les émotions (même si j'ai eu du mal avec les filles que j'ai eu du mal à distinguer, la faute aussi à une attente un peu trop longue entre les tomes). La fin laisse le lecteur sur un questionnement... brrr !

Cinquième et avant-dernier tome, l'intrigue évolue un peu, d'une malédiction on passe à un phénomène de plus grande ampleur... Les survivants ciblés par le Kudan ont chacun un nouveau rôle dans la dernière phase de la malédiction. Hikaru est celui qui intrigue le plus : qui est-il donc vraiment ? La dernière scène du tome entre Mai et lui avance peut-être un élément de réponse...? La conclusion arrive bientôt !!

Un soir en heurtant, avec leur voiture, une vache a tête humaine, un groupe de jeunes adultes, désormais maudits, vont se faire décimer l’un après l’autre...

Une série de manga’s seinen, terminée en 6 tomes, dans le genre thriller fantastique d’horreur dans laquelle le mangaka présente une image plutôt pessimiste de l’humanité (sans toutefois verser dans le désespoir complet), basant son histoire sur une créature pas trop connue, issue de la mythologie japonaise, le Kudan (un yôkai qui naît avec le visage d’un homme et qui prophétise une catastrophe dès sa naissance. Après quoi il meurt... renaît... etc.)



Ce n’était pas un coup de coeur même si j’étais scotchée par l’intrigue électrisante qui m’a fait enchaîner les six volumes dans lesquels les indices sont distribués au compte-gouttes afin de savoir comment désamorcer la malédiction.

L’approfondissement des caractères des protagonistes laisse un peu à désirer, mais j’ai apprécié les physionomies humaines (et particulièrement les nombreux gros plans sur les yeux) exprimant toute une gamme d’émotions, dans un graphisme net et franc avec des arrière-plans détaillés... et quelques scènes bien gores.

Une suite qui prend de la vitesse, les événements s'enchaînent et prennent une tournure dramatique. Les héros de ce manga, Miku et Yamato, ne savent toujours pas à qui faire confiance. Ils sont toujours en possession des 300 millions de yens, ils se sentent de plus en plus menacés.



Un manga sombre et violent sur fond d'intrigue policière bien ficelée qui donne envie de continuer la lecture de ce seinen.

Je ne suis pas un adepte de la série au cinéma de la franchise Destination finale pourtant, j'ai aimé ce titre qui se situe dans la même veine. Il est question d'un monstre mythologique japonais qui était capable de prédire des choses pas toujours très bonnes. Sept étudiants vont en faire l'amère expérience après avoir mal réagi à un stupide accident de voiture sur une route isolée de montagne.



L'efficacité est réellement de mise. On ne perd pas au passage une seule miette de cases. On est véritablement dedans. C'est plutôt rare quand cela m'arrive pour un manga d'où cette note un peu élevée. Je dois dire que c'est plutôt bien construit avec quelques surprises de taille dans le déroulé des événements.



Au final, on aura droit à un bon divertissement dans le genre thriller fantastique.

Cette histoire est tirée d'un fait véridique: un casse de 300 millions de yens à savoir un braquage ayant eu lieu au Japon le 10 décembre 1968. L'affaire reste encore à ce jour irrésolue. La photo du braqueur fut à l'époque largement diffusée. Le titre de cette série s'inspire directement de cette photo montage.



C'est un seinen assez efficace mais la longueur de celui-ci aura eu raison de ma patience. L'auteur a su insuffler une atmosphère un peu paranoïaque où notre héros se méfie de tout le monde. Par ailleurs, j'ai bien aimé son style graphique assez réaliste.



Par la suite, cela va se gâter avec des rebondissements pas très crédibles. C'est une série qui aurait sans doute gagné à être plus condensée. A faire dans l'exagération, on peut perdre son public à moins d'aimer cela. Je garde tout de même la moyenne.

