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Citations de Kate Stewart (24)


Mais la vie ne s'intéresse pas à votre humeur ou si votre monde est en train de s'effondrer. Elle ne demande jamais et vous devez la surmonter, prêt ou pas.
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Chapitre 1 :

«… Jack était toujours dans l’entrée, là où je l’avais laissé. Il ne m’entendit pas approcher à cause du bruit incessant des outils. Il me tournait le dos et il observait à travers la vitre l’espace qui deviendrait un patio. Au lieu de l’interrompre, j’attendis qu’il se retourne.

OK, peut-être que j’en profitai un peu pour reluquer son derrière.

Après de longues secondes à mater sa silhouette élancée et ses fesses sexy, je finis par rompre le silence :

— On fait cette visite ?

J’avais parlé très fort pour couvrir le son d’une scie. Comme il ne se pivotait pas, je tapotai son épaule. Je saisis alors son reflet dans la vitre. Il avait repéré que je me rinçais l’œil et affichais un large sourire.

Super Whittaker, très pro comme comportement.

Je n’avais couché avec personne depuis un an. Je n’avais pas le cœur à ça, même si je rencontrais un homme séduisant. J’étais déterminée à reprendre une vie amoureuse, au moins sur le plan physique, mais je ne savais pas trop comment m’y prendre et je n’avais pas eu une foule d’opportunités non plus. …»
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Je regardai de l’autre côté de la table vers l’homme qui faisait de son mieux pour m’énerver. J’étais complètement perdue devant son intérêt soudain quand il m’avait interrogée, et même si j’étais principalement franche, il ne semblait pas satisfait de mes réponses. Nous avalâmes deux verres pendant qu’il faisait la version des vingt questions la plus exaspérante et merdique inimaginable, et je lançai quelques-unes des miennes. Cette soirée avait pris un tournant très étrange, et alors que la fête faisait rage autour de nous, nous restâmes dans notre bulle.

Sans la prétention de l’avoir retrouvé pour une conversation polie, ou les politesses de notre quotidien avec les appels, Rowdy avait l’air d’être un vrai connard. Il était aussi intense et un peu arrogant. Et pour une étrange raison, cela ne me surprenait pas.

Et pourtant, je le désirais.

Un truc dans sa façon de m’observer faisait s’emballer mon pouls. Son regard froid et sexy et son indifférence à son interrogatoire déplacé m’excitait sacrément.

Et bien sûr, la masochiste en moi trouvait ça plus attirant.

Il avait le gêne du connard qui m’attirait. J’étais certaine de l’avoir bien catalogué à notre rencontre, et je l’étais vraiment maintenant alors que nous nous contemplions.
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Couler ou nager, cela ne dépend que de moi. Je patauge dans le grand bain depuis des années sans une bande de ciment à laquelle me raccrocher. Mettre des pieds m'épuise à petit feu.
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Prologue :

Jack

«… Lorsque mon âge m’éloigna du terrain de jeux et que j’ai levé les yeux de petit carnet rempli de questions, tout avait changé. Et le monde qui m’entourait était encore un mystère plus épais. Tout était différent et moi aussi.

Je commençai à vivre et à échouer comme le reste du monde, mais déterminé à faire mieux.

Je connus l’échec. Et les questions revinrent.

Si j’avais su que ma fascination atteindrait son apogée à quelques centaines de kilomètres de là où ma curiosité était née, je n’aurais sans doute pas laissé les choses se faire. …»
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-Ce que je veux dire, c'est pourquoi gâcher le temps présent en se souciant de ce qu'il adviendra plus tard ?

- Le temps présent ?

- C'est la seule mesure temporelle qui importe. Le temps en soi n'est qu'une ligne invisible, une mesure inventée par l'être humain. Alors certes, c'est utile pour se repérer, mais c'est aussi un gros facteur de stress, parce qu'on le laisse prendre le contrôle sur nous.
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Tous mes jours de pluie sont à toi, Dominic. Si tu les veux.
Il pleut souvent, par ici, répond-il après de longues secondes.
Ca me va. Mais les jours de soleil appartiennent à Sean.
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Depuis toujours, je souffre d'un mal : j'ai grandi avec la conviction qu'une histoire d'amour n'a de valeur que si elle implique souffrances et sacrifices
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« – Rester loin de toi. Je ne sais pas arrêter de penser à toi. Ni m’empêcher de te toucher. Je ne sais pas cesser de me demander si tu penses à moi. Je ne sais pas me retenir d’avoir envie d’être prêt de toi. »
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« Je mentais éhontément, mais je ne connaissais pas une femme qui avouerait tranquillement qu’elle était tellement en manque qu’elle avait joui sur la selle d’une Harley. »
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« En quelques jours, j’en aurais fini. Ma valise était prête. Je ferais ce voyage, même si ce qui était le plus beau ici n’était pas le paysage. »
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Chapitre 1 :

