Kate Reed Petty

Comment parler de la société de consommation à vos enfants ? Comment leur faire comprendre que ce n’est pas forcément utile de vouloir le dernier téléphone portable à la mode quand le sien fonctionne ? la dernière paire de chaussures de telle marque pour paraître plus tendance auprès de ses potes ? Difficile de leur faire comprendre que la mode incite à l’achat et non à l’économie et au développement durable. La raison peut-elle être plus forte que les apparences ? C’est possible à condition d’avoir des convictions et on peut en avoir dès le plus jeune âge. Et il faut aussi des parents qui ont conscience de l’intitulé de la surconsommation. Cela fait beaucoup de facteur à réunir pour faire passer un message. Mais c’est une jolie tentative élégamment menée. D’ailleurs, c’est pour cela que l’histoire se déroule dans un autre monde et pas le nôtre. On peut considérer que vouloir sensibiliser la jeunesse c’est un peu de la fiction aussi. Toutefois, c’est très bien amené en faisant le choix d’une part du jouet. Jusqu’à l’adolescence le jouet a encore un intérêt et un sens, même s’il mute d’une peluche à jeu vidéo. Et d’autres parts sur l’amitié entre deux personnes différentes qui apprennent à se connaître, s’apprécier et se soutenir. Un joli message de tolérance qui touchera éventuellement un ou deux lecteurs. Malgré cet admirable message sur réparer plutôt que jeter, j’aurai apprécié une histoire un peu plus fournie, poussée et moins légère. On a l’impression que beaucoup de temps a été pris pour installer l’univers les personnages et en arrivant vers la fin il fallait absolument conclure. On a passé la seconde d’un coup et tout se précipite. On dirait un tome introductif à une série ce qui n’est pas le cas. Dommage.
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Une BD mignonne et sympathique, ni plus ni moins.
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Destinée aux enfants, cette sympathique histoire toute simple met en avant de vraies valeurs : la tolérance, la persévérance et les liens d’amitié. Les adultes passeront leur chemin.
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Je me suis offerte cette petite merveille pour (à cause de ?) l’illustrateur Boya Sun que j’ai découvert grâce à l’excellente série 5 Mondes (un space opera écologique, jeunesse dont j’attends le 5è et dernier tome impatiemment). Ici, je retrouve avec plaisir son trait rond et ses couleurs acidulées et ce n’est que du bonheur 😍🍭🍬.



Chasma est un monde mignon et coloré où les jouets sont vivants et victimes de la surconsommation. Effectivement, ses habitants sont très prompts à acheter et jeter sans réfléchir plus loin que la dernière nouveauté avec laquelle « fusionner ». Fusionner ? Mais qu’est-ce donc ?! Selon le jouet, de quoi il est fait et son level, les personnes acquièrent de nouvelles capacités comme voler, se transformer, avoir un sac à dos chat, etc. Et tout le monde peut fusionner, enfin… à part les Chevaliers Néon bien sûr. Et c’est ce qu’est Béryl. Mais, notre petit chevalier ne baisse pas les bras pour autant et compte bien compenser son handicap par une ingéniosité hors du commun !



Ce roman graphique est clairement destiné à de très très jeunes lecteurs (entre 6 et 10 ans). Il aborde le problème de la surconsommation : pourquoi jeter quand, comme Béryl, on peut récupérer, réparer, ré-inventer ? Et ça, ça va créer des ingénieurs en herbe ! 😂 Responsables en plus et on en a besoin. D’autres thèmes comme l’handicap, la différence, la tolérance/bienveillance et l’amitié viennent parachever une histoire absolument adorable servit par des dessins de toute beauté.



J’ai passé un très bon moment cocooning où je m’en suis pris plein les mirettes. C’est fun et coloré, et ça plaira sans aucun doute à vos enfants (intérieurs ou pas 😂).
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Alors peut-être serez-vous freinés par ce côté pimpant, ambiance sucre candy, détrompez-vous, Chasma Knights est surtout un excellent one-shot, très moderne et enthousiasmant, que je vous conseille vivement de découvrir, sans plus tarder !
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Le sujet choisi est très sérieux. En effet, aux Etats-Unis mais comme partout au monde, des affaires de pollution des eaux par des industriels restent courantes. Des politiques et des médias tentent d'étouffer les affaires contre un peu d'argent ou de réseau. Il devient alors important que les citoyens prennent les commandes pour dénoncer les dangers et souligner les risques. La pression en face sera forte car nous ne sommes pas dans la même économie de moyen. C'est de tout à chacun de se mobiliser. Il n'est pas question d'âge, plutôt de motivation et de curiosité. Surtout cela ne s'effectue pas tout seul dans son coin. L'importance de la communauté, des proches, des amis, de la famille reste capitale. Le message est très fort et très bien amené. L'écologie est un sujet qui concerne de plus en plus les plus jeunes. Ce n'est nullement un hasard si l'ouvrage s'adresse à un public âgé entre 9 et 10 ans. Le graphisme arrondi et ultra coloré les convaincra d'autant plus. Même si je pense que le format est trop grand car on a une impression de pixélisation. On a l'impression d'avoir étiré les images pour avoir une sorte de format A4.
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Le titre et le résumé de cette bande dessinée m’attiraient énormément, j’étais curieuse de me plonger dans cette enquête et j’ai bien fait de me laisser tenter car j’ai passé un bon moment.