Voilà un manga qui joue la corde du thriller qui mérite l'attention. A partir d'un fait réel, le vol de 300 millions de Yens en 1968, Jun Watanabe va inventer sa propre version des tenants et aboutissants de l'affaire jamais élucidée. Il nous balade dès lors entre 1968, 2004 et 2010 de manière fort fluide et cohérente afin d'immerger le lecteur au maximum. Il en ressort un climat et une intensité dans le récit, digne des très bons polars.



Tout débute en 2004 quand Yamato (10 ans) découvre un policier mortellement blessé qui lui apprend que son père est l'auteur de ce casse du siècle... Cette révélation va hanter Yamato à un point tel qu'il finira par se mettre lui-même en quête de la vérité... Difficile chemin où il devra affronter des individus bien décidés eux aussi à récupérer le pactole (à moins qu'ils ne cherchent à empêcher la vérité d'éclater).



Je regretterai l'habituelle manoeuvre qui consiste à débrider les yeux des personnages principaux afin de les lisser et de les rendre neutres, prêts pour tout lecteur. Cela ne me semble pas nécessaire. Mais peut-être est-ce requis pour le marché international.



Sinon, c'est très agréable à lire, très clair. La machination dont sont victimes les deux adolescents qui se lancent dans une enquête les dépassant est implacable. Cela faisait longtemps que je n'avais pas été happé de la sorte par un scénario.

Un troisième tome qui retrace les événements qui ont conduit à la fuite des jeunes Miku Odagiri et Yamato Narumi.

Ce seinen éclaire le lecteur sur les origines du vol des 300 millions de yen en nous présentant les personnages clés.

Plus violent, Jun Watanabe nous plonge dans l'univers des yakuzas et de la mafia japonaise qui règnent en gang sur la ville de Tokyo. L'intrigue se dévoile tout en conservant un suspense haletant.

A ce niveau de la série, Montage tient son lectorat et donne envie de découvrir la suite.

Cela faisait bien longtemps qu'un manga ne m'avait pas autant captivé (cela remonte à ma lecture, il y a des années du sublime Monster - les deux mangas étant pour moi comparables au niveau intensité de lecture/plaisir+++).



Deux premiers tomes menés tambour battant où les personnages principaux sont mis sous pression et doivent réagir et faire des (bons) choix pour découvrir le passé. Aucun temps mort pour une lecture effrénée ! J'ai trouvé que le récit alternait habilement les scènes de 2004 (au début) celles de 2010 et les flashbacks de 1968, donnant un rythme intéressant à l'histoire. Le lecteur apprendra assez vite que certains membres de la police sont corrompus et en contre partie les ados trouveront des alliés inattendus.



Si je résume bien : un scénario accrocheur, un très bon rythme, un dessin très réaliste, une vraie réussite pour le moment. Je suis impatient de lire la suite.
Lien : http://fromtheavenue.blogspo..

Dans ce second opus de Montage, nous suivons Yamato et son amie, en fuite et tombés dans un traquenard monté contre eux. Toutes autorités japonaises sont à leur trousse. Ils ne savent pas à qui faire confiance, il leur faudra pourtant trouver une solution pour protéger leur secret et les 300 millions de yens.



Dès ce tome, on sent bien que, comme dans la plupart des séries manga, l'action va s'étendre et se prolonger sur plusieurs seinen. Par conséquent, ce livre est beaucoup plus lent que le précédent, moins d'action, moins de suspense...

À voir dans le troisième tome.

Voici le premier tome du manga Montage, un volume que je trouve réussi et qui tient son lecteur en haleine. Entre suspense et angoisse, Jun Watanabe nous plonge dans les limbes du thriller psychologique.

Deux enfants, un garçon et une fille, rentrant de l'école, se retrouvent en face d'un homme sur le point de mourir et qui annonce au garçon que son père est l'auteur du vol des 300 millions de yens d'une banque de Tokyo, célèbre crime qui a marqué les esprits. Les deux enfants prennent le parti de ne rien dévoiler de cette drôle d'histoire. Quelques jours plus tard, le père du garçon meurt, accident ou meurtre ? Rien n'est certain.

