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EAN : 9782351782132
448 pages
Gallmeister (19/08/2021)
3.62/5   448 notes
Résumé :
Talentueuse mais solitaire, Alice Lovett prête sa plume pour écrire les histoires des autres. Pourtant elle reste hantée par la seule histoire qui lui échappe : sa propre vie. Une simple rumeur, lancée en ce lointain été 1999 par deux ados éméchés, a embrasé en un rien de temps toute la communauté. Que s’est-il réellement passé sur la banquette arrière de cette voiture alors qu’ils ramenaient Alice, endormie, chez elle ? Accusations, rejets, déni, faux-semblants… la... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (108) Voir plus Ajouter une critique
3,62

sur 448 notes
Rentrée littéraire 2021 #14

Une rumeur qui court dans un campus américain. Qui dit qu'après une soirée très arrosée, Alice aurait été abusée sexuellement par deux étudiants qui s'en sont vantés le lendemain lors du debriefing matinal de la fête. Elle ne se souvient de rien mais il faudra vivre avec, se reconstruire en ignorant ce qui lui est arrivé. Est-ce que seulement cela lui est arrivé ?

Pour raconter le pouvoir dévastateur d'une rumeur, Kate Reed Petty choisit de construire son récit comme un étrange kaléidoscope, à l'image de la mémoire fragmentée d'Alice depuis le traumatisme subi. Alternent ainsi des scénarios de films écrits par Alice et sa meilleure amie Haley, des brouillons de lettres de candidatures universitaires, des lettres d'Alice à Haley, mais aussi des chapitres à la première personne faisant porter la voix d'Alice et de Nick ( un des amis des supposés agresseurs ) et des chapitres à la troisième personne pour proposer le point de vue masculin de Richard et Max, ceux qui auraient agressé Alice. le récit brouille audacieusement les pistes façon puzzle pour démêler le vrai du faux jusqu'à un final surprenant qui donnera la clef.

Cette audacieuse structure narrative pourrait n'être qu'un exercice de style, virtuose mais creux. Ce n'est absolument pas le cas. Si quelques longueurs m'ont fait perdre le fil, si le dispositif tient l'émotion quelque peu à distance, Kate Reed Petty décortique brillamment la mécanique de la rumeur en montrant comment elle prend forme et est reçue, comment elle détruit tout sur son passage, victime comme bourreaux supposés, colporteurs et entourage, comment elle hante tout ceux qui la côtoient quelle que soit leur position initiale. L'occasion également de dresser le portrait cruel du monde universitaire, avec ses codes, ses meutes, ses marginaux et une pression exercée au nom de la réussite.

Le plaisir de lecture a été très cérébral , lié à la maitrise formelle de ce premier roman troublant et addictif, qui se joue des genres en toute liberté ( très proche du thriller psychologique ) et tient le lecteur en haleine en bousculant ses certitudes, sur les thématiques graves de la culpabilité, du harcèlement, de la place que nous accordons à la vérité et du mensonge dans nos vies. Il m'a manqué cependant de vibrer aux diapasons des personnages pour que le roman laisse une empreinte forte, je suis restée trop en surplomb de l'intrigue.
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Entre " True story " et moi, ça partait bien : un sujet qui m'intéresse, une façon de raconter originale.
Oui, mais après quelques pages, cet aspect là m' a lassé, ennuyé. Les faits s'étalent sur trop d'années, trop de supports d'écritures. On a aucune linéarité, aucune fluidité. Des extraits de brouillons de candidatures pour rentrer à l'université recommencés sans cesse, des extraits de scénarios conçu par deux adolescentes, la vie d'Alice, celle d'Haley, celle de Nick , des entretiens enregistrés ... C'est long , très long .
Pourtant, tout partait bien entre True Story et moi...
Un lycée américain, des garçons qui font partie de l'équipe de crosse, qui comptent sur leurs résultats spotifs pour décrocher des bourses, des bonnes facs. Un soir, après une fête, deux d'entre eux raccompagnent une fille (Alice) très alcoolisée, chez elle. Plus tard , ils se vanteront de l'avoir sérieusement tripotée. Une de ses anciennes amies entendra cela, répetera cela, et Alice passera pour la fille violée sur une banquette arrière mais qui ne se souvient de rien. Nos champions démentiront, très soudés . L'un d'entre eux y perdra celle qui aurait pu devenir sa petite amie, par solidarité envers le groupe (masculin). Il y perdra aussi un peu de son innocence.
On les suivra des années 1990 jusqu'à 2015.
Mais pas forcément avec grand intérêt ...
Ce roman aurait mérité une lectrice plus patiente, mais c'est une "True story de lectrice, où grandes attentes et une grande maison d'édition, ne riment pas forcément avec "plaisir de lire".
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Un roman malin et énervant.
Ca commence comme dans un film pour ados américain, avec la petite ville et son lycée, ses joueurs de la crosse qui se prennent pour des cadors, leurs hormones en folie, leurs fêtes alcoolisées... et les filles qui trinquent. Et puis, on suit quelques personnages à des périodes différentes, en se demandant "où veut en venir l'auteur ?".