On va très vite faire la connaissance de Ruth et on va la suivre avec plaisir. Elle est super attachante et touchante avec sa détermination à vouloir dénoncer les choses. J’ai aimé sa motivation à créer sa newsletter et le temps qu’elle y consacre, on ressent réellement qu’elle a du caractère.



Le côté écologique de cette histoire quant à la qualité de l’eau est lui aussi très intéressant et très bien amené. Il y a un certain suspense qui est maintenu jusqu’à la fin et c’est ce qui fait qu’on tourne les pages et qu’on passe un bon moment.



Le côté journalisme est également très intéressant et il se mélange très bien à l’enquête et au côté écologique.



Quant aux illustrations, elles apportent vraiment un énorme plus à l’histoire et elles nous permettent vraiment de nous imprégner des différents thèmes abordés.
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Une bande dessinée aux airs de vieux jeux vidéo, dans laquelle on suit une jeune fille pleine d'ambition, qui rêve de devenir journaliste.



Ce livre paraît énorme, mais il se lit très rapidement. J'ai apprécié les illustrations, mais je comprends qu'elles ne plaisent pas à tout le monde. Je pense cependant que leur simplicité parlera davantage aux jeunes lecteurs.



Le personnage principal est attachant et ambitieux, c'est agréable de voir une jeune ado aussi déterminée !
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Ruth est une jeune journaliste qui enquête sur la présence d'une substance suspecte dans un lac voisin. Avec elle, le lecteur devra déjouer les pièges des rumeurs, fake news et manipulations, et surtout aller à la recherche d'informations fiables et vérifiables.



Une bande dessinée à mettre dans les mains de tout jeune ado pour comprendre, dans le cadre d'une fiction, la fabrique de l'information et le travail journalistique. Un dessin coloré et en rondeurs, aéré, un découpage en grandes cases, qui invitent à la lecture et facilitent la compréhension.

Sincèrement, je n'étais pas hyper emballée à l'idée de lire cette BD. On a déjà vu des couvertures plus attractives, plus modernes que celles-ci... Néanmoins, j'étais curieuse de voir comment le thème du journalisme y était abordé.



J'ai plutôt été convaincue par l'intrigue proposée. En dépit du fait qu'elle s'adresse à un jeune lectorat (dès 9-10 ans, contrairement à ce que suggère le nom de la collection) elle propose une vision réaliste, bien qu'édulcorée, du métier de journaliste. Le personnage principal de Ruth est convaincant, elle est entêtée mais sait aussi reconnaître et apprendre de ses erreurs. En ce qui concerne les dessins, je dois avouer que je n'en suis pas fan. Leur style manque un peu de finesse à mon goût.



En somme, "Enquête en eau trouble" est un one shot qui se lit facilement et présente l'intérêt de sensibiliser les lecteurs à la protection de l'environnement.

Le récit bien rythmé et riche en rebondissements se lit d’une traite. À l’heure des fake news, le lecteur apprend aussi les exigences de la déontologie journalistique : chercher la vérité et s’en tenir aux faits.
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Coup de coeur inattendu pour cette BD jeunesse de 240 pages ! J’ai été emballée par le thème abordé (la pollution) : un vrai sujet de société. La jeune Ruth applique une démarche journalistique et mène une enquête rigoureuse, non sans quelques erreurs d’appréciation au départ (qu’elle corrige par la suite). Ce sont aussi les fake news qui sont questionnées. Le dessin m’a vraiment emballée, j’ai adoré le style et les couleurs utilisées ! Je vous recommande donc avec plaisir cette belle BD jeunesse qui ne prend pas ses lecteurs pour des idiots.

Ruth rêve d'être journaliste. Elle a créé une newsletters où elle décrypte des faits locaux pour ses abonné.e.s. Des choses du quotidien assez légères, jusqu'à ce qu'elle remarque une étrange substance sur les rives du lac...