Puis, nous retrouvons les personnages principaux quelques années aprés ce jour dramatique. Ce sont des adolescents désormais qui vont se retrouver plongés dans l'enfer de cette histoire. Un thriller psychologique dans lequel on ne sait pas qui manipule qui.



Un premier tome qui présage un bon seinen.

Une série passionnante pour les fans de thriller, qui continue à nous faire cavaler à un rythme très soutenu.
Lien : http://www.bdencre.com/2014/..

Voici le cinquième tome de la série Montage, certaines intrigues commencent à se dénouer mais d'autres viennent s'ajouter faisant de ce manga un thriller haletant. Je trouve que le rythme est un peu moins soutenu que précédemment amis l'histoire n'en reste pas moins énigmatique et mystérieuse. La violence s'accentue de volume en volume, âmes sensibles s'abstenir car il y a des meurtres, du sang, beaucoup de sang...

Un cinquième tome qui démarre avec la trahison de Taisei Suzuki, le professeur des deux fuyards, Miku et Yamato (dont le père est supposé être le coupable du vol des 300 millions de Yens plusieurs décennies auparavant). Il drogue leur café et détache leur prisonnier, le policier Sekiguchi, responsable de plusieurs meurtres déjà, dont celui d'Akira Shôji, un autre policier quelques années plus tôt.



Shôji avait été trouvé mourant par Miku et Yamato, et leur avait révélé la nature du père de Yamato. Les deux fuyards sont récupérés par l'agent de quartier Mizuhara, au flair assez improbable. Il est tombé amoureux de Natsumi Nakano, qui a aidé les fuyards et a un gros faible pour Yamato.



Ce tome 5 est alors centré sur Akira Shôji à travers l'enquête que va mener le trio composé de Miku, Yamato et Mizuhara. On découvre que Shôji était fort proche d'un ancien yakuza... qui n'est autre que le grand-père d'une charmant donzelle filiforme qui tombe derechef amoureuse de ce bénêt de Yamato qui ne compte pas en profiter. La vie est si mal faite, finalement.



En même temps, Sekiguchi se rapproche de la mère de Natsumi. Et on découvre aussi le lien entre le temps présent et 1968... Quelques personnages-clés de 1968 sont devenus de puissants notables en 2010...



Quelques fils se résolvent et d'autres apparaissent. le suspense est bon, même s'il est un peu plus capillo-tracté (autrement dit: tiré par les cheveux) que précédemment. Au terme de ce tome, on a clairement envie d'en savoir davantage.

Un quatrième tome très tendu, glauque avec des frissons et de l'angoisse.



Un nouveau billet de 10.000 yens du casse du siècle a refait surface. Qui l'a envoyé. Yamato soupçonne Natsumi. Miku doit la contacter. Mais elle tombe sur l'inspecteur Sekiguchi qui a finalement relâché Natsumi. Celle-ci est allée à la police et tombe sur un jeune policier qui la croit. Ils se rapprochent et élaborent une stratégie commune.



Miku passe un pacte avec Sekiguchi. Dans un parc isolé, sur une île, la nuit, elle lui apporte de l'argent, les clés des valises contenant l'argent et compte lui dire où il se trouve. Lui n'est pas décidé à jouer le jeu. Il la maîtrise et s'apprête à la violer. Les scène sont très brutales et explicites. C'est cru et réaliste. Le feu dans le regard de Sekiguchi est malsain.



Yamato et Taisei pensent arriver trop tard. Mais ils découvrent Sekiguchi mortellement blessé par balles. L'honneur de Miku est sauf, mais quelque chose semble s'être brisé en elle.



Au terme d'un tome intense et tendu, les questions resten les mêmes. Où sont les billets de 500 yens? Qui commandite le tout dans l'ombre? Que cherche réellement Taisei dont l'attitude est équivoque? Où sont les parents de Miku? Quels sont les plans de Natsumi? Que va faire Yamato de Sekiguchi, qu'il a déjà torturé?



Thriller impeccable, magnifiquement mené.