Car Kate Reed Petty mélange les genres (mystère, autobiographie, horreur...) et formats (scenarii, brouillons de lettres, mails...) pour fabriquer un roman insaisissable, constitué d'un amas de pièces de puzzle qui ne s'imbriquent les unes dans les autres que dans les toutes dernières pages. Même si j'ai admiré l'audace de tels découpage et montage, je suis parfois restée perplexe devant leur utilité narrative.
Toutefois, j'ai apprécié la façon dont l'auteur aborde la "culture du viol" répandue dans les lycées américains, en dépassant les clichés des garçons-qui-sont-tous-des-violeurs et des filles-qui-l'ont-bien-cherché. L'intrigue sur laquelle repose son récit est bien plus subtile et pertinente que cela. Mais c'est également à ce niveau que le roman m'a semblé manquer de cohérence dans sa structure, Reed Petty s'éloignant parfois de son sujet pour nous égarer dans d'autres directions -et cela a fini par m'agacer. Car dans cette histoire, il est essentiellement question de mensonges, de manipulations et de mises en abîme, et les lecteurs ne sont pas épargnés.

C'est donc un roman intelligent, ambitieux, bien maîtrisé, et on sent que l'auteur l'a soigné et s'est fait plaisir en l'écrivant. Mais si ma lecture fut agréable, je n'ai pas apprécié d'avoir été "baladée" une fois le livre refermé ; ce qui démontre néanmoins le talent de Reed Petty.
(Et aussi mon degré de susceptibilité).
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« Tout observateur du genre humain sait combien il est difficile de raconter une expérience de telle sorte qu'aucun jugement n'interfère dans la narration » (Georg Christoph Lichtenberg)


Alice termine sa scolarité secondaire dans un lycée privé américain. Non loin de là, les élèves de l'établissement public, aspirant au championnat de la crosse (1) passent le plus clair de leur temps à organiser fêtes, beuveries, sauteries, et dragues grossières.


Un soir deux adolescents sont accusés, au bruit d'une folle rumeur à laquelle ils ne sont pas étrangers, d'avoir abusé d'Alice au moment de la ramener, ivre, à son domicile.


Alice, depuis qu'elle est au collège, s'essaye, avec son amie Haley, à l'écriture de scenarii cinématographiques. Elle ne cessera, sa vie durant, marqué par cet évènement qui se serait produit, ou pas, de rechercher la vérité.


Il s'ensuit une quête permanente de celle-ci narrée aussi bien par la victime ainsi que d'autres protagonistes du roman, témoins directs ou indirects., sans que l'on sache, pas même la présumée victime, si l'évènement – le viol -, qui va marquer les personnages du récit, a eu lieu ou non.


Il conviendra d'attendre la toute dernière page pour comprendre la subtilité et l'originalité de l'ouvrage de Kate Reed Petty.


True Story, (Gallmeiter, 2021) dont le titre n'a pas été traduit, lors de sa parution en France, est le premier roman de Kate Red Petty.


Elle court, elle court la rumeur… Pour rendre compte de celle-ci, l'auteur utilise deux procédés audacieux, empreint d'un brin de folie, mais qui fonctionnent à merveille à raison de la quasi-totalité, et de la singularité et du machiavélisme à souhait de l'intrigue. Ces procédés littéraires renforcent, sans aucun doute, la qualité exceptionnelle de cette première fiction.


La première technique littéraire – il serait inopportun de la divulguer, même si l'on comprend assez vite. Il s'agit... . La seconde est qu'il s'agit d'un roman sous la forme de casse-tête, qui fait, cependant, l'économie de flash-backs, dont la compréhension se met petit à petit en place et qui contribue, au grand plaisir du lecteur, à une montée évidente de la tension et du suspense.


On ne peut d'ailleurs s'empêcher de faire le rapprochement entre la construction de cette histoire, sous forme de puzzle, et la désorganisation qui règne dans l'esprit d'Alice que l'on retrouve à chaque stade de sa vie, qui mélange, tous azimuts, ses passions cinématographiques adolescentes avec ses lettres de motivation afin d'intégrer une prestigieuse université.


L'autre particularité de fond de ce roman semble être le rapport de l'auteur au féminisme. On peut lire, ici et là, qu'il s'agirait d'un roman féministe sans autre forme de commentaires. le roman mérite cependant un meilleur approfondissement qu'un simple raccourci facile.