Rose

«…
— OK, Rose, dit-il, coupant court à mon dialogue intérieur et à mon rêve éveillé.
Maudit soit-il ! Nous serions heureux de vivre dans les arbres sans doute. Il était évident qu'il avait une idée derrière la tête.
— Y a-t-il un sujet dont nous parlons et dont je n'avais pas conscience ? demandai-je à voix basse.
— Oui, tout à fait, Rose. On se reverra.
Il m'adressa un nouveau sourire. Oh mon Dieu, une fossette...
— Ah bon ? Qui es-tu ?
Il me regarda avec une assurance que je n'avais vue que chez quelques hommes, comme mon père, en fait.
— Je suis ton futur mari.
Je pouffai de façon assez peu élégante en guise de réponse. Son regard croisa le mieux, me suppliant de la croire.
— Je suis ton futur mari.
Je le regardai, bouche bée, cette fois... »
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Prologue :
Grant
«… Soudain, chaque atome de mon corps était en éveil et focalisé sur cette jeune femme qui rassemblait ses affaires. Je restai immobile, l’observant se lever et enfiler ses chaussures. Elle était parfaite, des pieds à la tête, et je me penchai en avant pour mieux l’admirer. Plus le temps passait, plus j’étais conscient de sa présence alors qu’elle luttait contre le vent pour rassembler quelques feuilles de papier qui avaient échappé à son classeur. Elle finit par abandonner la dernière, la laissant s’envoler, et prit la direction du bâtiment où je devais me rendre moi aussi. Comme si le destin m’était favorable, elle s’arrêta juste devant mon pick-up, fouilla dans son sac dont elle sortit quelque chose qu’elle fixa à son poignet. Elle jeta un coup d’œil dans ma direction, mais ne me remarqua pas la regardant avant qu’elle ne reprenne hâtivement son chemin. Je me penchai pour la suivre du regard. Je me rendis compte que j’avais déjà la main sur la poignée de la portière lorsque la dernière feuille qu’elle avait abandonnée voleta devant le pare-brise et vint s’enrouler autour de l’antenne du pick-up. J’observai une seconde le petit papier qui s’agitait dans le vent et qui clignotait comme un néon ; après une brève hésitation, je bondis de la voiture, la poitrine en feu et j’attrapai ce précieux petit morceau de pain. Je lus les quelques mots écrits dessus et souris. Puis je le fourrai dans ma poche. Je me mis à la suivre alors que tout en moi criait en boucle : Va la voir ... »
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Le premier amour est toujours celui qu'on vit le plus, le plus dur à digérer quand c'est fini, et le plus dur à oublier.
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Chapitre 2 :
DALLAS
Aujourd'hui
« … Je clignai plusieurs fois des yeux, tout comme lui avant que nous nous figions tous deux sur place.
Impossible.
— Dallas
La pièce semblait avoir rétréci et j’eus soudainement besoin d’air. Mais il n’y en avait pas. Un millier d’émotions me traversaient alors que je faisais mes salutations habituelles.
— Dean ! Dean Martin !...»
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Prologue :
« … Mais c’étaient pas vraiment des mots de mon père dont j’avais besoin. C’étaient ses mots à elle que j’avais besoin de croire.
« Je t’aime toujours.»
C’était elle, cela avait toujours été elle, cela serait toujours elle.
Tu ne peux pas y retourner, Dean.
Les heures passèrent tandis que je restais assis à me geler dans le parc, accueillant le froid sur mes membres sans vie pour m’endolorir. J’avais le monde que j’avais toujours voulu.
Le monde pour lequel j’avais travaillé comme un acharné. Tout était là. La carrière dont j’avais toujours rêvé m’attendait à quelques pâtés de maisons, et pourtant je ne pouvais pas y retourner. Je ne pouvais pas m’enlever de la tête que ça ne rimait ça rien.
C’était vide. Ce n’était rien...»
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-Si tu étais un sandwich McDonald, on t’appellerait McSuperbe.

J’éclatai de rire en regardant Andy qui arborait un grand sourire. Il semblait plutôt ravi de lui alors que je me mordais la lèvre.
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Chapitre 3 : Michelle :
" - C'est moi qui vais te faire jouir.
- Excuse-moi ?
- Tu m'as entendu.
Je reculai brusquement la tête avec incrédulité.
- Mais tu as dit que...
- Mais ce n'est pas ce que tu cherches ce soir, non ? lâcha-t-il, impassible et je sus quelle était ses intention.
- Et tu vas me donner ce que je cherche ?
- Oui, quand nous partirons, je t'allongerai sur le capot de ma voiture et lécherai ta chatte pendant si longtemps que tu e pleureras. Puis je baiserai ta bouche avec ma queue.
Je sentis la glaçon se désintégrer sur ma langue tandis que je serrais les cuisses
- Est-ce que tu as fumé quelque chose dans les toilettes ? Tu as dis...
- J'ai dis que les rendez-vous n'arriveront pas. Maintenant que je sais ce tu recherches, ça change la donne.
- Tu n'es pas sérieux ? Qu'est-ce qui te fait croire que je suis intéressée."
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Chapitre 1 : Rowdy :
"...
- Sache que j'étais là avant toi et que je continuerai d'être là. Elle est ma famille, alors convaincs-moi.
Andy hocha la tête comme un accord passé entre nous. Je fis signe vers la porte fermée.
- Vas-y, mon pote.
- Devrais-je avoir peur de ce qui m'attends à l'intérieur ?
Je haussai les épaules tandis qu'il ouvrait la porte et étudiait la fête qui battait son plein. Elle était remplie d'athlètes à moitié bourrés. Comme si un sixième sens mû par mon sexe prenait vie en moi, j'examinai la salle jusqu'à ce que mes yeux atterrissent sur Michelle.
Andy n'avait pas à s'en faire, mais moi, si."
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Chapitre 2 : April :
" ...
- Tu es belleuh.
L'explosion dans ma poitrine fut instantanée.
- Tu trouves que je suis belle ?
- oui, dit-il en étirant le mot, et c'est la vérité bourrée.
J'ignorai si je devais être offensée ou non.
- La vérité bourrée ? demandai-je.
- Les gens ne mentent pas tant que ça quand ils sont bourrés.
Je croisai les bras pour lui signaler que c'était des conneries.
- Chéri, je vois les gens mentir quand ils clignent des yeux.
Il secoua la tête quand j'énonçai ma contestation.
- Écoute-moi.
..."
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