L'eau est une ressource inestimable. Malheureusement, elle est souvent mise à mal par l'activité humaine. Ce roman graphique s'inspire d'un fait dramatique pour évoquer la protection de l'environnement, la guerre de l'information, le trafic d'influence, le poids de la parole des adultes contre celui des enfants, etc. C'est une histoire très bien construite, avec de chouettes illustrations et d'une grande pertinence sociétale. A lire à partir de 9/10 ans.

Une jeune fille intrépide qui veut devenir journaliste découvre les qualités nécessaires pour mener une enquête qui va susciter l’intérêt général, et pour cause, elle découvre un scandale de pollution de l’eau dans la ville où elle habite !



Bien mené, avec du suspense qui donne envie de tourner les pages et une réelle réflexion sur l’enjeu du journalisme d’investigation. Parfait pour la sensibilisation des plus jeunes à l'éducation aux médias !



Seul bémol, le graphisme un peu trop enfantin par rapport au public cible.



À partir de 10 ans.

Alice nous raconte l'histoire qui a chamboulé sa vie. Lors d'une soirée bien arrosée, on l'a ramené chez elle, mais elle ne se souvient de rien. Que s'est-il passé exactement ce soir là dans la voiture ? Ou comment une simple rumeur peut te détruire.

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J'ai beaucoup aimé le style du roman. On a plusieurs points de vue, et plusieurs genres de narration. Ça peut paraître étrange, mais cela s'intègre très bien au récit, et montre comment la psychologie d'Alice évolue suite à cette rumeur.

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En bref, j'étais très curieuse de ce titre, et je n'ai pas été déçu de ma lecture. Une histoire très prenante jusqu'au dénouement.
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J'ai fini le livre True Story de Kate Reed Petty depuis plusieurs jours mais il m'aura fallu ce temps pour digérer la fin, réfléchir et me faire un avis sur ce livre.

L'auteur a choisi de nous faire raconter l'histoire, cette histoire "vraie", par plusieurs narrateurs, sous différents formats (style roman avec narrateur qui emploie le je ou le tu, lettres, mails, scénarios de films...) et à différentes dates. J'ai bien aimé l'alternance de tous ces styles qui donnent un rythme au livre et renforcent l'impression de puzzle dont il nous faut assembler les pièces.

Mais juste après la lecture j'étais très déçue par la fin, "tout ça pour ça !".

Je m'attendais à une autre révélation finale.

Sauf que depuis, cette histoire tourne et retourne dans ma tête. J'y repense beaucoup et c'est peut-être ça le génie de l'auteur : c'est un roman qui nous fait réfléchir, turbiner. Nous ne sommes pas un lecteur passif. Une fois le puzzle assemblé, il nous faut prendre du recul pour bien voir et comprendre l'image d'ensemble.

Donc au final et après un temps de réflexion, je recommande ce livre aux lecteurs qui aiment réfléchir et se laisser hanter par un livre.

Je remercie Babelio et les Éditions Gallmeister pour m'avoir confié cet ouvrage dans le cadre d'une opération « Masse Critique ».



Les membres de l'équipe de crosse des terminales du Lycée de Baltimore aiment s'amuser, sortir avec des filles, participer à des fêtes « légendaires » comme ils les appellent.

Lors d'une soirée particulièrement arrosée, Alice, une fille d'école privée, se retrouve complètement ivre sur la banquette arrière de la voiture dans laquelle la raccompagnent deux garçons de l'équipe de crosse: Max et Richard.

Ensuite, Max et Richard rejoignent leurs amis Nick, Ham et Alan au Denny's. Halay, la meilleure amie d'Alice, est présente elle aussi. Là, les deux garçons se vantent d'avoir abusé d'Alice alors qu'elle était inconsciente. Et la rumeur se répand … les versions diffèrent. Quant à Alice, elle ne se rappelle de rien.



Les années passent mais la question reste : que s'est-il réellement passé ce soir-là ?

Quelles vont-être les répercussions de cette rumeur sur l'avenir des personnes impliquées ?



Un roman d'abord déstabilisant par la diversité de narrateurs, chacun nous apportant une vision différente des faits. Le lecteur est perturbé par ces histoires insolites ou contradictoires et par les diverses structures du texte (narration, scripts, lettres, mails, textos, …) qu'il essaie d'emboiter tel un puzzle pour enfin arriver à l'acte final.



J'ai été littéralement captivée par l'intrigue du roman qui frôle parfois le livre d'horreur mais aborde également des sujets sensibles comme l'abus sexuel, le harcèlement, l'alcoolisme ou la manipulation.