À l'heure où aux États-Unis et dans une partie de l'Europe, sous l'influence de minorité de néo-féministes minoritaires, mais néanmoins radicales, le roman de Kate Reed Petty prend le contre-pied de ce mouvement littéraire au profit d'un féminisme classique et raisonnable où la femme est l'égale de l'homme, sans affirmer « préférer des femmes qui jettent des sorts à des hommes qui construisent des EPR » ou de ces écrits narcissiques, de plus en plus nombreux et mal écrits, qui narrent les violences subies, ou pas, de ces femmes en quête de reconnaissance.


C'est un roman qui tranche et condamne définitivement tous les poncifs, insipides et égotiques de nombreux auteurs, autofictions et récits actuels.


L'écriture est irréprochable, autant que la traduction par définition. Simple, mais pas niaise ou maladroite et empruntée, tout en étant rigoureuse. Les qualités narratives de l'auteur sont exceptionnelles, alternant les différents modes de narration et de focalisation qui subliment à la fois la qualité de l'écriture que le fond du récit et, plus particulièrement, la tension de celui-ci.


À titre d'exemple, fait exceptionnel, l'auteur, par l'intermédiaire d'Alice, utilise parfaitement, lorsqu'elle propose sa voix à ses prétendus agresseurs, la deuxième personne du singulier (le "tu" de narration interne).


En résumé, c'est un roman subtil, intelligent et addictif comme rarement il m'a été permis d'en lire ces derniers temps.


Kate Red Petty réussit un livre remarquable qui autorise d'en espérer l'écriture rapide d'un deuxième.


Bonne lecture.


Michel.


1- La crosse est un sport collectif d'origine amérindienne où les joueurs se servent d'une crosse pour mettre une balle dans le but adverse… (Note du traducteur P. 27)

Lien : https://fureur-de-lire.blogs..
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Alice est allée faire la fête à une soirée organisée par l'équipe de crosse du lycée public voisin du sien. Alice a dansé (beaucoup), Alice a bu (trop), Alice a été déposée chez elle ivre morte par deux des garçons... et Alice a été abusée sexuellement, enfin peut être, c'est ce que dit la rumeur qui court et s'enflamme dans le lycée jusqu'à ce que la police s'en mêle et que les garçons s'arrangent pour que l'affaire soit classée. Mais Alice ne se souvient de rien alors comment peut-elle se reconstruire quand elle ne sait même pas ce qui est vrai ou faux, quand elle doit se battre contre une histoire qui semble conditionner toute sa vie mais qu'elle ne maîtrise pas.

Quelle claque et quelle démonstration d'écriture et d'inventivité que ce True Story, premier roman d'une jeune américaine ! On est plongés tout de suite dans le drame qui fait la trame du roman avec le récit ultra réaliste des années lycée d'un des membres de l'équipe de crosse, ambiance campus américain, sport roi et équipe adulée à qui on passe tout, de bizutage en mauvais goût et de drague lourde en remarques misogynes. Voici qui ressemble fort à un (bon) roman d'apprentissage version US mais voici que le chapitre se clôt et hop, virage à 180 degrés, nous voici en train de lire et relire des lettres de candidature d'Alice à l'université, lettres plus ou moins réalistes, dans lesquelles elle évoque le traumatisme qu'elle a subi ou au contraire parle de sa passion pour les films d'horreur, lettres bouleversantes quand on comprend que pour être admise dans la fac de son choix elle a tout intérêt à cacher cet épisode et à raconter plutôt d'autres récits édifiants plus conformes à ce qu'on attend d'elle. le roman fera ensuite encore plusieurs virages loopings nous prenant de court à chaque fois : quelques scénarios de films par ici, un récit façon film d'horreur faisant monter l'angoisse à la limite du fantastique, un autre décrivant une femme tombée sous la coupe d'un manipulateur de la pire espèce. Et c'est là que le roman trouve toute sa force : loin de nous perdre, ces changements incessants se répondent, se complètent, dressent petit à petit un drôle de puzzle dont on finit par comprendre les imbrications, dont on se surprend à s'écrier "ah mais oui bien sûr c'était lui" quand on réalise tout à coup que le personnage d'une des parties est en fait untel de la partie précédente. Un vrai petit bonheur de lecture qui fait appel à l'intelligence de son lecteur et qui m'a gardée captive jusqu'à la fin.

