Il faudrait la replanter… Qu’Iris prenne racine. Les racines, on n’y pense pas quand on est jeune. C’est vers quarante ans qu’elles se rappellent à nous. Quand on ne peut plus compter sur l’élan et la fougue de la jeunesse, quand l’énergie vient à manquer, que la beauté se fane imperceptiblement, qu’on fait le compte de ce qu’on a fait et de ce qu’on a raté, alors on se tourne vers elles et on y puise, inconsciemment, de nouvelles forces.