Je me suis d'ailleurs sentie intelligemment manipulée au fur et à mesure des pages, ce qui a renforcé davantage encore ma réflexion sur l'incertitude.



La partie durant laquelle Alice rédige sa lettre de candidature à l'Université m'a particulièrement marquée.



Ce roman magistral m'a rappelé la métafiction « Exercice de Confiance » de Susan Choi que j'ai lu il y a quelques mois et qui m'avait déjà beaucoup plu. Kate Reed Petty pousse encore plus loin la méditation sur le pouvoir de l'écriture.



Une auteure à suivre …

Un premier roman étonnant. J'ai adoré le style, original, avec différents points de vue, au fil des années. @pettykate



[Talentueuse mais solitaire, Alice Lovett prête sa plume pour écrire les histoires des autres. Pourtant elle reste hantée par la seule histoire qui lui échappe : sa propre vie. Une simple rumeur, lancée en ce lointain été 1999 par deux ados éméchés, a embrasé en un rien de temps toute la communauté. Que s'est-il réellement passé sur la banquette arrière de cette voiture alors qu'ils ramenaient Alice, endormie, chez elle ? Accusations, rejets, déni, faux-semblants... la réalité de chaque protagoniste vacille et reste marquée à tout jamais. Et quand le présent offre une chance de réparer le passé, comment la saisir ? Faut-il se venger ou pardonner ? Ou mieux vaut-il tout oublier ? Mais peut-on oublier ce qu'on n'a jamais vraiment su ?]

une soirée de lycéens américains. Le lendemain, deux garçons se vantent d'avoir abusé une jeune fille. Celle-ci, ivre, n'a aucun souvenir des faits.

La rumeur court et emporte tout sur son passage:

- la jeune fille qui ne parviens pas à se construire sans savoir ce qui s'est réellement passé

- les deux jeunes hommes dépassés par la situation

- et finalement tous ceux qui croiseront les protagonistes de près ou de loin.

Ne vous attendez pas à un roman classique: les narrateurs changent, les formats littéraires aussi: scénarios de film, lettres de motivation, narration plus classique...

il ne s'agit pas d'un exercice de style vain mais de rendre compte de la confusion entrainée par la rumeur et l'auteur y parvient admirablement?

J'ai beaucoup aimé ce livre qui donne vraiment à réfléchir car il ne se contente pas d'aborder la psychologie de la jeune fille. Les questions posées sont plus vastes: aide t on vraiment quand sans savoir nous pensons connaitre la vraie version ? comment un évènement dont qqn n'a pas de souvenir peut il être si déterminant ? quel rapport à l'alcool après une expérience aussi traumatisante pour tous ? ...J'y penserai encore longtemps. En attendant je vous le recommande.

Kate Reed Petty nous dévoile ici son premier roman, True Story, dont le titre est non traduit mais où la traduction française semble très bien faite.



Deux sujets plutôt actuels sont évoqués ici : les conséquences d'une rumeur et les violences faites aux femmes.



Après une soirée arrosée de l'été 1999, une rumeur court concernant Alice Lovett et deux joueurs populaires de cross sur un campus américain : Alice aurait été raccompagnée et violée par ces deux joueurs.



J'ai littéralement adoré la forme narrative de ce récit qui est indéfinissable : une narration principale, des mails, une pièce de théâtre, différents styles d'écriture... Impossible de définir un genre littéraire pour ce livre si particulier, et c'est ce qui fait sa force aussi.



Haley Moreland était la meilleure amie d'Alice. Nick, lui, était amoureux d'Haley, mais c'est aussi celui qui a été accusé.



Quelles sont les conséquences sur une fille d'une jeune fille violée jeune par ses camarades ?

Quelles sont les conséquences d'une rumeur sur les personnes impliquées au court de leur vie ? Quelles vont en être les répercussions pour les autres interagissant autour des principales personnes concernées ?



Nous allons suivre ici leur parcours de vie, sous cette narration étrange, avant d'avoir à la fin un twist final intéressant qui va accorder toute la lumière sur cette sordide soirée d'été.



Contrairement à ce que j'ai pu lire, je n'ai pas trouvé que c'était un livre dédié à la suprématie des hommes sur ce type d'histoire, mais au contraire un point de vue des "deux" parties et une quête pour savoir comment démêler le vrai du faux.



En bref, je recommande à 100% ce roman si original et tant d'actualité.



Petite parenthèse concernant les éditions Gallmeister et la collection Totem, je découvre depuis peu leurs livres et je dois dire qu'ils aiment dénicher et éditer des pépites à chaque fois !