True Story est aussi un magnifique exercice littéraire, dans le bon sens du terme : loin d'être une simple démonstration formelle, l'auteure utilise les différents genres ou styles au service de l'histoire qu'elle veut nous raconter, refusant de se laisser enfermer dans une catégorie, nous prenant à contre pied et faisant preuve d'une inventivité assez jubilatoire. La force du roman est aussi de nous faire douter et nous interroger sur l'essence même de ce qu'on lit : alors que tout commençait par un récit hyper réaliste jusqu'à cette horrible rumeur (vraie ? imaginée ?), les différentes parties du roman jouent toutes sur l'ambigüité, le personnage vit-il vraiment les événements qu'il décrit ? Est-il en train de rêver ? Est-ce un énième écho de la rumeur qui a dévasté Alice et juste une histoire de plus que nous raconte la romancière ? Toutes ces interrogations trouveront leur réponse dans un final magnifique et surprenant qui clôt magistralement ce roman pas comme les autres.

Un livre que j'ai dévoré, intelligent, subtil et qui finalement nous interroge sur la relation qui nous lie aux livres et plus particulièrement aux romans : qui raconte des histoires et pour qui, pourquoi, quelle est la vérité dans tous ces récits. A découvrir, personnellement j'ai adoré !
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critiques presse (3)
FocusLeVif
08 décembre 2021
Kate Reed Petty signe un premier roman pertinent, audacieux et addictif sur l'Amérique post-#MeToo.
Lire la critique sur le site : FocusLeVif
LaCroix
04 octobre 2021
Dans un premier roman prenant, drôle et parfois terrifiant, Kate Reed Petty s’attache aux trajectoires de quatre jeunes Américains confrontés au souvenir d’un drame ténébreux vécu à l’adolescence.
Lire la critique sur le site : LaCroix
LeSoir
27 août 2021
Avec « True Story », Kate Reed Petty entraîne le lecteur dans une sorte de puzzle littéraire dont chaque nouvelle pièce éclaire ou complique l’ensemble jusqu’à la révélation finale.
Lire la critique sur le site : LeSoir
Citations et extraits (38) Voir plus Ajouter une citation
Nos ancêtres avaient peur de choses réelles, et il savaient quoi faire avec la peur. T'évites le tigre, tu fuis, et puis après, t'as plus besoin d'avoir peur.

Aujourd'hui, on a des vies très sûres. Alors quand quelque chose déclenche la peur - par exemple quand un taré prend son flingue et s'en va faire un massacre dans un cinéma dans une banlieue quelconque - on sait pas quoi en faire !

Du coup, on s'y accroche. Et elle modifie la chimie de notre cerveau. On ne connait plus ce moment où la peur s'évacue... on a besoin d'expulser la peur après qu'on a eu peur.

Il y a de la sécurité dans la peur... Il faut s'entraîner à avoir peur de la sécurité... à recâbler la chimie de notre cerveau.
.
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Je voulais réfléchir à la façon que j’avais de regarder ma vie au lieu de la vivre. Je contemplais le ciel, et ça me semblait vrai. Ça m’a rendu triste, et un petit peu nerveux. C’était comme d’être assis à côté d’une fille devant un film chiant, mais ce film la fait pleurer et vous avez l’impression que vous n’êtes pas censé la toucher, jusqu’à ce que vous vous disiez que c’était peut-être justement ça qu’elle voulait, que vous la touchiez. Mais alors, c’est trop tard.
Ce sentiment ne disparut jamais complètement. Il était là à toutes nos fêtes. Il était là quand je rentrais chez moi en voiture avec la musique forte pour ne pas m’endormir, et quand je fixais le plafond parce que je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Nous n’en parlions jamais, mais j’avais l’impression que des tas d’autres gars l’éprouvaient eux aussi.
Les élèves de première faisaient la fête comme des fous, mais nous, les terminales, nous restions plus ou moins sur le côté. Nous buvions trop de bière et nous nous sentions gênés de danser, alors nous nous contentions de regarder les filles du privé. C’étaient elles, qui faisaient la fête.
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Dans un film d'horreur, quand quelqu'un ne connaît pas la réponse à une question, c'est en général que le moment est venu d'aller à la bibliothèque... Quand tout vous paraît excessif, allez à la bibliothèque.
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King a écrit : "Les monstres existent. Les fantômes aussi. Ils vivent à l’intérieur de nous… et il arrive que ce soient eux qui gagnent." Mes amies sont toutes d’accord pour dire que les pires monstres sont nos propres démons intérieurs, comme la jalousie et la colère, et que ces démons nous torturent beaucoup plus durablement qu’aucune personne réelle ne pourrait jamais humainement le faire.
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Bon sang, comment peut-on écrire une bonne rédaction à partir d’une question qui est sans importance ?
Ça me rappelle un peu la façon qu’on a tous de dire "Comment tu vas ?" sans vraiment le penser. Les gens me demandent sans cesse comment je vais, mais en réalité ils ne veulent pas le savoir.
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Videos de Kate Reed Petty (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Kate Reed Petty
"True Story", de Kate Reed Petty (éditions Gallmeister).
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