Chaque fois qu'il m'arrive d'être heureux, de respirer enfin, chaque fois que j'ouvre mes poings, chaque fois le malheur se rue sur moi et me ceinture ! Il me traîne à terre, m'étourdit, me punit de l'avoir relégué au rang de péripétie ! Le malheur est gourmand, le malheur est sévère, il châtie l'insolent qui le nargue et le nie! p143